Présentation

  • : Ma vie sexuelle
  • Ma vie sexuelle
  • : gay sodomie Histoires érotiques
  • : J'ai entrepris de raconter l'exhaustivité de ma vie sexuelle, de mes premiers amours homosexuels à mes expériences masos et domination, mes 3 mariages, et mes relations avec les prostituées. J'aie le sexe et suis fétichiste de la soie et de satin. Je veux faire partager mes passions au maximum et dans toutes les variétés de mes désirs. Bonne lecture
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Images aléatoires

  • 05kk.jpg
  • fellation-chic-a-la-campagne.jpg
  • alextgp0106
  • IMGA0563
  • 03sd
  • eb007---084

Profil

  • jeanlain
  • Ma vie sexuelle
  • sodomie soumission pute domination fellation
  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes

Mes visites chez les prostituées

Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 13:00

Ci parès l'adresse d'un bon site oiur trouver des putes et sur lequel on peut échanger:

http://www.trouver-pute.com/blog/

 

http://www.trouver-pute.com/blog/wp-content/uploads/2015/11/pute-de-rue.jpg

Vous ne le regreterez pas !

Par jeanlain - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 23 novembre 6 23 /11 /Nov 10:42


Un soir de déplacement en déplacement en province, je me retrouve seul à l'hôtel, très excité,  avec une forte envie de me faire sucer.

Je m'habille tout en satin. Chemise violette, pantalon en satin bien tendu par des bretelles pour mettre en valeur mes couilles remontées par un string en soie. Petit gilet de costume en cuir très serré à la taille.

Ci après laphoto, avec braguette ouverte !

Versailles-20130817-00745.jpg

Je sors de l'hôtel ainsi habillé à la recherche d'une pute pour une petite pipe.Ne trouvant pas de fille à mon goût, j'aborde un travesti (souvent ils sucent mieux que les femmes) et le fais monter dans ma voiture. Il est jeune et porte une petite robe jaune très courte, de hauts talons, une perruque blonde aux cheveux mi-longs.Très mignon Il me fait aller me garer dans le parking d'un immeuble, endroit tranquille me dit-il. Il est OK pour la pipe à 30e. On se met à l'aise en reculant les sièges... A ma demande, il me caresse un peu la bite et les cuisses a travers le pantalon en satin. Il ne dit pas non, il me trouve bien habillé, "pour faire la fête, ca à l'air de lui plaire. J'en profite pour le tripoter un peu, il se laisse faire.

Pour me sucer,   il me demande de baisser mon pantalon, ce que je fais avec empressement mais malhabillement à cause des bretelles que je suis obligé de défaire.

Il se met à quatre patte sur le siège avant de la voiture et s'occupe bien de moi. Il me suce avec application bien que je ne bande pas encore très fort. J'en profite pour caresser ses fesses, c' est agréable à travers le tissus soyeux de sa sobe. Elles  sont douces, il porte un string en satin et j'en arrive rapidement à caresser sa queue qui, à ma grande excitation, commence a grossir. Sans rien me dire,  il enlève sa culotte. Sa queue est longue, fine , un peu recourbée vers le haut au niveau du gland qui est un peu pointu. Il commence a bien bander, j'en ai envie, aussi je lui demande si je peux le sucer  Il me dit ok moyennant un suppplément que je lui donne de suite.

Il enfile une capote et m'enfonce sa queue dans la bouche en donnant de petits coups de reins . Il me donne de petites tapes sur les joues, c'est délicieux.

Au bout de 5 minutes, c'est lui qui me demande de me mettre a genoux sur le siège pour m'enculer. J'obéis sans dire un mot, je n'imagine pas que je puisse refuser tant je suis sous sa domination. Je baisse completement mon pantalon et me met en position, les reins cambrés. Il me penetre doucement , par petites poussées, jusqu'à me pénétrer completement. Il me ramone ainsi pendant un bon bout de temps. Manifesttement il y prend beaucoup de plaisir... Il caresse mon dos a travers la chemise en satin, puis il passesamain en dessous et pince mes tetons. Il voit que ca me fait de l'effet car je gémis un peu aussi il se met à  me donner des claques sur les fesses, de plus en plus fort, au fur et à mesure qu'il s’excite.

Alors que je voulais juste me faire sucer, voila que je me fais baiser comme une tapette !

mais c'est tres bon. Maintenant je bande bien. Il jouit en moi, en s'enfoncant au maximum tout en me  serrant fortement les couilles. Il se retire rapidement et enlève sa capote, je fais de même et comme je suis bien bandé, je me masturbe en le regardant se rhabiller et je fais gicler le sperme sur mes habits de satin. Il me donne un klenex pour me nettoyer mais il y en a partout. Ca l'amuse et il se moque de moi. 

Je le ramène à son coin de tapinage. Il veut  une cigarette, je n'en ai pas, il veut veut que j'aille en acheter ... amis dans l'état où je suis, ce n'est pas possibel. Cela le met de mauvaise humeur et il quitte la voiture fâché. Dommage,  moi j'étais aux anges. je me suis rhabillé tant bien que mal pour retourner à l'hotel en cachant maladroitement les tâches de sperme sur mes habits ! Quelle soirél


L'arroseur arrosé


Depuis j'essaye vainement de le retrouver, mais il a disparu.
Dommage

Par jeanlain - Publié dans : Mes visites chez les prostituées - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 23:13

Ca ne marche pas toujours comme on voudrait avec les putes des fois c’est le fiasco !


Par exemple ce soir là il est 18h30 environ, je fais toute la route à la sortie de la ville à la recherche d'une pute pour me faire sucer et je n'en trouve pas sur mon coté, elles sont toutes de l'autre coté de la route.

 

 

 

Je suis très excité je porte le caleçon noir en soie avec des motifs blancs que j'ai acheté à Carrefour. C'est une taille 2, trop petite pour moi car je porte du  4 normalement, ainsi, il me serre bien les couilles. Il est très doux au toucher et je le le porte depuis 3 jours sans discontinuer. Pour bien mettre ma bite en évidence, j'ai mis sous le caleçon un string en Nylon noir avec des motifs dorés, acheté dans un sex-shop. Il n'a qu'une ficelle derrière qui me rentre bien dans la raie du cul. J'ai mis mon pantalon beige à braguette à boutons ce qui me permet de me caresser en défaisant un seul bouton. Ca m'excite beaucoup en voiture et je n'arrête pas de mettre ma main sur mon gland pour le caresser. Je porte un gilet sans manche en satin écossais dans les tons de rouge, qui me serre la taille de manière obscène: on a l'impression qu'il va éclater si j'éternue ! J'ai une cravate en soie assortie qui sort un peu du gilet, maintenu par une épingle à cravate. J'ai passé toute la journée dans cette tenue au travail et maintenant j'ai envie de concrétiser mon excitation

 

Avant d'arriver à l’endroit qu’on appelle le baisodrome,car il y a toujours plusieurs putes, je vois une fille qui me fait un signe de la tête sur le bord opposé. Elle a un teint un peu basané, des cheveux longs noirs et frisés, elle porte un bustier blanc en satin, très décolleté, qui  lui moule la taille et fait ressortir ces gros seins qu’elle a pratiquement à l’air, un short noir très court et très moulant avec une grosse fermeture éclair dorée en guise de braguette. Je continue jusqu'au prochain carrefour pour effectuer un demi-tour rapide car ma décision est prise: c'est avec elle que je vais aller. Tout en conduisant, je passe ma main dans la braguette ouverte de mon pantalon et je me caresse la bite et les couilles biens gainées dans la soie du caleçon. Mon cœur bat fort et mes mains tremblent.


Avant d’atteindre l’endroit où se trouve la fille, je quitte la route sur la droite et emprunte un chemin de terre qui me permet de la rejoindre par derrière un peu plus loin sans être vue de la nationale. Discrétion assurée. Je m'arrête à dix mètres d’elle. Elle m'a vu et vient vers moi lentement. Je baisse la vitre du coté passager et lui adresse le traditionnel :


- C'est combien?

