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  • : J'ai entrepris de raconter l'exhaustivité de ma vie sexuelle, de mes premiers amours homosexuels à mes expériences masos et domination, mes 3 mariages, et mes relations avec les prostituées. J'aie le sexe et suis fétichiste de la soie et de satin. Je veux faire partager mes passions au maximum et dans toutes les variétés de mes désirs. Bonne lecture
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  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes

Mes divers mariages

Lundi 7 août 1 07 /08 /Août 19:33

...

 

 

C’était pas du tout mon genre, la femme de mon beau-frère mais tout arrive quand on en a envie. Elle était plutôt du genre maigrichonne, la quarantaine, avec une toute petite poitrine, blonde avec des cheveux courts un fort accent de Toulouse, assez vulgaire en fait toujours a faire attention a ce qu’elle se mettait pour s’habiller des trucs à la mode qui ne lui allient pas très bien, mais assez sexy quand même car elle avait de grandes jambes assez jolies. Elle avait surtout une sacrée habitude de se balader toujours dans la maison en culotte et soutien gorge, été com me hiver pour ne pas abîmer ses fringues et surtout pour montrer sa belle lingerie elle avait toujours des coordonnées charmants et qui ne me laissaient pas indifférent moi alors que tout le monde semblait s’en foutre car il y était habitué. Par tout le monde j’entends son mari, un gros beau de gauche qui se croyait psy, son fils, un ado de15 ans un peu efféminé, sa belle mère et ma femme. Ils venaient tous les 3 passer les week-end chez ma belle mère et nous vivions les uns sur les autres lorsque nous y étions ce qui était assez fréquent car on avait pas un sou et c’est elle, ma belle mère, qui nous entretenait.

 


  Moi je suis un fou de lingerie fine, je l’ai déjà dit, et j’obligeais ma femme à en porter tout le temps bien que ça ne soit pas son genre et j’étais ravi de trouver une femme qui s’exhibait ainsi en toute simplicité. J’avais vingt ans et une pêche pas possible pour toutes les affaires du sexe. Ma femme ne me suffisait pas j’étais toujours à la recherche d’aventures avec des femmes ou même des hommes, souvent des prostituées déjà. Pour s’exhiber elle n’avait pas peur, l’été ils allaient à la plage naturiste. elle s’épilait entièrement ce qui dans la famille était extraordinaire mais ce que j’appréciais fort. Elle passait la moitié de son week-end à s’occuper d’elle dans la chambre, dans la salle de bain, dans le séjour. On tombait toujours sur elle en culotte entrain de faire un traitement sur une partie de son corps.

 

Je me suis mis à la draguer en douceur  par exemple en prenant régulièrement sa défense  quand elle était critiquée ce qui était tout le temps le cas car elle était un peu bête et son mari et ma belle mère n’arrêtaient de la mettre en boite ou de se foutre d’elle. Du coup elle était contente d’avoir quelqu’un qui pouvait l’aider et moi j’en rajoutais tout en finesse pour pas que cela soit trop voyant.


 Je me suis intéressé peu à peu à ce qu’elle faisait au boulot, à ce qu’elle portait et nous avons ainsi acquis un peu d’intimité.  Nous parlions chiffons, je lui racontais ma passion de la lingerie et je lui montrait que j’en portais, ce qui l’étonna dans un premier temps puis  l’amusa à tel point qu’elle me faisait cadeau discrètement de culottes en satin qu’elle achetait spécialement pour moi et qu'elle portait quelques jours avant de me les donner. Chaque fois qu’il m’était possible je la frôlais ou faisait des allusions un peu coquine qui parfois la troublait un peu et ça se voyait.

 

 

Avec ma femme j’avais un comportement très machiste et provocateur. Je la caressais sans vergogne devant tout le monde, lui mettais la main au fesse ou lui caressais les seins. Elle se laissait faire mais j’étais particulièrement entreprenant lorsque nous n’étions que tous les trois.  Au début elle était gênée, puis  peu à peu j’ai compris que ça l’excitait. Mon but était atteint.

