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  • : J'ai entrepris de raconter l'exhaustivité de ma vie sexuelle, de mes premiers amours homosexuels à mes expériences masos et domination, mes 3 mariages, et mes relations avec les prostituées. J'aie le sexe et suis fétichiste de la soie et de satin. Je veux faire partager mes passions au maximum et dans toutes les variétés de mes désirs. Bonne lecture
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  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes

les histoires de dédé du Nord

Jeudi 27 avril 4 27 /04 /Avr 17:59

Chapitre 1

Il y a plusieurs années, j’étais étudiant en fac de math et j’avais besoin
d’argent. J’ai donc mis une annonce dans un journal local en me proposant
pour faire des cours du soir à domicile niveau première ou bac. Après
plusieurs jours, une femme m’a appelé : sa fille était en première
littéraire mais était vraiment nulle en math, même au faible niveau demandé
dans cette filière. J’ai donc indiqué mon tarif de 15 euro de l’heure et le
premier rendez vous a été fixé pour la semaine suivant, le samedi
après-midi.
C’était en banlieue parisienne dans un quartier assez chic. Quand je vis la
maison, je regrettais de n’avoir proposé que 15 euro, si j’en avais demandé
le double cela aurait certainement été accepté. A mon coup de sonnette, une
femme, la quarantaine, vint m’ouvrir la porte. Elle portait des lunettes et
était habillée bon chic bon genre. Elle me répéta ce qu’elle m’avait dit au
téléphone puis elle appela sa fille, Hélène, dans les escaliers. « Hélène,
ma chérie, descends ton professeur est arrivé ». Après un « oui j’arrive »,
la jeune fille descendit lentement. Elle était mignonne, des cheveux longs,
les yeux marrons, assez grande. Après les présentations, je montais avec
elle dans sa chambre pour commencer le cours.
Sa chambre était très grande et bien rangée. Il y avait un bureau dans le
fond, on s’y installa cote à cote et je lui fis faire un exercice assez
simple de résolution d’une équation du premier degré. Elle ne comprenait en
effet vraiment rien au math. Je m’efforçais donc d’être très pédagogue.
Après une heure de cours environ, la mère entra dans la chambre avec un
plateau. « C’est l’heure du goûté » elle s’exclama en riant. Elle amenait
deux verres de jus d’orange et des petits gâteaux. Pendant cette petite
pause j’appris que Hélène était fille unique, elle avant 16 ans. Son père
était médecin, sans mère ne travaillait pas. Après le goûté, nous reprîmes
le travail pendant une autre heure. Quand ce fut fini, je sortis de la
chambre avec Hélène qui m’accompagnait. La mère m’attendait en bas de
l’escalier avec une enveloppe contenant 30 euro. Hélène dit à sa mère que ce
cours lui avait permis de mieux comprendre les problèmes posés. La mère
demanda si je pouvais revenir et à la fin on décida que je devais venir deux
fois par semaine, le mercredi soir vers 17H et le samedi après midi vers
14H. J’étais content car j’allais me faire de l’argent assez rapidement.