- Cent francs la pipe ou deux cents francs l'amour. On va dans le petit chemin derrière, on est tranquille. On peut même sortir de la voiture et tu peux me sodomiser si ca te fait envie.


Elle a un accent très désagréable et très sûre d'elle. De  près elle est bien moins jolie et excitante que je ne l'imaginais. Elle est plutôt âgée, 55 ans, un visage ingrat et dur, mais elle a de gros seins qui tombent un peu et qui me font envie.


- Je peux te caresser les seins  pendant la pipe?

- Ah! il faut savoir, si tu touches: c'est 200 francs.


Comme elle voit que j'hésite, elle prend les devants en s'appuyant sur la portière


- Alors c'est bon ? Je monte ?


Je n'ai plus envie d'aller avec elle, elle ne me plaît pas, mais elle a pris l’ascendant et je n'ose pas partir. Elle l'  sentiset ouvre la portière en insistant:


- On y va ?


Je n'ose plus lui dire non, et puis je me suis tellement motivé pour venir que je la laisse monter, elle s'installe sur le siège passager avec son sac, elle se retourne pour m'indiquer le chemin:


- Tu recules et tu prend le chemin sur ta gauche. Alors qu'est ce que tu as décidé ? Tu touches ou pas ?


Je suis intimidé et ne sais pas que répondre. En tout cas je ne bande plus. Je m‘applique à manœuvrer comme elle me l'indique, et  pendant que je me range sur le côté, elle fouille dans son sac pour sortir un préservatif. Elle insiste :


- Alors, on fait l'amour ?

- Non juste une pipe, à 100 francs.

- OK, mais tu touches pas alors ?

- Juste un peu, tu me laisses caresser les seins.

- Comme tu veux, mais si tu touches c'est 200 francs.


Je ne peux lutter, elle a pris le dessus sur moi, j'ai envie de m'enfuir mais elle me domine et je lui obéis. Je lui donne un billet de cent francs qu’elle glisse dans son sac;


- Allez on y va. Défait ton pantalon et baisse ton siège.


Je me déboutonne rapidement et baisse caleçon et string d'un seul mouvement rapide; C’est tout le contraire de ce que j’avais envie de faire. Je voulais qu’elle me vois avec toutes mes soieries et qu’elle me caresse avant de mettre la capote, mais je n'ose pas le lui demander.


Elle me met la capote alors que je ne bande plus et me branle avec deux doigts pour me faire durcir et pouvoir me sucer. Elle est très habile mais je ne me sens pas disposé. Je passe mes mains autour de sa taille et lui caresse les seins. Elle se relève d'un coup:


-  Si tu touches je t’a dit que c’était plus cher. Il faut payer mon chou, sinon faut se contrôler ! Alles aboules 100balles de plus.

J’ai à peine touché mais je n’ose pas la contredire. Je me penche pour aller chercher le billet dans la poche de mon pantalon et je le lui tend

-          C’est bien mon chou.

 

 

Elle ouvre son corsage pour libérer ses seins qui tombent et  se remet à me branler, car je suis toujours mou, mais je me suis tellement excité auparavant, que je ne peux me retenir de jouir au bout de quelques secondes. Fiasco complet. Elle rigole:


- Mais qu'est ce que tu fais, tu vas trop vite !


Je suis honteux. D'un coup, elle m'enlève la capote et  m'essuie avec un sopalin. Je remonte mon pantalon maladoitement en m'arrangeant n'importe comment, je n’arrive pas à reboutonner ma braguette. Tant pis, je la laisse ouverte etje démarre aussitôt la voiture, je veux partir le plus vite possible. Je sens qu'elle me méprise complètement , qu’elle me prend pour un minable  Elle m'embobine pour que je la ramène en ville, à la gare, mais je refuse ce n’est pas mon chemin et je n’ai pas envie que l’on nous vois ensemble, d’ailleurs je ne  veux plus la voir. Mais elle insiste, presque en m'insultant, en me traitant d’impuissant, de pédé…et ne descend pas. Je fini par céder. "Tu es gentil quand même", elle se penche vers moi pour me faire un semblant de baiser sur la joue, mais je me recule, elle me  dégoutte. A peine parti, elle se met à fumer sans me demander la permission et utilise mon téléphone pour téléphoner à une copine à qui elle raconte l’histoire, en se moquant de moi, en m’appelant la tapette….  Elle lui décrit mon habillement avec de grands éclats de rire !

 Je finis par la laisser à la gare . Elle quitte la voiture sans un mot pour moi . Sur la route, j'ouvre toutes les fenêtres et roule à fonds la caisse. Ce n'est déjà plus qu'un mauvais souvenir.


Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Lundi 16 octobre 1 16 /10 /Oct 17:03

Cette fois c’est elle qui avait décidé du jour de l’heure et de  mon habillement.

 

 

 

Je devais y être à 14h avec un pantalon et un gilet de cuir. 

Evidemment je n’avais pas ça chez moi, on est plutôt BCBG dans la famille. Moi je suis toujours en costard trois pièces et ma femme en tailleur et chemisier de soie. Les quelques fantaisies que je me permettais à l’époque c’était de jolis gilets en soie que je mettais pour travailler, quelques chemises aussi, je gardais les chemises en satin pour aller voir les putes ou pour sortir en boite avec ma femme ou une amie. Et puis je piquais les dessous à ma femmes  qui me laissait faire, mais je m’en achetais spécialement aussi pour moi. Comme nous faisions chambre à part nous avions chacun notre penderie et ne mélangions pas nos affaires. 

 

Je suis donc allé m’acheter un pantalon en cuir. C’était très excitant, j’avais l’impression de m’encanailler.  j’avais mis un string minuscule pour les essayages. Et des essayages il y a en eu ! J’aurais essayé tout le magasin si j’avais pu ! Chaque pantalon que j’enfile me fait bander un peu plus et cela se voit de plus en plus. Cela amuse la vendeuse qui a repéré le manège, mais peu lui importe puisqu’elle veut faire la vente. Elle a compris ce que je cherche : un pantalon qui me moule bien même s’il n’est pas très confortable. Elle a compris que ce n’est pas pour faire de la moto mais uniquement pour des jeux sexuels. Elle me trouve exactement ce qu’il me faut un modèle en veau très fin, marron foncé qui monte très haut à la taille, avec un triple boutonnage à la taille et une braguette zippée. En fait c’est un modèle pour femme mais il me va très bien. Ma bite et mes couilles sont bien mises en valeur, c’est très indécent. Le bas du pantalon est serré, elle me marque l’ourlet, il sera prêt pour le mardi soir, c’est parfait pour mon rendez vous. Pour le gilet on va plus vite on en trouve un , avec 7 petits boutons nacrés,  dans les mêmes tons avec un dos satiné, il est un peu trop court pour être bien serré, mais ce n’est pas grave car le pantalon monte haut. La vendeuse me prend pour un tordu total mais je m’en branle (au propre comme au figuré). 


  Le mercredi je suis prêt. Je me change dans la voiture, ce n’est pas commode mais j’ai l’habitude. Je ne mets pas de slip comme elle me l’a demandé ce qui n’est pas très facile avec ce pantalon très moulant , en fermant la fermeture éclair de la braguette, j'ai peur de me faire mal... Ca serait bête à cet instant ! Je complète le déguisement avec un chemise en satin noir aux manches bouffantes et comme chaussure une paire de bottes en cuir que j’ai retrouvée . J'enfile enfin, par dessus tout ça, le petit gilet en cuir qui m'emprisonne délicieusement. Le seul fait de le mettre commence à me faire bander

Sans culotte j’ai du mal a positionner mon sexe dans le pantalon je fini par le mettre sur le coté comme les toreros, ce qui le fait durcir encore plus.


Je sonne à la porte dans cet accoutrement, à 14H précises. Elle prend mon nom à l’interphone et met un moment à venir m’ouvrir. C’est pas dans son habitude, je plante devants la porte d’entrée dans la rue avec des gens qui me regardent un peu intrigué. Je comprends qu’elle le fait exprès, comme une épreuve supplémentaire. Tant pis je tiendrais le coup et a vrai dire ça m'excite un peu plus! 