 

 

  Je bande facilement et ça ne me gène pas de le montrer. J’aime m’exhiber dans des jeans très serrés ou de me balader en culotte trop petite pour tout contenir (souvent je mettais les culottes de ma femme ). Nous habitions tous dans un petit appartement très cosy  et je faisait en sorte  de la croiser lorsque je sortais en peignoir de la salle de bain par exemple et de le laisser s’entrouvrir. Je m’aperçu qu’elle le guettait et n’en perdait pas une miette tout en faisant emblant de ne pas y toucher.


Ce petit jeu ne faisait que s’accentuer et ce qui devait arriver arriva.

 

 

Un jour nous ne sommes que tous les deux dans l’appartement, le reste de la famille est allé faire des courses.  Elle fait sont lit, en culotte et soutien gorge de satin violet, très impudique comme d’habitude, mais plus que d’habitude puisque nous ne sommes que tous les deux. Je sors de la salle de bain à poil je  bande comme un âne. Je rentre dans la chambre, elle ne m’entend pas. Je mets ma queue entre ses cuisses et ma mains dans sa culotte. Elle est mouillée, ce qui veut dire qu’elle attendait ce moment , m’avait peut-être entendu et qu’elle était consentante. Effectivement elle se laisse faire et pour mieux se présenter, elle se baisse et prend appui avec ses bras sur le lit. Elle ne s’est toujours pas retournée. Je caresse sa chatte rasée et toute gluante. ‘est sacrément érotique une chatte rasée de frais J’écarte le petit bout de satin de son slip et la pénètre profondément, d’un coup sec comme un beau sabreur que je m’imagine être. Je me mets immédiatement à la limer, avec force, presque sauvagement tant j’ai les couilles pleines. Elle jouit après quatre ou cinq aller retours, en poussant comme une sorte de râle. C’est étonnant et ça ne me satisfait pas car maintenant elle est trop mouillée et je ne sens plus rien. Aussi, je me retire, la fait asseoir sur le lit et lui mets ma queue dans la bouche pour qu’elle me pompe. Elle ne rechigne pas,  elle le fait  même avec application mais sans brio, c’est le moins que l’on puisse dire ! Ce n’est pas une professionnelle de la pipe malgré sa bonne volonté ! Je lui demande de bien me serrer le plus fort possible et de bien me caresser les couilles. Je la sens fébrile, elle a du mal, et moi je bande de plus en plus, cela devient douloureux. Je préfère prendre les choses en mains, (si l’on peut dire !). Je passe ma main derrièr e sa tête, je la presse fortement vers moi pour que ma queue rentre au fond de sa gorge et je bouge comme si je la baisais. Elle étouffe mais la violence du mouvement me fait jouir presque instantanément. Je la relâche et elle recule la tête, toute cramoisie.  Ma queue sort de sa bouche d’un coup , je la prends dans ma main car elle m’a lâché et je serre fortement mon gland pendant que je jouis pour bien lui asperger le visage de sperme. Elle en prend plein la figure et le cou. Je frotte mon gland sur ses joues, sur son nez, sur ses lèvres. Elle est surprise et veut se libérer mais je la tiens fermement jusqu’à la fin de mon éjaculation. En fait, elle se débat mollement car je sens que la violence de l’ébat l’excite terriblement. Je suis sur qu’elle joui à nouveau. La tension est retombée, j’appuie son visage maculée de sperme sur mon ventre et la berce. Nous sommes en sueur.


 