Chapitre 2

Je vins comme cela plusieurs semaines d’affilé faire mes cours de
mathématique. L’ambiance était assez cordiale. Hélène s’appliquait sur ses
exercices. On faisait toujours une pause à mi-temps pour parler de chose et
d’autre. Hélène allait dans un lycée privée. Elle était casanière et elle
n’avait pas beaucoup de sortie ou alors c’était avec ses parents.
Un samedi, on était au début du printemps, Hélène vint m’ouvrir la porte.
Elle avait mis une petite jupe d’été. Je ne pus m’empêcher dès mon arrivé de
regarder ses jambes, elles étaient vraiment superbes, très jolie et très
minces et longues. Elle dut s’apercevoir de mon regard car elle excisa un
petit sourire, comme une satisfaction. Elle passa devant moi pour monter les
escaliers. Sa jupe d’été était très légère et un peu transparente. Elle
m’expliqua dans l’escalier que sa mère n’était pas là car elle avait été
invitée chez une amie pour boire le thé. Nous entrâmes dans sa chambre et
comme d’habitude nous nous sommes mis cote à cote à son bureau. Pendant ma
leçon, je ne pouvais pas m’empêcher de  jeter des coups d’œil sur ses
jambes, sa jupe remontant jusqu’à mis-cuisse. Elle devait s’apercevoir de
mes regards car  elle était troublée, je le voyais bien, elle n’était pas
aussi concentrée que d’habitude sur les exercices. Elle était à ma gauche.
A la fin d’un exercice, elle me regarda en me disant « et que faisons nous
maintenant ». Je ne savais pas si il y avait un double sens dans sa
question. Mais je voyais bien dans son regard un peu malicieux qu’elle
attendait quelque chose. Hélène était très timide. Je la regardais dans les
yeux. On resta comme cela, les yeux dans les yeux, sans rien dire, plusieurs
minutes. Je m’approchais alors doucement, pour l’embrasser. Elle ne fis
aucune résistance, comme si elle attendais ce moment ; on s’embrassa sur la
bouche. Sa langue tournait sur la mienne. Nous nous embrassions à ne plus
finir, je crois que nous ne voulions jamais nous arrêter. Elle avait les
yeux fermés. Je la serrais contre moi avec mon bras gauche. Elle s’approcha
encore, en écartant un peu les jambes. Toujours en l’embrassant, je posais
ma main droite sur sa cuisse et je commençais à la caresser. Je sentais que
son souffle s’accélérait dans son baiser. J’osais alors passer main
doucement dans le creux de ses cuisses, sous sa jupe. Elle écarta encore les
jambes. J’étais très excité, je bandais très fort dans mon pantalon. Mes
doigts se chevauchaient lentement vers son entre-jambe. Je touchais enfin sa
culotte. On s’embrassait toujours mais elle ouvrit alors les yeux. Je la
caressais à travers la toile de sa culotte qui était complètement trempée. A
ce moment, elle arrêta de m’embrasser et commença à gémir un peu. Elle baisa
les yeux à la hauteur de mon pantalon. Elle devait voir la grosse bosse qui
le déformait. Je glissais alors ma main dans son slip, je touchais alors son
clitoris et ses lèvres. Que c’était bon ! Je caressais le sexe de cette
jeune adolescente qui haletait de plaisir ! Je sentais son petit sexe tout
mouillé et ses poils très doux.


Chapitre 3

« Viens » je lui dis et je la fis se lever. Je fis descendre son slip
jusqu’en bas et elle souleva ses deux pieds un par un pour que je retire
complètement sa culotte. Elle s’assit alors à califourchon en face de moi,
ses deux jambes étant bien écartée. Sa jupe remonta alors et je vis le duvet
de son triangle féminin. Elle appuya son sexe juste sur la bosse de mon
pantalon. On recommença à s’embrasser. Je passais mes deux mains derrière,
je caressais son dos, puis ses fesses en dessous de sa jupe Tout doucement
je repris de lui caressé sa vulve par derrière, avec mon majeur. J’entrais
légèrement mon doigt dans son orifice humide et bien ouvert. Elle s’arrêta
un moment me regarda et me dis « je suis encore vierge ». Oui ça je m’en
doutais. Ce qu’elle ne savait pas c’est que pour moi aussi c’était la
première fois que je touchais le sexe d’une fille, même si j’avais quelques
années de plus qu’elle. ! Je me contentais de lui répondre « Ne t’inquiète
pas » et je repris de la caresser tendrement. Mon doigt passait
alternativement de son clitoris aux bords de ses lèvres, la pénétrant un
petit peu plus à chaque fois. Avec mon pouce je sentais quelque fois que je
touchais son anus. Et ma verge toujours très dure était tout contre son sexe
à travers le tissus. Je croyais que j’allais éjaculer dans mon slip, mais
c’est elle qui, d’un seul coup, se mit à gémir assez fort les yeux fermées,
la tête un peu en arrière. Elle venait d’avoir un orgasme très fort.