Elle finit par venir m’ouvrir, elle porte une mini combinaison en latex rouge , très courte, zippée sur le devant, les seins comprimés et pratiquement à l’air et des bottes noires à hauts talons 

 

« Tu as 2 minutes de retard ce n’est pas bien, excuses toi » . C’est la première chose qu’elle me dit en fermant la porte  

« Je m’excuse maîtresse »  

« C’est pas suffisant, mets toi à genoux et embrasse moi le petit minou » 

Je me mets à genoux devant elle, elle remonte la fermeture éclair de sa robe juste assez pour dévoiler son sexe, mais la robe est si courte que cela ne serait pas necessaire. Elles est parfaitement rasée et sent très bon. J’embrasse doucement ses lèvres et son clitoris puis je le lèche, à petits coups de langue . Elle me presse le visage dessus en m'appuyant sur la nuque 

 

« Promet moi de ne plus jamais être en retard quand je te donne un rendez vous »  et elle me tire violemment les cheveux, j'en ai les larmes aux yeux

« C’est promis »  j'arrive à marmonner en me remettantr à la sucer.

 « C’est promis qui ? » elle me dit en me tiant de nouveau par les cheveux et en me mettant une gifle de son autre main

« C’est promis maîtresse » et vlan une autre gifle

« C’est bien ,relève toi et montre moi un peu ce beau pantalon. Tu l’as bien choisi, il te serre bien, mon salaud !» Elle me caresse les fesses et la bite à travers le cuir. Je bande encore plus. 

« Tu m’as l’air en forme aujourd’hui, c’est le cuir, c’est normal je savais que tu aimerais ça, c’est pour ça que je te l’ai fais acheter. Tu es maso, tu aimes être contraint, par les habits par les femmes, avec moi tu vas te régaler ! C’est pas ta femme qui te donnerais de tels conseils, hein ? Qu’est ce qu’on dit à Martine ? »

  « Merci maîtresse Martine ».  Bang une autre gifle.  

« J’ai dit qu’on m‘appelai maîtresse, pas maîtresse Martine «  

« Bien maîtresse »  

« Assied toi sur le lit  et lèche moi encore, petit salaud «   

Je m’assied et elle se met devant moi en me tournant le dos pour me présenter ses fesses que je me mets immédiatement à sucer et a embrasser.  

  "Pas que les fesses!  le trou du cul aussi »

Elle se penche en avant, écarte les jambes et recule vers moi pour bien me présenter son petit trou rosé. Je suis un peu étonné je n’ai pas trop l’habitude de faire une telle chose mais je n’ai pas le choix. Ca ne sens pas mauvais, elle est très propre et a du se parfumer avant. J’y vais de bon cœur et y prend vite plaisir. Elle a des fesses dodues et fermes avec une raie bien marquée. Je fourre mon nez, ma langue, elle a l’air de beaucoup s’amuser !  

Pourtant elle me dit:« Allez, fini de s’amuser on passe aux choses sérieuses »

Elle se relève, ouvre entièrement sa robe pour libérer ses seins et elle me les passe sur la figure, en se caressant le bout sur le cuir de mon gilet. Je comprend qu’elle est fétichiste du cuir comme moi je le suis de la soie et du satin.

« Mets toi debout et penche toi en avant que je puisse fesser ce  joli cul en cuir »

Elle sort une verge et commence à frapper. Les coups sont amortis par le cuir mais la douleur est quand même forte. J’accuse le coup, elle le voit, mais continue et frappe de plus belle. 

« Mais dis donc tu vas pas pleurer  pour une fessée petit salaud, dis plutôt merci ! ».

« Merci maîtresse »

Ca a du mal à sortir mais quand ça sort quand même. C’est jouissif. Elle continue un peu plus fort encore, un peu plus vite. Je ne sens plus mes fesses. C’est ça le masochisme : prendre plaisir alors qu’on a mal et qu’on voudrait arrêter et dire encore .

« Encore maîtresse, s’il te plait »

« Tu n’as pas droit de demander c’est moi qui décide ici, retourne toi »  

Elle a sorti le martinet maintenant et me flagelle les cuisses et les flancs et le sexe en érection. Ca fait très mal, c’est cuisant. Je me protège en tombant à genoux, ça l’énerve, elle se met à me flageller violemment le dos, je finis par m’étaler sur le ventre, elle me donne des coups de talons sur les fesses et dans les reins, elle semble prise d’une cris d’hystérie je prends peur et me recroqueville  

D’un coup elle s’arrête, elle s’accroupie à coté de moi, me prend dans ses bras  et me retourne.

  « Voilà c’est fini ma petite lopette, ça fait mal mais tu aimes ça quand meme . Tu verras, bientôt tu ne pourras plus t'en passer et tu en redemanderas.  Tiens, pour l'nstant, tête ces belles mamelles » et je me mets avidemment à lui sucer les seins. Elle s’allonge à l’envers de moi et défait mon pantalon. Elle a du mal tant il est serré. Elle prend son temps avec les boutons,  elle en profite pour me caresser, manifestement ça lui plait le cuir ! et c’est tant mieux pour moi, j’ai un peu de repis. Quand elle y arrive enfin mon sexe jaillit comme un guignol de sa boite.

  « Olé ! en voilà un bien en forme », elle l’encapuchonne d’une capote qu’elle sort de je ne sais où et commence a me sucer. En même temps elle a bien pris position sur moi pour mettre son sexe sur ma figure et comme la semaine dernière je me mets à la sucer comme un goulu. Elle y prend assez de plaisir pour me laisser faire alors qu’elle arrête de me sucer. Elle est rrès mouillée et elle m'inonde le visage. 

« Allez à quatre pattes maintenant ! On va prendre dans le cul ! Baisse ton pantalon que je prenne un godmichet !" . elle me donne des tapes sur la queue puis sur les fesses

 Elle se relève pendant que je me mets à quatre pattes et sort d'un tiroir de sa commode un gode ceinture en latex bleu foncé. Il me semble énorme mais je ne dis rien. Elle le fixe rapidement autour de sa taille et vient fièrement de planter devant moi en me tendant une capote.

« Allez enfile la capote et suce le gode avant que je t’enfile moi »

J’obéis fébrilement, le contact du gode sur mes doigts m’excite, j'en tremble mais j’y arrive quand même rapidement. Elle le relève « Bravo, mon petit enculé, on voit que tu as l’habitude d'encapuhoner des bites, allez lèche maintenant ! ». Elle enfonce le gode dans ma bouche, avec douceur, et je me mets à le pomper comme si c’était une vraie .

-"Tu aimes ca, petit salaud !"

C’est vrai j’aime ça, je lui caresse les fesses en même temps  , elles sont douces et fermes je me remets à bander. Elle s'ennuie rapidement… 

- " Allez, on passe aux choses sérieuses  maintenant."

Elle m’enlève brutalement le gode de la bouche et me dit :

- "Mets-toi à quatre pattes sur le lit pour être à la hauteur et cambre toi bien que je puisse t'enfiler facilement"

Je m’exécute immédiatement. J’ai encore le pantalon en cuir aux chevilles qui me gêne mais je n’aie pas le temps de l’enlever. Elle m’enduit le trou du cul de lubrifiant et d’un coup, à la hussarde, m’encule avec cet énorme gode.  Je ne peux retenir un cri de douleur mais en même temps une onde de plaisir part de mes couilles jusqu’au bas des reins. Elle est couchée sur moi, elle me ramone violemment, comme si c’était un mec, tout en en me branlant la bite et me serrant les couilles. Cela ne dure que quelques minutes mais j’ai l’impression que cela dures des heures. Je jouis longuement, en gémissant, entre douleur et plaisir intense. J’en pleure.

Elle s’arrête aux derniers soubresauts de mon orgasme et sort d’un coup le gode. Je m’affale sur le lit, le satin des draps est frais. Je m’abandonne. Elle ne dit rien pendant un moment, je ne bouge pas, j’ai mal au cul mais suis parfaitement rassasié.