Je la relève tendrement en passant mon bras sur ses épaules et je l’embrasse sur la bouche longuement. Elle est toute abandonnée. Le baiser dure longtemps, elle ne bouge plus, je caresse ses fesses à travers le satin de sa culotte, elles sont dures et musclées. C’est chaud, c’est doux, elle sent bon et ça sent bon le foutre J’aurais des envies de recommencer. Un bruit de porte sur le pallier, elle tressaille, elle croit que se sont les autres qui rentrent mais ce ne sont que les voisins. On se regarde dans les yeux, pour la première fois,  elle sourie. On est dans un drôle d‘état. Je lui propose de venir prendre la douche, je ne suis pas encore pleinement repu. Nous nous installons dans la baignoire qui se remplit et nous nous savonnons l’un l’autre. Les traces de sperme disparaissent vite, je lui lave les cheveux. Je me remets à bander. Je lui passe le jet de la douche sur tout le corps, il est assez fort, elle aime ça. Je le lui mets dans le con, dans le cul, elle rit. On fout de l’eau partout mais c’est pas grave. Je lui demande de se relever et de se tourner, je veux la prendre à nouveau par derrière mais cette fois je voudrais l’enculer. Elle ne veut pas, elle n’a pas l’habitude mais promet qu’une autre fois elle se laissera faire. Je lui dit que moi j’aime bien ça et qu’elle pourra me le f aire avec un gode. Ca la fait rire. Je lui demande de me mettre le doigt dans le cul, elle le fait maladroitement, elle n’ose pas trop. Je lui propose de lui montrer comment faire. Elle fini pat accepter. J’ai le doigt plein de savon et de crème pour adoucir la peau à base de vaseline, j’en rajoute un bon peu, du coup il rentre facilement, elle est maintenant bien ouverte, je la sens prête malgré ce qu’elle dit. Je ne résiste pas. Je remplace mon doigt par ma queue bien huilée en la faisant rentrer par petits coups pour ne pas lui faire mal. Elle tortille un peu du cul mais fais les mouvements qu’il faut, instinctivement, pour faciliter la pénétration Cette fois j’ai la queue bien serrée et avec de petits mouvements je jouis très vite . Elle non car elle a déjà joui deux fois et ça lui a fais un peu mal . Elle saigne un peu, je la lave tendrement avec une éponge et nous sortons de la baignoire. Je la sèche en l’entortillant dans une grande serviette. Elle se laisse faire, soumise. Il y a un tube de pommade adoucissante sur l’étagère du lavabo. Je lui en passe abondamment dans son petit trou et tout autour, elle apprécie et m’embrasse dans le cou.

 Du bruit à la porte d’entrée. Cette fois ce sont bien eux. Je sors précipitamment pour aller dans ma chambre, elle s’enferme dans la salle de bain.

 

Ma femme rentre presque immédiatement alors que j’enfile uneculotte. Je n’ai pas complètement débandé tant la séquence a été forte. Elle me tend un paquet : c ‘est de la lingerie qu’elle vient d’acheter. Un ensemble culotte, soutien gorge et porte jarretelles en soie très fine, couleur champagne. Je la sens d’humeur coquine, elle veut à tout prix l’essayer. Je vois qu’elle a soigneusement fermé la porte, ses intentions sont claires, je pose maculotte à coté de moi, je ne vais pas en avoir besoin de suite et j’attend. Va falloir assurer

 

 

Elle se déshabille en un rien de temps, ses gros seins jaillissent de sous son pull, évidemment elle ne portait pas de soutien gorge, ils ballottent de droite à  gauche pendant qu’elle baisse son pantalon avec difficulté, elle est un peu rondelette et il lui colle à la peu. Elle n’avait même pas mis de culotte, son coup était bien préparée Elle est toute nue en deux secondes et le contraste est frappant avec sa belle sœur. Je me dit que j’ai bien de la chance de pouvoir profiter d’autant de choix. Elle est tout le contraire, bien en chair, un peu de ventre, de belles cuisses biens fermes et ses gros nichons qui sont bien en place, tendus comme s’ils étaient plein de lait avec leurs petits bouts bien durs. C’est sur qu’ils n’ont pas besoin de soutifs eux ! Pourtant elle commence à mettre sa nouvelle tenue avec le soutien gorge. Il est un peu petit, il a du mal à contenir toute cette belle chair mais cela fait ressortir d’autant mieux sa poitrine. Elle sait que j’aime ça, elle a a ppris à acheter comme il faut. Tout en donnant un coup de main, je vérifie la taille. C’est pourtant du 95D, bientôt il lui faudra des bonnets E ou F ! c’est superbe ! Mazette cette soie  tendue qui compresse les nichons c’est vraiment beau, je ne peux résister au plaisir des les caresser. Elle continue pourtant son essayage malgré mes caresses de plus en plus pressantes. En fait de porte jarretelles, c’est une sorte de gaine, en soie transparente devant et derrière, satinée sur les cotés, qui lui moule les reins à merveille et lui compresse le ventre. Je me suis remis à bander malgré tout ce que j’ai fait ce matin. Elle prend ma bite dans la main, se baisse pour la sucer longuement puis se redresse, je la bascule sur le lit. Je n’arrête pas de malaxer ces formes pleines gainée dans cette soie, c’est d’une grande douceur. Nous faisons l’amour rapidement comme si il y avait urgence.