Chapitre 4

Quand elle fut remise elle ouvra les yeux pour me regarder avec un très
grand sourire. Elle avait le visage très rouge et elle était en sueur. «
C’était merveilleux » me dit-elle. Elle m’embrassa encore puis me dit
timidement « je n’ai jamais vu le … d’un garçon ». Je lui répondis « sort le
». Elle se mit alors à genoux devant moi, j’étais toujours assis sur ma
chaise. Elle déboutonna mon pantalon et fit descendre délicatement la
fermeture éclair. Je me soulevais un peu pour qu’elle puisse dégager mon
pantalon. Après quelques secondes d’hésitation elle abaissa mon slip jusqu’à
mes pieds.  Mon sexe était raide, tendu, presque droit. Elle restait là
devant moi, sans pouvoir détacher son regard de mon sexe. Tentant le tout
pour le tout je lui dis alors « Prends le dans ta bouche, embrasses le » et
elle m’obéit. Elle commença a faire des petits bisous sur le gland puis elle
descendit jusqu’à embrasser mes couilles. Je la tenais par la tête,
caressant ses cheveux. Puis elle pris ma bite dans sa main et la dirigeant
vers sa bouche, elle fit entrer complètement le gland. Que c’était bon !
Avec l’excitation et la douceur de sa bouche chaude, sans prévenir je ne pus
m’empêcher, j’éjaculais plusieurs secousses. Je la tenais si bien qu’elle ne
put se dégager et tout mon sperme s’expulsa dans sa bouche. Et c’est à ce
moment qu’on entendit la voie de sa mère dans les escaliers qui cria,  « je
vous emmène le goûté ». Mince, sa mère était revenu et on ne l’avait pas
entendu !


Chapitre 5

Hélène eut juste le temps de s’asseoir sur sa chaise et moi de remonter mon
slip et mon pantalon. Je mis le bouton mais pas la fermeture éclair ,
j’avançais ma chaise au bureau pour me cacher un peu. Sa mère entra dans la
chambre. Je remarquais alors que Hélène avait toujours la bouche fermée.
Elle avait encore mon sperme dans la bouche et ne savait pas comment s‘en
débarrasser ! Je remarquais aussi que sur un coin de ses lèvres, il y avait
quelques gouttes de sperme. Je  lui fis alors un signe du doigt pour le lui
signaler mais elle ne comprit pas . Sa mère nous interrogea « alors pas trop
dur de travailler avec le temps qu’il fait dehors ».  Je répondis comme si
de rien n’était. Puis la mère s’adressa à Hélène et lui dit « Tu as l’air un
peu malade non ? » Hélène se devait de répondre. Je la vis alors avaler sa
salive, avec toute ma liqueur qui l’accompagnait. Elle fit une petite
grimace quand le sperme passa dans sa gorge puis elle se leva pour prendre
le verre de jus d’orange qui était sur le plateau que portait sa mère. Elle
le bu en entier, d’un seul coup. Elle répondis enfin à la question de sa
mère « c’est que j’avais très soif ». La mère semblait un peu stupéfaite.
Puis je vis que son regard se porta par terre au pied de la table. Je
regardais au même endroit et je vis la culotte blanche de Hélène qui y
était. La mère regarda alors sa fille qui était en face d’elle et elle ne
put que s’apercevoir de la petite goutte de sperme qu’Hélène avait encore au
coin des lèvres. Dans son regard, je sus que la mère avait tout compris.
Elle resta la plantée quelques secondes, puis dit « Bon je vous laisse
travailler ». Elle repartit alors de la chambre. Je repris immédiatement la
culotte qui était rester par terre et je me mis à genoux pour l’enfiler à
Hélène. Elle souleva les jambe et je profitais encore un fois de la vue de
son minou. On se rassit puis on parla tout bas. « Tu crois qu’elle a vu
quelque chose ? » me demanda Hélène. Je lui répondis « Je pense pas ». Puis
nous fîmes semblant de travailler encore une demi-heure. A la fin je
redescendis et la mère m’attendait comme d’habitude avec une enveloppe.
Après avoir saluer, avec un petit clin d’œil pour Hélène qu’elle me rendit
avec un sourire je sortis. J’ouvris en chemin l’enveloppe. Il y avait les 30
euro mais aussi un mot de la mère qui écrivait « Merci de ne plus revenir,
ma fille n’a plus besoin de vos leçons ».J’en étais sûr elle avait compris
ce qui s’était passé. Mais je ne voulais pas en rester la….


A suivre

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : les histoires de dédé du Nord
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