Je l’entends qui va et vient, ranger son matériel. Elle revient avec un linge humide pour m’essuyer le cul.

- " Tu saignes un peu, c’est normal tu n’a pas l’habitude d’aussi gros engins, les petites tapettes ou les travelos avec qui tu vas ne sont pas aussi bien montés ! Mais tu verras tu t’y feras !"

Je me retourne sur le dos, les jambes biens écartées pour qu’elle puisse bien m’essuyer. Je suis épuisé, endolori de partout sans aucune initiative. Elle s’en aperçoit. Elle a revêtue un petit déshabillé en satin vert amande, elle est toute douce. Elle me fais m’asseoir sur le bord du lit et se tient droite devant moi, le sexe à hauteur de ma tête.

-" Tu as pris beaucoup de plaisir, alors lèches moi maintenant, il faut que tu me fasses jouir avec ta langue."

Ce que je fais sans rechigner, longuement, en m'appliquant pour la faire jouir, ce qui ne tarde pas. E lle presse sons sexe contre ma figure, j'enfonce ma langue dans son étui humide.. Elle est à nouveau très mouillée et brulante, elle ruisselle dans ma bouche et sur ma figure. Elle sent bon, c'est délicieux. Elle a un long orgasme pendant lequel je n'arrete pas de la lecher. Elle fini par me repouss et s'éloigner de moi

-"Allez , ca suffit, va te laver"

Je vais dans la salle de bain faire un brin de tilette et me rhabiller. A mon retour dans la chambre, elle est redevenue la maitresse. Elle a remis sa robe en cuir et ses bottes. Elle a le regard dur. Elle s'approche de  moi et me gifle violemment à plusieurs reprises.

-"je ne t'ai pas entendueme dire merci!"

-"Merci maitresse" ?"

- "merci de quoi?" et je prends deux autres aller  retour, j'ai les joues en feu et la bite qui durci.

-"Merci maitresse de m'avoir laissé te lècher et te faire jouir"

-"c'est bien, tu vas devir un bon soumis. Reviens jeudi prochain à la même heure, avec tes habits de tapette mais je veux que tu portes aussi des sous-vêtements de ta femme.. Un soutien gorge, une culotte et un porte jarretelles avec des bas noits. je te donnerai une vraie bite à sucer pendant que je t'enculre. maintenant dépêche toi de partir , j'ai un autre client que je veux pas que tu ren contres encore.

Je suis parti sans voir personne, complètementretournée par cette seance. autant dire que je ne suis pas retourné travailler dans cet état.Je suis allé faire un tour en voiture puis suis rentré tranquillmeent chez moi

 C’e était la première fois que je faisais jouir une pute. Mais à partir de ce jour là, ce n’était plus une pute, c’était devenue ma maitresse à laquelle, pendant des mois, j’allais être  totalement dévoué.

  Mais ceci est une autre histoire qui ne fait que commencer...

 

( A suivre )

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 16 août 3 16 /08 /Août 16:02

La troisième fois que suis allé chez elle, je lui ai amené une guêpière, moitié dentelle, moitié satin noir que j’avais acheté spécialement pour elle. J’avais pris beaucoup de soin à la choisir et j’espérais avoir pris la bonne taille. Je m’étais habillé comme d’habitude pour aller voir une pute, un peu tapette, avec porte jarretelles et bas, string en soie, chemise en satin et gilet en soie. J’avais laissé ma braguette ouverte avec le paquet bien en valeur, pour qu’elle puisse y mettre la main quand je rentrerais.


Elle est venue m’ouvrir à peine j’avais sonné. Elle m’attendait, j’avais annoncé ma venue par téléphone.  En entrant dans le vestibule, elle ne me mis la main dans la braguette  que furtivement, sans trop appuyer sa caresse comme je l’aurais souhaité, mais elle l’a fait quand même ce qui montrait qu’elle avait bien intégré mes habitudes et mes manies. Une vrai pro. (Il y a des filles qui notent tout sur leur client à chaque passe  ce qui leur permet  d’être en phase avec eux à chaque coup, j’ai eu l ’occasion de lire une de ces carnets. J’aime assez cette idée. Mais à vrai dire ce n’est pas du tout son cas, elle le faisait sans note, preuve peut être qu’elle n’avait pas trop de clients). Comme j’insiste, elle remet la main et sa caresse plus insistante me fait déjà bander. Ca l’amuse.

" - Tu as mis une belle culotte aujourd’hui  ! C’est pour venir me voir que tu t’es fait beau ? " 

" - Bien sur, mais c’est pas une culotte, c’est un string ! "

" - C’est vrai que tu aimes porter des strings, moi ça m’énerve, ça me gène dans la raie du cul, je préfère ne rien porter ! "

Elle retire sa main de la braguette, me donne une tape appuyée sur les fesses et remonte sa jupe pour bien me montrer qu’elle ne porte rien. Elle a toujours sa petite jupe en latex et un haut moulant assorti, très décolleté. Elle est fier de ses seins et aimes les montrer aux clients. C’est bien. Ils ne sont pas très gros mais bien  fermes. J’aime les caresser. A peine entrés dans la chambre, je lui donne le paquet contenant la guêpière que je lui ai acheté  et les billets de notre passe.

" - Super un cadeau supplémentaire aujourd’hui ! " 

 Elle sort  la guêpière du sac. Elle a l’air de lui plaire…

 " - Tu veux que je la mette de suite ? "

 

 

 

 

" - Bien sur "

Elle se déshabille rapidement : dégrafe son haut et laisse tombe sa jupe, elle est toute nue.  

" - Tu veux que je mette des bas aussi ? " 

"  - Oui ".

Je ne suis pas très loquace car je suis intimidé. Je pose ma veste sur une chaise,  reste en gilet pour l’aider à agrafer la guêpière.

 " -  Ah! tu veux le faire !....."

 

" - Oui " je suis un peu fébrile et j’ai du mal à attacher toutes les agrafes. Elle s’impatiente un peu .  

" - Tu n’es pas trop habile " 

" - C’est surtout que je suis trop excité ! " 

Elle rigole! La guêpière lui va à merveille , elle lui serre bien la taille et les reins dans un fourreau de satin et ses seins sont bien mis en valeur. Elle lui plait et me le dit :  

"  - Déshabille toi pendant que je passe mes bas " 

Je baisse mon pantalon et je reste comme ça. Je lui demande de ma caresser dans cette tenue dès qu’elle a fini de passer ses bas. Elle le fait pendant deux ou trois minutes mais ça ne lui plait pas trop et me demande rapidement de l’enlever.  

Pendant quelle me mets la capote, je la caresse dans sa belle guêpière et ça me fait de l’effet. Elle a juste à me caresser un peu les couilles pour que je bande fort. Elle s’amuse prend ma bite à pleine main et la tire vers elle je suis déséquilibre et je tombe sur elle  sur le lit elle me fait me retourner sur le dos et commence a me sucer avec application.  

«  - Pas si vite je veux pouvoir te caresser encore « 

  Elle me laisse me redresser elle est debout entre mes jambes et je lui embrasse les seins à travers le fin tissus de la guêpière .

 

"  - Tu veux un doigt ou le gode ? " 

" - Je préfère que tu commences par un doigt «  

J’ai a peine dit ça qu’elle m’enfonce  son majeur dans le cul. Je ne peux réprimer un petit gémissement de douleur .  

" - Tu n’aimes pas comme ça ? " 

Elle insiste encore un peu.  

« -  Non, mets du lubrifiant s'il te plait! »  

Elle le retire, enfile une capote au bout du doigt, met une grosse larme de vaseline et recommence. C’est mieux. Elle bouge son doigt dans mon anus et je suis presque prêt à jouir.  

" - Doucement ça va trop vite "  

Elle continue quand même.  

" -  Il faut arrêter de me donner des ordres, ici c’est moi qui commande. Mets toi à quatre pattes sur le lit"  . 