 

 

Je suis complètement épuisé. Je viens de tirer trois coups en moins de deux heures. Elle est fière de m’avoir fait cette surprise, elle se rhabille en gardant les sous vêtements qu’elle portait pour faire l’amour et sans se laver. Elle sent bon. Je m’habille à mon tour, en mettant une de ses culottes qui me serrent bien les couilles douloureuses. Je sors de la chambre et tombe presque de suite sur ma belle sœur. A son regard je vois qu’elle a compris ce que nous venons de faire et ça la fait sourire. Elle m’avouera plus tard qu’elle nous avais épié en se caressant. Elle me fait une petit pression de la main sur le bras et me chuchote que c’était très bien et qu’il faudrait recommencer bientôt. J’acquiesce avec envie.

 

Effectivement nous serons amenés à recommencer de nombreuses fois, toujours de manière furtive et en cachette, mais avec toujours autant de plaisir.

  

Notre liaison à duré tout le temps de mon mariage, nous baisions pratiquement tous les week-end et presque tous les jours pendant les vacances. Elle a appris rapidement beaucoup de choses du sexe et est devinue experte. Notre liaison l’a libéré,  elle n’a plus eu peur de cocufier son connard (cornard) de mari en se payant des jeunes amants au travail. Après mon divorce et la séparation définitive d’avec ma femme je ne l’ai plus revue. Je n’ai jamais osé retourner vers elle, je crois qu’elle aurait apprécié mais c’était trop compliqué.  J’espère qu’elle a trouvé un autre amant avec qui elle aura pris tout son plaisir. Je la regrette un peu maintenant

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes divers mariages
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Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 21:12

 Je me suis marié trois fois. Les trois fois ont été un échec mais pas mal de plaisir quand même. Ca a toujours bien commencé et toujours mal fini, souvent de  ma faute, je crois. Je pense trop à moi je ne suis pas assez généreux. J’ai toujours été infidèle je ne résiste pas à  l’appel du sexe comme on dit !

J’étais jeune je connaissait ma femme depuis un an quand on a décidé de se marier on avait 19 ans tous les deux elle était blonde, une fausse blonde, petite, avec de larges épaules car elle faisait beaucoup de natation. Elle avait de très gros seins bien fermes qui se faisaient remarquer et dont j’étais très fier bien qu’un peu gêné parfois tant ils faisaient de l’effet sur les garçons, surtout sur la plage où elle ne mettait jamais le haut de son maillot, ce qui était moins commun que maintenant,.

 

De  soutien gorge elle n’en portait d’ailleurs que rarement sauf quand je le lui demandais. En fait elle était un peu garçonne, malgré sa grosse poitrine, et s’habillait toujours en jean et t-shirt. A vrai dire elle ne savait pas s’habiller du tout, et s'en foutait complétement, au grand dam de sa mère qui lui achetait des tas d’habits qu’elle ne mettait jamais. Mais comme nous étions follement amoureux l’un de l’autre et qu’elle n’avait pas d’a-priori, finalement elle acceptait de porter tout ce que je lui demandais et que je faisais acheter par sa mère bien sur car, étudiants, nous n’avions pas d’argent. On allait dans les magasins et elle essayait tout ce qu’on lui demandait d’essayer sans porter de jugement et c’est nous qui choisissions. La relation avec sa mère était assez ambiguë, heureusement que la différence d’age interdisait tout rapprochement, mais nous avions les mêmes goût vestimentaires et souvent elle se retrouvait habillée comme un pute très sexy, avec ses gros seins, rôle qu’elle n’assumait pas du tout  et ce qui évidemment  qui rendait la chose encore plus sexy. Des chemisiers très sérrés et un peu transparents, des jupes assez courtes et moulantes, de petites robes légères en tissus soyeux, des panatalons moulants en satin. Ou alors on l'habillait en petite bourgeoise avec des tailleurs BC-BG, des chemisiers en satin avec jabot et des bottes. Autant de tenue qu'elle avait du mal à porter, mais elle était docile et acceptait avec candeur et naiveté. Il y avait de ma part une part de sadisme, je crois, que l’on retrouvera tout au long de notre relation et sa mère s’amusait à jouer à la poupée avec sa petite fille sans penser à mal. Je lui faisais porter tous mes fantasmes,  je l’obligeais  à porter des bas et des porte jarretelles lorsqu'elle portait une robe ou une jupe mais même sous un jean, des soutiens gorges à balconnet qui rendaient sa poitrine encore plus provocante, je lui achetais tous un tas de petites culottes en soie avec des froufrou et des slips ouverts devant et derriereque je lui empêchais de retirer quand nous baisions. Elle portait tout ça avec beaucoup de naïveté, comme une ingénue au début, je crois qu’elle ne s’en rendait pas compte. Elle a réalisé plus tard et c’est pour ça que je l’ai perdu.