Je m’exécute .  

" - Baisse la tête, appuie toi sur les coudes, remonte bien ton cul "   

Je fais exactement ce qu’elle me dit. Elle a sorti son martinet et commence à me donner la fessée. Ca fait mal, j’ai la tête dans le dessus de lit en satin, mon petit gilet me serre et j’ai chaud. Je ne le lui dît pas car la fessée est délicieuse mais elle le voit . Elle s’arrête.  

"  - Ca va ? Tu as bien pris cette fois ! Respire ! "

 Je me redresse échevelé. J’ai les fesses en feu. Elle me passe une pommade rafraîchissante . C’est délicieux. Quand elle a fini, je m’assied sur le lit. Elle me pousse d’un coup d’épaule pour que je m’allonge sur le dos. D’un mouvement leste elle grimpe sur le lit, a l’envers de moi et s’accroupit à la hauteur de mon visage comme si elle allait pisser.

 

 «  - Tiens pour te rafraîchir, lèche l'abricot maintenant. " 

Et elle s’assied sur mon visage. J’ai les lèvres de son con sur ma bouche. Elle sont humides que les suce goulûment . 

" -  Allez va y mets la langue »

 Je sors la langue et l’engonce au maximum dans son con. J’’aime le goût de son suc qui me dégouline sur tout le visage. Pendant ce temps, lentement elle m’a saisie la bite et la branle . Elle se tortille sur mon visage, j’ai du mal à respirer et plus elle bouge plus elle me branle. Elle s’allonge sur moi, en 69 et se remet à me sucer. Et à me branler le cul avec son doigt. Elle me serre maintenant la tête entre ses cuisses.

 C’est trop , je jouis longuement, elle se trémousse toujours, je comprends qu'elle aussi elle est en train de prendre son pied . Mais elle n’en dit rien, bien sur.  

 

 

«  - Tu as aimé mon chou ? En tout cas c’est bien, tu as été docile. La prochaine fois je t’enculerais avec le gode ceinture , OK ? Pour l’instant va sous la douche.» 

 

Je suis trempé de sueur, ma chemise en satin et mon petit gilet sont dans un drôle d’état. J’enlève tout ça avec plaisir ainsi que ma capote pleine de sperme et vais rapidement prendre une douche comme elle me le propose.

 

«  - Et n’y reste pas une heure, j’ai un rendez vous qui arrive. Faut que je me prépare , Je dois me déguiser en infirmière pour jouer au docteur avec lui tu vois le genre ! »  

Je vois le genre.. .

  

Quand je sors, je vois qu’elle a déjà quitté et rangé la guêpière et enfilé un peignoir en soie.. . 

« - Rhabille toi vite pendant que je prend la douche. »  

Je m’habille tant bien que mal, mais je suis un peu fripé, moins fringuant qu’en arrivant. Je met ma veste sur une chaise et je l’attend dans le salon.  

Elle revient très vite, elle est nue avec des babouches à hauts talons. Elle porte les habits de l’infirmière dans ses mains : une petite blouse en nylon très fine et courte, boutonnée sur le devant avec une petit ceinture. Tout ne me parlant elle s’habille.  

« -J'ai compris que tu était maso et un vrai soumis. Tu vas oprendre ton pied de cette façon.Tu es prêt à devenir une vrai lopette, c’est bien. C’était une première séance de domination et tu as bien réagit. Tu aimes ça,  ca se vois! Je vais devenir ta maîtresse et tu sera mon esclave.  A partir de la prochaine fois on commence le dressage. OK ? »  

« - OK, ça marche. »  

Je suis un peu surpris du ton mais la sensation de domination est plaisante. Tout en finissant de passer sa blouse, s’est approché de moi. A peine ai-je fini de répondre qu’elle me flanque un aller retour cuisant qui me surprend.  

«  A partir de maintenant tu dis oui maîtresse, pas Ok, Ok ?. Elle me re-flanque un aller retour. Ca fait mal, mais j’ai la bite qui se durcit quand je lui dis :  

« - Oui maîtresse !»  

« -Voila c’est mieux, et ferme ta braguette avant de partir , tu ne l’ouvriras que quand je te le dirais ». Elle joint le geste à la parole et reboutonne habillement ma braguette.

"  - Bien tu reviens mercredi prochain, à 14H. Je veux que tu portes un pantalon et un gilet en cuir . Pas besoin de culotte et de tout le tralala, je vais te défoncer le cul. "

 « Oui maîtresse »

 « - Maintenant il faut que tu files avant que l’autre pignouf arrive, mais avant fais un bisou au petit jésus"  Elle m’attrape par les cheveux , m’oblige à me baisser et appuie ma tête contre son sexe pour que je l’embrasse. Ce que je fais à pleines lèvres. Elle me repousse rapidement, me donne une grande tape sur les fesses : « Brave petit, mais c'est qu'il serait prêt à remettre ça, la petite salope! »  

 

 

On sonne à la porte. Je vais dans la chambre le temps qu’elle aille ouvrir et qu'elle fasse entrer le client dans le salon, puis elle revient me chercher pour me faire sortir. Je lui demande si je peux rester, en me cachant, pendant qu’elle fait sa passe pour regarder. Elle hésite, ça l’amuse un peu, mais elle juge que c’est trop risqué si le cleint s’en aperçoit, elle me dit qu'on verra ça une autre fois et qu'elle pourra organiser des trrucs avec certains de ses clients.

Je me retrouve dehors en ayant oubié ma veste, avec ma chemise en soie toute trempée et mon gilet tout fripé. J’ai un peu honte, je me dépêche de rejoindre ma voiture.  

J’ai hâte d’être à la semaine prochaine

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 24 avril 1 24 /04 /Avr 12:44

Une pipe au bord de la route, c'est souvent comme ca que ca se passe .

Même si la pute n'est pas toujours aussi jolie, le plaisir est là !

 

 

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 21 mars 2 21 /03 /Mars 00:59

 

 

Sur le bord de la route, entre 15h et 16h, je vais en rendez vous chez un client, mais je me sens un peu chaud.


Elle est assise en travers sur le siège avant de sa voiture, la portière ouverte, tournée vers la route. Elle fume.  Elle porte une minijupe noire en skai et un corsage assorti, très ouvert, on voit les bretelles en satin rouges de son soutien - gorge. Elle a plutôt un style gitane avec des cheveux courts et bruns, la peau très bronzée.  Lorsque je lui parle, elle décroise ses jambes et les remonte pour mieux me laisser voir ses bas noirs, son porte jarretelle et son string rouges. C'est ce qui me décide. Elle a l'air très douce et très gentille avec un fort accent du midi. En se levant, son corsage s'ouvre entièrement  et je peux admirer ses petits seins ronds et menus, aux bouts pointés, qu'elle arbore sans complexe, bien mis en valeur par le soutien - gorge sans bonnets.


Moi, je porte un costume noir en trois pièces, dont le pantalon et  la veste sont un peu trop serrés, un caleçon en soie champagne, taille 2, une chemise en popeline col montant et  une cravate en soie marron qui me serre le cou. Je me sens  un peu étriqué et j'ai chaud, mais suis très excité d'être en contact avec elle.


"  - C'est 100 balles la pipe ou 200 balles l'amour ". J'opte pour la pipe, du moins pour commencer.


 Elle monte dans ma voiture par la porte passager et elle m'indique la direction dans laquelle nous devons aller: au bout d'un chemin de terre, derrière une sorte de talus. Le temps que je manoeuvre, une voiture arrive derrière nous. Elle redescend et me laisse seul quelques instants pour aller discuter avec le gars qui a baissé la vitre de sa portière, puis reviens s’asseoir près de moi. Sa jupe est presque entièrement dégrafée sur le devant et laisse voir ses jambes gainées de nylon et son petit slip de satin rouge. Je commence à bander fortement..


Voulant faire le malin je lui dit:

  " - Tu m'as fais peur, j'ai cru que tu voulais prendre deux clients en même temps !"

Elle rit:

" - Ne t'inquiète pas, c’est un habitué, je lui ai simplement demandé d'attendre que nous ayons finis".