 En fait c’était un peu comme une poupée pour nous simplement je pouvais la baiser et pas qu’un peu :tous les matins et tous les soirs et parfois dans la journée elle était un peu indifférente à la pénétration, complètement frigide du vagin par contre elle réagissais bien aux caresse du clitoris et sur les seins je ne m’en privais pas ce qui m’a foutu en l’air c’est quand elle en a fait profiter un peu tout le monde, mais n’allons pas trop vite, au début y a que moi qui y touchais. Elle acceptait avec soumission tous les jeux sexuels que je lui proposait. Elle ne proposait  pas grand-chose le sexe semblant être un mal nécessaire. Les choses ont changées peu à peu, elle y a pris goût , elle a compris le pouvoir que son corps lui conférait sur les autres et en a profité, sans malice. Le problème c’est qu’elle s’est mis à boire régulièrement et là ça a été la fin. Saoule elle ne savait pas refuser , elle se faisait baiser pat tous ce qui passaient par là. Un pipe pour un verre de whisky , le coup était connu par tous, moi je n’ai pas résisté je suis parti. Mais nous n'en sommes pas encore là.

 

 

 

 

 

 

 Quand je l'ai connue, elle était vierge et avait des choses du sexe une vision très lointaine. Moi, depuis l'adolescence je ne pensais qu'à ça et nous faisions a priori un couple bien différent ! Mais l'amour c'est comme ça et pour la mériter j'ai changé de conduite. Plus de filles, plus de putes tant que je ne l'avais pas. je me gardais la masturbation quand même, tous les matins comme d'hab et souvent le soir en ces temps d'abstinence.  Les filles se moquaient de moi mais elles taient un peu jalouse de mon bonheur.

J'y suis quand même arrivé au bour de quelques semaines. Ca c'est fait dans sa chambre, on s'embrassait en écoutant de la musique, en se caressant. Elle ne portait qu'une tunique indienne en soie froissée et une jolie culotte en nylon blanc, très sage. Il faisait chaud, j'était torse nu, et j'avais dégraffé mon jean et ouvert la braguette pour qu'elle puisse me caresser, ce qu'elle commencait à faire sans rechinier. Evidemment je bandais comme un phoque et je voyais que ca la troublait. J'ai tout enlevé et suis venu m'allonger sur elle, j'ai doucement baissé sa culotte et l'ai longuement caressé pour qu'elle soit bien humide. Elle coulait et j'ai sentis qu'elle s'abandonnait. Je l'ai  pénétré très doucement pour qu'elle n'aie pas mal. Elle n'a même pas poussé de petit cri  elle s'est abandonnée rapidement sans violence c'était très doux et elle s'est mise à pleurer.  J'ai  très peu bougé pour ne pas l'effrayer et je me suis forcé à jouir rapidement , J'ai compris son étonnement quand elle a senti mon orgasme et le sperme qui coulait. Elle n'a rien dit et a fermmé les yeus Nous sommes restés collés un à l'autre comme ca pendant une vingtaine de minutes puis je me suis retiré avec délicatesse . Nous nous sommes embrassés longuement , toujours s'en rien dire . Elle s'est levée la première pour aller dans la salle de bain. Elle ne pleurait plus, je la sentais heureuse et moi j'étais fou de joie. Elles est revenu avec de grands verres et du jus d'orange. On a trinqué, bu avidemment le jus glacé, on s'est vite habillés et on est sortis, la main dans la main, courrir commes des enfants dans le jardin public d'a coté. Le monde n'existait plus pour nous.

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes divers mariages
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