 

Je reste au volant de la voiture, elle se tourne vers moi.  Je lui tend le billet de 100 F qu'elle mets dans son sac et sort un préservatif. Je défais mon pantalon et ouvre ma braguette. Mon sexe est bien bandé dans la soie du caleçon. Je trouve ça très excitant, mais ça n'a pas l'air de l'émouvoir outre mesure.

J

e lui demande:

" Tu veux bien me caresser avant de me mettre la capote?"


A mon grand étonnement, elle accepte. Elle me caresse un instant la bite à travers la soie du caleçon du bout de ses doigts très fins. J'en profite pour lui caresser les seins et les fesses, elle se laisse faire en hochant la tête

 

:" Normalement, pour une pipe, je laisse pas faire.."

puis rapidement me dit:

"Allez ça suffit, maintenant déshabille toi".

 

Je baisse d'un coup pantalon et caleçon jusqu'aux genoux. Elle m'encapuchonne habillement le bout avec un préservatif car je commence à mouiller et se met à me sucer consciencieusement. Elle a des gestes doux, caresse bien les couilles, me mordille le gland avec beaucoup d’expertise. Elle accepte "exceptionnellement" dit-elle de se laisser caresser les fesses mais quand j'essaie d'aller plus loin et de mettre un doigt dans le trou de son cul, elle se rebiffe:

 

"Non, arrête, tu exagères"

 

.Mais je continue quand même à la caresser car elle a la peau très douce. Elle a de petits seins aux bouts bien durs que je trouve très excitants. Je vais habituellement avec des femmes qui ont de gros seins et ces petites pommes me dépaysent.  

 

« Si tu veux continuer, donne moi 100 balles de plus et on fais l’amour ».

 

Je me contorsionne pour atteindre la poche de mon pantalon qui est à mes pieds et je lui donne un autre billet qu’elle range précautionneusement avec les autres.

 

 Elle dégrafe complètement sa petit jupe, la pose sur le siège et viens s’asseoir face à moi. J’ai ses petits seins juste en face de mon visage. Je ne résiste pas à les embrasser, à sucer avidement ses tétons qui s’allongent. Manifestement ça ne la dérange pas, j’ai même l’impression qu’elle apprécie. Lorsque je me mets à les mordiller elle me dit :

« Doucement ! »

et se retire un peu. D’un geste habille, elle écarte un peu sa culotte et s’enfile ma bite dans le con jusqu’à la garde.

 

Bien assise sur mes couilles elle se met à remuer lentement.  J’ai très chaud, elle le voit,  et pendant que je déboutonne le gilet de mon costume, elle desserre un peu ma cravate :

 

 « Mets toi à l’aise mon chou, tu à l’air trop guindé ».  

 

Elle se caresse les bout des seins avec ma cravate en soie :

 

« C’est doux ».

 

Je me remets à lui sucer les seins. Ils sont si petits et si fermes qu’il me semble que je pourrais les prendre entiers dans ma bouche. Elle se remet à se tortiller savamment ce qui me fait décharger très rapidement alors que je n’ai presque pas bougé. Elle s'étonne presque de me voir jouir si vite.

 

" Eh bien, dis donc, tu avais envie on dirait "me dit-elle en riant, « ou bien c’est que je te plais vraiment ! ».

 

Je vois qu'elle se moque un peu de moi, mais je suis troublé et je ne sais que lui répondre. Elle s'en rends compte et arrête de se moquer. Je donne de petits coups de bassin pour finir de me vider. Elle attend sagement, toujours en jouant avec ma cravate.


 

 Elle a des gestes  très doux pour se retirer, elle m'enlève délicatement le préservatif et m'essuie le gland avec un morceau de Sopalin qu'elle fourre dans un sac en plastique Elle se rajuste tant bien que mal, remets sa jupe qu’elle ferme consciencieusement mais elle ne cache rien de ses jambes, essaye, sans tant bien que mal de refermer son corsage, ouvre la portière et sort en souplesse de la voiture. Elle se penche à l'intérieur pendant que je me rhabille maladroitement, pour me faire un gentil baiser sur la joue et lâche un joyeux

 

"Salut!".

 

Elle part gaiement vers le client suivant.


Je l’observe par le rétroviseur. Le gars l’attend debout près de sa voiture. Manifestement ils se connaissent car elle va vers lui et l’embrasse amicalement. Lui sans vergogne, passe ses mains sous la jupe et lui pelote les fesses. Elle rie et se laisse faire. D’un coup de main, il dégrafe les pressions de la jupe et qui tombe à ses pieds, elle se retrouve, en string, cul nul. Ca commence à devenir intéressant, je me demande s’ils vont faire l’amour dehors devant moi. Le spectacle m’intéresse, et bien que débandé je suis preneur.  Mais là c’est un peu trop pour elle, elle sait que je suis encore là et ne veut pas se donner en spectacle.

Elle revient vers moi, dans cette tenue très érotique avec ses hauts talons, en string et son corsage ouvert :

 

« C’est fini mon chéri, faut y aller, j’aime pas les voyeurs et j’ai du travail ! Reviens me voir dès que tu veux, mais reste pas là maintenant »


Je suis un peu honteux de m’être incrusté et d’avoir volé cette scène, mais après tout j’en garde un joli souvenir.


J’ai essayé de retourner la voir, mais je ne l’ai plus vue dans ce coin, ma belle gitane.

Peut être a-t-elle arrêté le tapin après avoir rencontré un beau prince charmant. J’en doute un peu mais je l’espère pour elle.

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 00:11

Finalement je n’ai pas trop tardé à retourner la voir. La semaine suivante j’ai repris

Rendez-vous,. J’ai pris soin à mon habillement comme d’habitude. J’ai mis un costume gris, assez chic de cher Cardin dont le pantalon a la particularité d’avoir une braguette à boutons sans boutons (ils sont tombés et je ne les ai pas fais remettre, cela ne se voit pas quand je suis debout, mais m’oblige à faire attention lorsque je m’assied, mais qui est très pratique pour se caresser). J’ai remis la même  chemise en soie noire avec le petit gilet en satin brillant écossais vert très serré de la dernière fois puisque ça lui avait plu et une cravate en soie bleue clair  avec laquelle j’ai fait un gros nœud. En dessous je me suis bien préparé en mettant un caleçon en soie de couleur champagne, un porte jarretelles en satin noir avec des dentelles blanches et des bas noirs.

Dans le couloir, elle me met furtivement la main à la braguette, comme je le lui avais demandé, mais ce n'est pas suffisant. J’aime ces caresses indécentes et furtives, elle n’a pas l’air d’apprécier, cane fait rien j’insisterai. Elle porte la même robe en latex de la dernière fois, sans rien dessous,je m’en assure en passant la main entre ses jambes. Elle la retire énergiquement . « Doucement, faut d’abord payer et c’est moi qui commande ». Je n’ose la contredire.

 Elle me fait entrer dans sa chambre et je pose uniquement ma veste pour qu'elle puisse me caresser habillé, A nouveau ,elle me dit qu’elle me trouve très beau avec mon gilet en satin. J'enlève mes chaussures et baisse mon pantalon rapidement en ne dégrafant que la ceinture. Elle apprécie mon porte-jarretelles et mon caleçon. Elle me caresse bien la bite à travers la soie J'ai très chaud. Je déboutonne mon gilet, elle enlève sa robe. Elle est presque entièrement nue, elle n’a plus que ses bas et son porte-jarretelles. Je lui fais mettre mon gilet en satin que je viens de quitter. Elle a de petits seins agréables à caresser mais à travers le tissus du gilet ce n’est pas assez doux. Je lui propose d’échanger. J’enlève ma cravate et ma chemise en soie, je remets le gilet, le boutonne pendant qu’elle enfile ma chemise. C’est beaucoup plus agréable ainsi de lui caresser le dos et les seins, et ça m’excite de me sentir serré dans le satin du gilet.

 Elle baisse mon caleçon et me mets un préservatif. Je bande très fort, elle m’allonge sur le lit pour me caresser le ventre et les cuisses. Je lui demande de se branler devant moi avec un godemiché comme elle me l’avait proposé la dernière fois. Elle sort un joli gode du tiroir de la table de nuit et se l’enfonce dans le con, tout doucement  en poussant de petits soupirs. Je comprends bien qu’elle fait semblant mais peu m’importe ça me plait.. Je prend le gode dans ma main et la branle à mon tour. Elle fait de même avec ma queue. Nous sommes trè spr^ets l’un de l’auter j’essaye de l’embrasser, elle s’écarte, et refuse les basers. C’est normal pour une pute, je n’insiste pas.

 Je lui demande de  m’enculer avec ses doigts comme la dernier fois. Elle accepte et pour ce faire, prend un autre préservatif qu’elle enfile à son doigt comme un gant. Je m’assied sur le bord du lit. Elle me met le doigt dans le cul assez profond, elle le bouge et me dit «ca te plaît, mon salaud, de te faire enculer. Tu le sens bien ». Ses mots m’excitent, je me redresse un peu et son doigt rentre pus profond. Elle est penchée sur moi et je caresse son dos bien moulé dans la soie de ma chemise.Je lui lèche ses tétons, elle se laisse faire. Puis elle se baisse et mets ma bite dans sa bouche Elle se met à me sucer, à me pomper même, énergiquement et bien que je ne sois pas très dur, je finis par jouir assez violemment dans sa bouche. Elle continue à me sucer pendant que j’éjacule et bouge son doigts dans mon cul avec frénésie. Je lui demande d’arrêter  de bouger son doigt aussi fort mais elle continue un petit moment supplémentaire, je sens que ça lui plait de me faire mal, je n’ose plus me plaindre. Notre relation de domination est en train de se mettre en place.

 En me rhabillant, j’enlève mon porte jarretelles et je lui en fait cadeau. Elle à l’air ravie,elle le trouve très joli mais en définitive je ne sais pas si elle ne dis pas ça pour me faire plaisir. Je lui dit que j’aimerais qu’elle le mette quand elle est avec d’autres clients. Elle me le promet.  Lorsque je m’en vais elle me fais une bise très gentille et me tape sur les fesses.  « A la semaine prochaine mon con chou, n e m’oublies pas. Si tu le veux je te donnerais une belle fessée.. je crois que tu vas aimer … ! ». C’est vrai que lorsque je me retrouve dans la voiture j’y pense déjà.

 Je l’appelle quelques jours après au téléphone pour parler avec elle. Je lui demande si elle mets mon porte jarretelles avec des clients. Elle me dit que bien sur et qu’il plaît beaucoup. Elle dit que c’est un client qui le lui a offert. Je lui demande si elle dit que c’est moi. Elle me dit que non bien sur qu’elle est très discrète sur ses clients. Je lui dit que ça ne me dérangerait pas qu’elle parle de moi, mais elle ne se laisse pas entraîner  sur ce sujet. Elle me rappelle qu’elle m’attend pour la fessée. Je raccroche avec la bite bandée et vais me finir, discrètement, dans les toilettes du bureau. En espérant que personne ne remarquera mon manège.

 

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 16:14

Martine, de son vrai nom Linda. C’est une prostituée qui reçoit chez elle. Voici le récit de notre première rencontre. J’ai pris ensuite l’habitude d’y aller régulièrement. Elle est petite, blonde, des cheveux courts, assez jeune, elle fait ce métier depuis longtemps pourtant . Elle a de petits seins (85B) et se rase entierement le sexe,

 Cela fait plusieurs fois que je l’appelle au téléphone, en me caressant, en jouant plusieurs personnages pour la faire parler et voir ce qu’elle propose, mais je n’ai jamais encore pris le décision d’aller chez elle. Je ne sais ce qui me décide ce jour là. Je viens d’acheter une chemise en soie noire au centre commercial , chez C&A. Je suis allé la passer dans les toilettes du centre, ce qui me mets dans un état d’excitation considérable. Je porte un  pantalon marron en Tergal très doux, une veste en laine bleue, chemise en soie noire avec petit gilet en satin brillant écossais vert, très serré lui aussi, cravate en soie jaune . La chemise m’est un peu trop grande mai très agréable à porter.

C’est à ce moment là que je me décide.

 Je lui téléphone pour prendre rendez vous. C’est OK, elle m’indique à nouveau son adresse et me demande mon petit nom pour qu’elle puisse me reconnaître lorsque je sonnerai. Je vais dans un chemin de vigne pour finir de me préparer en enfilant mon caleçon en soie noir, taille 2, qui me serre bien les couilles. Je bande comme un cheval.

 Je me gare assez loin. Je m’arrête dans un bistrot pour boire un Vichy menthe car j’ai le gorge sèche , je ne sais pas pourquoi mais j’ai le le trac. J’ai du mal a trouver l’adresse  qu’elle m’a indiqué. Je suis obligé de demander le bâtiment . J’ai les mains qui tremblent un peu lorsque je sonne à sa porte et la voix nouée lorsque je lui donne mon nom.

 Elle m’ouvre la porte rapidement, comme si elle avait peur que quelqu’un nous surprenne. Je suis étonné de la voir aussi jeune , je m’attendais à la voir plus vieille par rapport à sa voix au téléphone. Elle porte une robe en latex noire très collante.  Elle me fait entrer dans sa chambre et je me déshabille entièrement pendant qu'elle retire sa robe, elle ne porte que ca met ses porte - jarretelles et ses bas, car je lui ai demandé d’en porter. Je n'ose pas lui dire que j'aimerais qu'elle me caresse habillé. J'ai très chaud. Je n'arrive pas à bander bien qu'elle me suce et me caresse avec application. Elle me propose de se branler avec un godemiché devant moi, mais je ne veux pas (je le regrette immédiatement car je pense que cela m'aurait excité, elle le fera d’ailleurs plusieurs fois par la suite et j’apprécie beaucoup). Elle propose de m'enculer avec ses doigts ou avec le godemiché. J'accepte qu’elle me fasse un doigt. Elle met un préservatif à son index, un peu de lubrifiant et me l'enfonce d’un coup  dans le trou du cul. J'ai un peu mal car elle va profond mais c’est très agréable quand même et même si je ne bande toujours pas , je sens le plaisir qui vient et mes couilles qui se remplissent.

 

 

 

 Elle parle sans arrêt de tout un tas de choses qui n’ont rien de très sexy, de s avie, de ses voisins, de sa mère et ça me déconcerte. J’ai plus du tout la tête à ça, et  j‘ai envie de m’en aller. Je lui demande d’arrêter un peu de parler et de se concentrer sur moi .Elle se remet à me branler énergiquement, je lui caresse les seins et le plaisir vient très vite. Je finis par décharger dans sa bouche bien que je sois encore un peu  mou. De ça, elle a l’air de s’en foutre bien que je sens que ça l’embête car elle comprend que si je ne bande pas je ne reviendrais pas. Alors elle se remet à me parler, me poser des questions. Elle voit que j’ai très chaud, que je suis mal et me propose un verre d’eau. Je vais dans la salle de bain pour me nettoyer ; elle me suis tout en continuant de me parler et comme j’ai du mal à enlever la capote, c’est elle qui le fait . Je me rhabille rapidement car j’ai honte.

 Je suis en sueur, mais je remet quand même mon petit gilet en satin et  ma cravate pour me donner une consistance. Elle apprécie mon habillement , me trouve très élégant et passe un peignoir en soie pour me raccompagner à la porte.  Elle me demande  si ça m’a plu et quand est ce que je compte revenir. Je sais que lui dire. Elle me fais une petite bise coquine dans l’ouverture de la porte etje m’en vais très rapidement, comme si je m’enfuyais.

 Dehors je me dis que je n’aurai jamais du venir et que je ne reviendrais pas...

 Pourtant quelque temps après, je la rappelle et nous discutons. Je lui raconte l’histoire impossible dans laquelle je me trouve où je suis harcelé par mon patron qui me fait des avances, qui veut à tout prix que je le suce. Elle me dit que je ne doit pas me laisser faire. Je la rappelle après pour lui dire que j’ai suivi ses conseils. Elle m’avoue que c’est bien la première fois qu’elle sert à quelque chose.

 Un autre jour , je la rappelle pour lui dire que ça empire, qu’il m’a refait des avances et que l’on s’est battu. On est roulé par terre, qu’il me serait très fort et que je sentais sa grosse bite bandé contre moi et que j’en étais troublé. On s’est ensuite redressé, il m’a filé des baffes et il m’a déchiré un très joli gilet en soie que je venais d’acheter chez Cacharel.. Elle rigole, elle me dit que je n’ai qu’a en faire un string de mon gilet. Je lui dit que je n’ai pas envie de plaisanter, qu’il m’a donné des coups et que ça m’a fait mal. Elle me demande si je suis pas un peu maso. Je lui demande pourquoi elle dit ça. Elle me dit que c’est parce que je ne sais pas trop ce que je veux. Je lui dit que peut-être elle a raison et que je vais lui céder. C’est ce que je ferais par la suite d’ailleurs mais c’est une autre histoire. Toujours quand je lui téléphone, je fait en sorte d’être bien seul, je déboutonne ma braguette et je me caresse en ayant bien pris soin de mettre un caleçon ou un slip en soie.

  Une longue histoire commence avec elle, je retournerais la voir plusieurs fois , elle acceptera de jouer une rôle de maîtresse dominatrice  ( à suivre ).

 

 

  

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 28 janvier 6 28 /01 /Jan 11:02

 

 

Martine, de son vrai nom Linda. C’est une prostituée qui reçoit chez elle. Voici le récit de notre première rencontre. J’ai pris ensuite l’habitude d’y aller régulièrement. Elle est petite, blonde, des cheveux courts, assez jeune, elle fait ce métier depuis longtemps pourtant . Elle a de petits seins (85B) et se rase entierement le sexe,

 Cela fait plusieurs fois que je l’appelle au téléphone, en me caressant, en jouant plusieurs personnages pour la faire parler et voir ce qu’elle propose, mais je n’ai jamais encore pris le décision d’aller chez elle. Je ne sais ce qui me décide ce jour là. Je viens d’acheter une chemise en soie noire au centre commercial , chez C&A. Je suis allé la passer dans les toilettes du centre, ce qui me mets dans un état d’excitation considérable. Je porte un  pantalon marron en Tergal très doux, une veste en laine bleue, chemise en soie noire avec petit gilet en satin brillant écossais vert, très serré lui aussi, cravate en soie jaune . La chemise m’est un peu trop grande mai très agréable à porter.

C’est à ce moment là que je me décide.

 Je lui téléphone pour prendre rendez vous. C’est OK, elle m’indique à nouveau son adresse et me demande mon petit nom pour qu’elle puisse me reconnaître lorsque je sonnerai. Je vais dans un chemin de vigne pour finir de me préparer en enfilant mon caleçon en soie noir, taille 2, qui me serre bien les couilles. Je bande comme un cheval.

 Je me gare assez loin. Je m’arrête dans un bistrot pour boire un Vichy menthe car j’ai le gorge sèche , je ne sais pas pourquoi mais j’ai le le trac. J’ai du mal a trouver l’adresse  qu’elle m’a indiqué. Je suis obligé de demander le bâtiment . J’ai les mains qui tremblent un peu lorsque je sonne à sa porte et la voix nouée lorsque je lui donne mon nom.

 Elle m’ouvre la porte rapidement, comme si elle avait peur que quelqu’un nous surprenne. Je suis étonné de la voir aussi jeune , je m’attendais à la voir plus vieille par rapport à sa voix au téléphone. Elle porte une robe en latex noire très collante.  Elle me fait entrer dans sa chambre et je me déshabille entièrement pendant qu'elle retire sa robe, elle ne porte que ca met ses porte - jarretelles et ses bas, car je lui ai demandé d’en porter. Je n'ose pas lui dire que j'aimerais qu'elle me caresse habillé. J'ai très chaud. Je n'arrive pas à bander bien qu'elle me suce et me caresse avec application. Elle me propose de se branler avec un godemiché devant moi, mais je ne veux pas (je le regrette immédiatement car je pense que cela m'aurait excité, elle le fera d’ailleurs plusieurs fois par la suite et j’apprécie beaucoup). Elle propose de m'enculer avec ses doigts ou avec le godemiché. J'accepte qu’elle me fasse un doigt. Elle met un préservatif à son index, un peu de lubrifiant et me l'enfonce d’un coup  dans le trou du cul. J'ai un peu mal car elle va profond mais c’est très agréable quand même et même si je ne bande toujours pas , je sens le plaisir qui vient et mes couilles qui se remplissent.

 

 

 Elle parle sans arrêt de tout un tas de choses qui n’ont rien de très sexy, de s avie, de ses voisins, de sa mère et ça me déconcerte. J’ai plus du tout la tête à ça, et  j‘ai envie de m’en aller. Je lui demande d’arrêter un peu de parler et de se concentrer sur moi .Elle se remet à me branler énergiquement, je lui caresse les seins et le plaisir vient très vite. Je finis par décharger dans sa bouche bien que je sois encore un peu  mou. De ça, elle a l’air de s’en foutre bien que je sens que ça l’embête car elle comprend que si je ne bande pas je ne reviendrais pas. Alors elle se remet à me parler, me poser des questions. Elle voit que j’ai très chaud, que je suis mal et me propose un verre d’eau. Je vais dans la salle de bain pour me nettoyer ; elle me suis tout en continuant de me parler et comme j’ai du mal à enlever la capote, c’est elle qui le fait . Je me rhabille rapidement car j’ai honte.

 Je suis en sueur, mais je remet quand même mon petit gilet en satin et  ma cravate pour me donner une consistance. Elle apprécie mon habillement , me trouve très élégant et passe un peignoir en soie pour me raccompagner à la porte.  Elle me demande  si ça m’a plu et quand est ce que je compte revenir. Je sais que lui dire. Elle me fais une petite bise coquine dans l’ouverture de la porte etje m’en vais très rapidement, comme si je m’enfuyais.

 Dehors je me dis que je n’aurai jamais du venir et que je ne reviendrais pas...

 

 Pourtant quelque temps après, je la rappelle et nous discutons. Je lui raconte l’histoire impossible dans laquelle je me trouve où je suis harcelé par mon patron qui me fait des avances, qui veut à tout prix que je le suce. Elle me dit que je ne doit pas me laisser faire. Je la rappelle après pour lui dire que j’ai suivi ses conseils. Elle m’avoue que c’est bien la première fois qu’elle sert à quelque chose.

 Un autre jour , je la rappelle pour lui dire que ça empire, qu’il m’a refait des avances et que l’on s’est battu. On est roulé par terre, qu’il me serait très fort et que je sentais sa grosse bite bandé contre moi et que j’en étais troublé. On s’est ensuite redressé, il m’a filé des baffes et il m’a déchiré un très joli gilet en soie que je venais d’acheter chez Cacharel.. Elle rigole, elle me dit que je n’ai qu’a en faire un string de mon gilet. Je lui dit que je n’ai pas envie de plaisanter, qu’il m’a donné des coups et que ça m’a fait mal. Elle me demande si je suis pas un peu maso. Je lui demande pourquoi elle dit ça. Elle me dit que c’est parce que je ne sais pas trop ce que je veux. Je lui dit que peut-être elle a raison et que je vais lui céder. C’est ce que je ferais par la suite d’ailleurs mais c’est une autre histoire. Toujours quand je lui téléphone, je fait en sorte d’être bien seul, je déboutonne ma braguette et je me caresse en ayant bien pris soin de mettre un caleçon ou un slip en soie.

  Une longue histoire commence avec elle, je retournerais la voir plusieurs fois , elle deviendra ma maîtresse dominatrice  ( à suivre ).

 

  

 

 

 

 



 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés