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Mes expériences homesexuelles

Mardi 16 mai 2 16 /05 /Mai 20:44

J’aime bien aller dans les toilettes des centres commerciaux modernes, elles  sont en général très propres, grandes et tranquilles pour s’exhiber ou faire le voyeur en matant les pisseurs à côté de soi. Des fois ça marche, ils se prennent au jeu et ce peut être le début d’une relation mais souvent ce n‘est que fugace, quelques attouchements tout au plus. D’autres fois, par contre, cela peut tourner mal, on peut se faire injurier ou mollester… Une fois un gars outré m’a giflé et voulait appeler la sécurité … qu’importe c’est le risque et c’est ce qui rend la situation excitante.

Cet après-midi-là, je suis en costume trois pièce bleu sombre et cravate. Le costume est bien ajusté et en laine soyeuse, assez chic car j’ai eu un rendez-vous le matin avec une cliente importante. Comme j’ai un peu grossi, la chemise, en coton satiné et le gilet me serrent un peu, le satin du gilet est bien tendu au dos et sur les côtés. En fait j’aime bien ça.  Le pantalon aussi est serré et me moule le paquet d’autant que j’ai mis un string en soie qui le met en valeur. Je porte de souliers à talonnettes, un peu hauts qui claquent quand je marche… En gros je prends un peu un look et une démarche de tapette pour m’amuser, en tortillant du cul. J’ai envie de décompresser, envie juste faire une petite escapade pour me changer les idées et rien de mieux qu’une petite turlute sans conséquence pour cela ! Je me sens en chaleur, bien dans ma peu  et rien qu’à cette idée je sens durcir ma bite en marchant.

 Quand je rentre dans les toilettes, à gauche il y a une rangée de cabines WC et à droite une rangée d’urinoirs. Il y a juste un gars  qui est en train de pisser. Un black assez balaise, le crâne rasé. Il porte un jogging en nylon rouge, très léger, le pantalon lui rentre dans les fesses et dessine ces jambes musclées, c’est un bon signe. Je me mets à côté de lui, nonchalamment  je déboutonne entièrement ma braguette, sors ma bite pour pisser et, en même temps, je sors et dégage bien  mes couilles, c’est facile avec mon string. Je me tiens assez loin du mur pour lui faciliter la vision et qu’il puisse mieux me mater s’il en a envie. Et c’est le cas. Il me regarde ostensiblement, penchant même un peu la tête dans ma direction et pour mieux me montrer son intention, il fait comme moi  et me montre ses couilles en baissant un plus son jogging et son caleçon. Je le mate à mon tour avec satisfaction. Il a une belle queue, quoiqu’assez banale pour un black (j’en ai vu de tellement grosses). Il est imberbe du pubis ou bien il s’est rasé. On devine son ventre musclé aux abdos bien dessinés. Il se caresse doucement les couilles en me regardant, il a une demie molle et je m‘excite à mon tour en commençant à me masturber devant lui. Je durci rapidement et je vois que lui aussi.

Comme il n’y a personne aux urinoirs et qu’il me plait, je suis en confianc. J’approche ma main vers sa queue pour la caresser. Une petit séance de touche pipi dans un premier temps me convient. On verra par la suite. Il se laisse faire un petit moment mais d’un coup, il remet tout son matériel dans le jogging me dit « Suis moi ». Il passe devant moi en me rendant une caresse appuyée sur la bite. Il rentre dans une des cabines de toilettes située de l’autre côté de la pièce. Il me fait un signe de la main, très clair et autoritaire, pour que je vienne le rejoindre. Je suis maintenant très excité, j’ai le cœur qui bat, je n’ose refuser. Sans même refermer ma braguette et rentrer ma bite bandée, je le rejoins dans la cabine. Il ferme la porte immédiatement derrière moi et met le verrou.

Il murmure à mon oreille : « On sera mieux ici, non ? » mais aussitôt il mets son doigt sur ma bouche car l’on entend quelqu’un entrer dans les toilettes. Le gars  essaye d’ouvrir la porte sans succès aussi il rentre dans la cabine à côté.  On l’entend immédiatement pisser, nous pouvons nous concentrer à nouveau à nos affaires.

Son pantalon de jogging en nylon me plait beaucoup et je me mets à lui caresser le sexe et les fesses à travers.                J’adore ce genre de tissus lisse. Mais il est pressé et rapide semble-t-il. Sans préliminaires il baisse entièrement son jogging et me présente sa queue maintenant bien bandée. Dressée et  conquérante, elle me semble plus grosse que tout l’heure. Sans hésitation, je la prends en main aussitôt, elle est chaude et douce, c’est très agréable, je me mets à la caresser instinctivement, je la prends dans ma main droite et commence à faire  des mouvements de va et vient le long de sa tige pour le branler. Avec mon autre main je lui caresse les fesses qu’il a fermes et dodues, et bien  douces…

Nous n’échangeons pas un mot, il y a des hommes qui entrent et sortent dans la pièces des urinoirs. Des bruits d’eau, de pas, régulièrement quelqu’un essaye de rentrer. On ne doit pas nous entendre

Au bout de quelques temps de caresses réciproques (j’ai toujours ma braguette ouverte et la bite à l’air et il s’en occupe fermement) il se penche vers moi et me dit à l’oreille d’une voix très basse  : «Suce moi». Je prends cela comme un ordre bien que dit doucement et sans autorité mais j’ai décidé d’être  sous sa domination, de faire tout ce qu’il va me demander et pour bien le lui faire comprendre je m’accroupi aussi sec pour être à la hauteur de sa queue et pouvoir la prendre dans la bouche. Il a bon gout. Je passe ma langue autour de son gland, sur sa tige et je pompe autant que je peux, je lèche et je gobe ses couilles . Il fait chaud je me relève deux secondes pour enlever ma veste, il me la prend et la suspend à la patère de la porte en face de lui. Je reprends ma pipe et le suce de plus belle. Je commence à le branler plus fermement. Je sens qu’il réagit bien et a de petits gémissements. J’ai peur que l’on ne nous entende… je lui met un doigt sur la bouche pour lui signifier « chut » , il en profite pour le lécher. Je reprends ma tâche, il est bien dur et je le pompe vigoureusement. Il est plaqué contre le mur des toilettes et donne des coups de reins dans ma direction pour mieux pénétrer ma bouche. Il est en train de vraiment s’exciter tant et si bien qu’il finit par sortir et  me donne un coup  de bite en pleine figure sans le  faire exprès. Nous sommes en train de faire trop de bruit.  Il ne s’excuse pas mais me relève et me chuchote :  « je vais te baiser le cul ». J’hoche la tête pour lui signifier mon accord, et lui murmure : « vas-y ». Docile et soumis je lui signifie que c’est à lui de prendre la direction des opérations.

 Il défait ma ceinture et dégrafe mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. Je lui roule une pelle, il se laisse faire. Il a de belles lèvres charnues que je prends plaisir à baiser et une langue étroite et dure qu’il s’amuse à faire rentrer et sortir rapidement dans ma bouche, comme le ferait un serpent, c’est inattendu et troublant. Je suis bien bandé moi aussi, malgré la chaleur qui me mets un peu mal à l’aise mais lorsque je fais mine de dénouer ma cravate et déboutonner ma chemise, il me fait non de la main : « J’ai envie de te baiser habillé comme tu es.»            .

Il n’a pas de préservatif mais je ne veux pas me faire enculer sans. J’en cherche un dans la poche de ma veste, j’en ai toujours sur moi au cas où. Je le trouve,  l’ouvre et le lui enfile prestement. Un joli bâton rose  de latex luisant et glissant que je vais prendre dans le cul !

L’espace est petit. Nous inversons nos positions et je me retrouve accroupi sur la cuvette des WC pendant qu’il prend position derrière moi. Je n’ai pas de lubrifiant, il mouille ses doigts de salive  et me met un doigt, puis deux dans le cul pour l’ouvrir. Il s’y prend très bien, on voit qu’il a l’habitude. Je suis très serré dans mon gilet avec ma cravate mais je ne dis rien, je n’ose pas le contredire. Je sais que ça lui fait plaisir. L’image d’un col blanc qu’on encule et qui pourrait être son patron. Moi, c’est mon côté maso qui prévaut, j’aime être contraint  et si ce n’était la chaleur, c’est très agréable et à mon gout. Je fantasme toujours sur le fait de me faire enculer en gilet de costume comme aujourd’hui et ce n’est pas si souvent que cela arrive, je ne vais pas bouder mon plaisir.

Jugeant que la préparation a été suffisante, il introduit son gland dans mon trou du cul et pousse doucement pour le faire entrer. En fait elle n’est pas si petite que ça cette queue ! et j’ai un peu mal au début mais rapidement, au fur et à mesure de la progression, c’est mieux et je me remet à prendre du plaisir d’autant qu’avec une de ses mains il me serre les couilles et tire sur ma tige tandis qu’avec l’autre il m’appui sur le dos pour mieux me faire cambrer et  me pénétrer plus profond. Il me caresse sur le dos de sa main qui glisse sur le satin de mon gilet, c’est à la fois très doux et très dominateur. On peut dire que je suis pris en main ! Ca y est, je sens ses couilles qui heurtent mon cul, il m’a complètement pénétré et maintenant me ramone lentement en continuant de serrer fortement ma bite et mes couilles. Ses mouvements sont réguliers, précis, puissants, il me défonce vigoureusement mais avec beaucoup de tact. Je sens bien sa queue en moi. Il profite pleinement de cet instant  et le fait durer le plus longtemps possible. Il me défonce sans la moindre pose mais sans le moindre à-coup non plus.

 Je suis trempé de sueur et extrêmement excité, au bout de plusieurs longues minutes, je ne mesure plus le temps passé. Cela m’a semblé très long et très bon, je ne peux m’empêcher de décharger. Il me tient toujours la bite et me branle pendant que j’éjacule sur le couvercle de la cuvette des WC, du sperme coule sur mon pantalon à mes pied. De me sentir décharger cela l’excite davantage et je sens qu’il ne vas pas tarder lui non plus. Il est au maximum, ses mouvements s’accélèrent et ses coup sont de plus en plus violents. J’ai peur que nous ne fassions trop de bruit  mais je n’ai pas l’occasion de vraiment m’inquiéter car chaque coup de butoir est tellement violent que je suis propulsé en avant et doit faire attention à me protéger avec mes bras  pour ne pas heurter le visage. Il ne se maitrise plus comme tout à l’heure.  C’est devenu une bête qui est toute à sa jouissance. On dirait qu’il veut m’anéantir.  Je suis secoué de partout, comme brisé et complétement à sa merci. Je suis sa chose, son vide couille et il ne ménage pas.  Il pourrait me casser en deux. La tension monte en lui inexorablement. Il est lancé et ne peut plus se retenir. Je le sens enfin décharger en moi, plusieurs jets puissants, en saccades, il continue tout de même pendant un moment, avec de petits gémissements puis il finit par ralentir, en s’appuyant lourdement sur moi et s’arrête. Il ne bouge plus. Je sens son souffle sur ma nuque, il récupère.

Nous n’avons plus dit un mot depuis qu’il a commencé à m’enculer, juste échangé quelques gestes et fait le moins de bruit possible car on entend, sans arrêt des gens qui marchent à côté, qui pissent soit aux urinoirs soit dans les cabines qui jouxtent la nôtre, des bruits de chasses d’eau, de lavabos, des gens qui tentent en vain de rentrer dans notre cabine….

Il reste là un moment en moi, sans bouger. Quand il se retire sa queue, elle est à demie molle. Je me redresse maladroitement, il y a peu d’espace.  Je suis moulu, je viens d’en prendre un bon coup … Je me retourne face à lui, collé à lui, le préservatifs pendouille au bout de sa queue, il me fait signe de l’enlever. Je prends un morceau de papier toilette, le lui enlève et le jette dans la cuvette des WC. Sa queue est encore un peu dure et appétissante, Je fais du zèle pour la  lui nettoyer encore et encore, je suis si reconnaissant et satisfait, comme repu… J’en profite pour à nouveau lui lécher les couilles puis je les essuie longuement et quand sa queue est bien séchée, elle est redevenue dure alors  je la reprends  en bouche !

Il ne dit rien, me laisse faire et de sa main appui sur ma nuque afin que sa queue s’enfonce bien dans ma bouche. J’ai du mal à respirer.  Je ne suis pas le roi de la gorge profonde (malgré tous les conseils donnés par une amie qui en est spécialiste, je n’y arrive pas ) mais je fais un effort et augmente la cadence de  mes mouvements. Je suis face à lui, les deux mains sur ses fesses et fais pénétrer mes deux majeurs dans le trou de son cul en écartant au maximum. Cela lui fait beaucoup d’effet, je le sens dans sa bite, il ne va pas tarder à  jouir. Je ne veux pas qu’il éjacule dans ma bouche, aussi quand je le sens venir, je la sors  de ma bouche en la serrant bien et me prends plusieurs jets de sperme en pleine figure. Je suis inondé de sperme quil s’écoule ensuite sur mon gilet, ma chemise, ma cravate ! Tant pis ça ne tache pas …  mais du coup je me suis mis à bander moi aussi  je fais signe de me sucer, nous ne pouvons pas parler. Il prend ma queue dans la main,  se baisse et la porte à sa bouche. Il la lèche un peu, mais on sent que ce n’est pas son truc. Comme je durci de plus en plus, il se positionne derrière moi et se mets  à me branler frénétiquement de manière plus classique. Il serre fort ma bite et la secoue violemment, m’enfonce  un ou deux doigts dans le cul (ou trois peut être je ne suis plus en état de l’évaluer). Il me serre fort dans ses bras et de sa main droite, il me caresse et pince les tétons à travers le tissus soyeux de la chemise. C’est beaucoup de plaisir… Je ne tarde pas à jouir à mon tour, j’arrose de mon sperme ma veste qui est suspendue sur le mur en face. Bonjour les dégâts ! Je ne pense pas pouvoir retourner travailler dans cette tenue ! Il continue à me branler encore un moment après l’éjaculation. C’en en est presque douloureux mais je n’ai plus la force de dire quoique ce soit. Il finit par s’arrêter et me donne des petites tapes appuyées sur les fesses.

Il a l’air satisfait, remonte son jogging qu’il avait toujours sur ses chevilles et me fait un clin d’œil. Il semble qu’il n’y ait personne à ce moment-là aux urinoirs, d’un mouvement rapide, il ouvre la porte, sort, la referme sans un regard et me laisse seul dans la cabine. Je la verrouille à nouveau pour être tranquille et avoir le temps de me rhabiller. Ce n’est pas sans mal. J’ai du sperme sur tous mes vêtements que j’enlève en partie avec du papier toilette et de l’eau , mon pantalon est fripé et ma chemise est trempée de sueur. Il n’y a que mon petit gilet qui a tenu le coup . C’est rare, en général c’est lui qui fait les frais de ce type d’ébats

J’attends une petite demi-heure, pour me remettre. J’ai le cul tellement défoncé que j’ai du mal à marcher mais je suis bien, assis sur la cuvette des WC. Je rêve qu’il revienne, tape à  la porte et que l’on recommence. Cette défonce me donne envie d’encore plus de bite. Je songe, un instant, à interpeler le premier pisseur qui va arriver pour lui demander de me défoncer à nouveau. Mais je ne le fais pas, je sais que cela ne marchera pas et que je ne vais pas avoir la même qualité de baise. Tant pis.

Je sors, en me cachant un peu car j’ai honte de ma tenue et pars à pied chez moi me changer.

Je suis retourné plusieurs fois dans ces toilettes mais je n’ai plus revu mon « black niqueur ». Dommage. Heureusement , il y a eu d’autres rencontres mais pas forcément aussi intenses. J’ai le tort de m’attacher.

Par jeanlain - Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Dimanche 29 août 7 29 /08 /Août 19:45

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En fouillant sur le net, j'ai trouvé cette photo que je publie ici ca il m'a semblé retrouver un garçon que j'ai eu il y a quelques années.

Il était allemenad, était venu faire des études en France et était champion de natation.Il était l'amant d'un copain et avait des problèmes de logement.

A ce moment là, à Marseille, j'avais una appartement où je vivais seul , après ma séparation avec ma troisème femme et je ne fréquentais que des hommes.

J'avais une vie assez dissolue, je buvais pas mal et ne pensais qu'au sexe.  Et surtout au sexe des hommes. C'était après une aventure  avec mon patron précedent qui avait mal tourné, puisqu'après m'avoir séduit, (je ne couchais presque plus avec des hommes à ce moment là, mais javais une maitresse dominatrice que j'allais voir régulièrement et dont je raconte ma relation dans ce blog) nous nous sommes mis en ménage , au vu et au su de tout le monde, moi ayant officiellement quitté ma femme (qui, en fait, m'avait foutu dehors dès qu'elle avait appris mon aventure avec ma maitresse, puis avec mon patron). j'étais follement amoureux de lui et completement soumis. ... pipe tous les matin sous son bureau et sodomie le soir sur ce meme burea ! I m'avait paye un petit studio dans lequel il me rejoigné certais soir pour baiser, parfois... avec d'autres hommes auxquels je devais êrte soumis. J'étais devenue une lopette et ca me plaisait beacoup...Mais cela n'a pas plus dans la société . Lui s'est fait viré et moi muté et retrogradé dans un autre service, dans une autre ville...

Là j'ai completement basculé et me suis laissé aller. Rapidement au bureau j'avais sucé la moitié du service... En effet, au début les gars  se" foutaint de moi et me traitaient de tapette. je faisais tout pour leur donner raison de par mon habillement et mes attitudes. Mais quand j'en ai eu sucé un ou deux et qu'ils ont vus ce que c'était, ils se sont vite passés le mot et même les plus machos venaient donner leur queue à sucer!.

J'ai jamais autant sucé de bites qu'à cette époque là...

Au bureau je m'en faisais un ou deux par jour, des fois plus, entre midi et deux j'avais des rendez vous coquins avec des hommes mariés que je draguais par annonces, j'avais même fini par avoir des habitués, dont un dont je ne pouvais plus me débarasser et qui n'arretait pas de me faire des cadeaux, des sous vêtements sexy que je devais mettre devant lui...

Le soir après le travail et le samedi, j'allais faire 2 ou 3 heures dans un magasins de vêtements pour hommes comme vendeur . Là je  ne sucais pas, (juste quelques attouchements pendant les essayages, si le client était sexy) sauf l'amant de la patronne qui aimait jouer le macho avec moi et qui me forçait à lui faire des pipes dans la réserve pour m'humilier, mais moi, cela ne me dérangeait pas).

Ensuite, j'allais dans un bar gay où, le whysky aidant, il pouvait arriver n'importe quoi, et c'est souvent le patron qui me ramenait chez moi, non sans avoir profité de mes faveurs bien sur.

Pour en revenir à l'etudiant allemand, comme j'avais une chambre de libre dans mon appartement , je l'ai invité a en profiter. Mon seul loyer était que je puisse le cajoler quelques fois, ce qui n'avait pas l'air de le déranger bien au contraire.

Comme sur cette photo, il avait un corps musclé magnifique, entièrement épilé et une bite d'enfer. dont je me régalais...

C'était un amant formaidable, endurant, très actif et toujours disponible   qund i était seul. En effet , il avait pas mal d'aventures et je me rejouissais de le voir ramnerer de jolis jeunes hommes  certains week end, car je pouvais en profiter à l'occasion. J 'adorais ces parties à 3 où, à quatre pattes,je  sucais ces jeunes queues pendant qu'il me sodomisait Il est resté chez moi un peu plus de six mois pui est reparti sur Berlin.

Je ne l'ai jamais revu, c'est pour cela que j'ai été surpris de cette photo...

 


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par Anonyme

Par jeanlain - Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Dimanche 29 août 7 29 /08 /Août 16:59

Je me suis acheté sur ebay un pantalon en satin de femmeDSCN1822-copie-1.JPG

Il m'est extremement serré:DSCN1828.JPG

Je le porte avec une chemise en satin noir aussi DSCN1820

 

 

 

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Le seul fait de le mettre me fait bander

 

 

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Je me balade dans la rue le soir ainsi habillé et je cherche à ma faire remarquer:

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Je le porte avec un calecon en soie que je laisse apparaitre 

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en ouvrant la braguette

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Et pui quand je trouve quelqu'un que ca interesse , je sors tout mon attirail:DSCN1841.JPG

je le fais monter chez moi et je m'installe pour me faire sucerDSCN1845.JPG

Puis on passe au coté versoDSCN1827

Mais ça, c'est une autre hstoire....

Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Samedi 29 août 6 29 /08 /Août 20:23

Petite introduction : Avant toute chose, il convient de savoir de quoi l'on parle exactement

Définition : La prostate est une large glande de l'appareil génital de l'homme. Sa fonction principale est de sécréter et de stocker le liquide séminal, le constituant principal du sperme.

Pour ceux qui hésiteraient à partir en quête de leur prostate, je vais vous faire part de quelques commentaires ou plutôt de plusieurs témoignages glanés au fil de mes rencontres...

Depuis que j'ai trouvé ma prostate je ne m'en passe plus ! lol... elle se trouve sur (enfin en avant de) la face avant du rectum, à environ la longueur de l'index, on palpe, à travers la paroi muqueuse du rectum, une forme de chataigne à pointe vers le bas. Et si on se caresses et que on "y est" on ressens une sensation différente, originale, profonde (comme au milieu de son bassin) de stimulation qui, avec un peu de chance, mène à l'orgasme !


Pour trouver ma prostate je n'ai eu qu'à insérer mon doigt bien humidifié dans mon anus et à presser lentement contre la paroi jusqu'à trouver la boule tendre qui me faisait bander davantage. Il faut quand même s'assurer que ses ongles sont coupés courts pour ne pas égratigner son rectum.

Bien. Désormais vous devez être pressés de découvrir votre prostate. Alors suivez mes conseils...
Avant de commencer dressons un petit bilan et résumons rapidement ce que l'on peut dire à propos de la recherche et de la stimulation de la prostate.


La prostate ou gland prostatique est souvent désigné sous le nom de point-G masculin en référence au point-G chez la femme. La prostate produit du liquide à la base de la fabrication du sperme... ce qui est essentiel n'est-ce pas ? Enfin, je tiens à faire remarquer qu'en raison de certains traitements, des hommes ont pu faire grossir leur prostate ce qui cause des douleurs ou un inconfort certain. Seulement pour nous, elle représente un organe sexuel des plus prometteur et merveilleux. Un organe sexuel inattendu qui procure un profond plaisir sexuel.

Petite remarque : Si vous comptez chercher votre prostate tout de suite, en même temps que vous lisez ce cours, je vous recommande de disposer d'environ 45 à 60 minutes de libres. Vous pouvez évidemment imprimer le cours et le lire plus tard... tranquillement.

 


1) Nettoyage et relaxation

Beaucoup de mecs peuvent avoir des problèmes avec l'hygiène quand il est question d'explorer leur anus. Ainsi prendre un bon bain chaud ou une douche peut permettre de faire disparaître tout stress ou anxiété vis à vis de l'hygiène. Bien sûr il est préférable de bien se nettoyer l'anus avec du savon ou du produit à douche et de rincer comme il se doit. Vous ne devez pas avoir peur de bien nettoyer l'intérieur avec votre doigt maintenant que vous avez commencez à vous doigter. D'ailleurs la salle de bain est un endroit particulièrement propice à une première exploration. Je ne rentre pas dans les détails liés aux éventuels problèmes de selles... il est évident qu'il est préférable que votre rectum soit le plus "libre" possible.


2) Coupez vos ongles et arrondissez les bords

La paroi de l'anus est très sensible et peut être déchirée facilement. Si vous jouez avec les jouets, assurez-vous qu'il n'y a aucun bord pointu (les perles quelquefois anales ont des bords rugueux qui peuvent être amoindris avec une lime à ongles). Si vous avez des doutes ou n'êtes pas sûr de vous, utilisez des gants. Ils vous éviteront d'écorcher votre anus et constitueront une barrière "sanitaire" entre vos liquides physiques et vous si d'aventure vous êtes plutôt regardant sur l'hygiène.


3) Chauffez-vous !

Puisque la prostate se gonfle avec l'excitation il est plus facile de partir à sa recherche quand vous êtes excités. Utilisez Internet, des vidéos ou des images, masturbez-vous... faîtes en sorte d'être bien chaud



4) Trouvez une position confortable

Puisque vous explorez vous même votre anus à la recherche de votre prostate, je vous conseille d'adopter une position particulièrement confortable afin de ressentir le plus de choses possibles. Deux possibilités s'offrent à vous. Ou bien vous choisissez de vous positionner sur le côté, sur votre flanc ou bien vous optez pour la méthode accroupie. Certains préfèrent se mettre à quatre pattes et farfouiller plus profondément.



5) Massez votre anus et votre périnée

Pour stimuler votre plaisir vous pouvez choisir de masser votre anus et votre périnée. Par un massage externe de cette partie érogène située entre vos testicules et au dessus de l'anus. Beaucoup d'hommes trouvent que se masser le périnée a des vertus relaxantes et excitantes. Je vous recommande de masser votre périnée de façon circulaire en augmentant le rythme régulièrement. Vous pouvez doucement appuyez votre doigt sur l'entrée de votre anus comme si vous sonniez à une porte (c'est un peu spécial mais c'est pourtant la meilleure comparaison). Ne forcez pas votre doigt à rentrer à l'intérieur. Ne cherchez qu'à détendre au maximum votre sphincter anal.



6) Et bien entrez maintenant...

Quand vous êtes prêt à insérer votre doigt, ajuster votre respiration et soufflez un bon coup. Respirez alors profondément. Notez que la meilleure façon d'insérer un doigt dans votre anus est de commencer par le bloc (et non par le bout). Entrez doucement votre doigt dans votre anus par "le bloc" et quand vous souhaitez l'insérez plus profondément, expirez lentement et de façon continue. Une fois à l'intérieur; comme lors de votre première pénétration, ne commencez pas les mouvements. Gardez votre doigt dans votre anus, au chaud, quelques instants pour vous habituez à la présence d'un doigt dans votre cul.



7) Trouver sa prostate...

Vous devriez pouvoir ressentir votre prostate à environ deux pouces de l'entrée de votre anus en cherchant vers votre dos. C'est souvent une boule qui au toucher pourrait rappeler une noix. Certains le sentiront tout de suite... d'autres au contraire devront chercher plus profondément et en le touchant ne ressentiront qu'une vague sensation. Il est souvent plus facile de le faire trouver à quelqu'un.


Quelques conseils pour améliorer votre expérience :


Si vous massez votre prostate calmement et tendrement vous pourrez peut-être éjaculer de façon exceptionnelle. Souvent, on recommande un massage d'environ 15 à 20 minutes.


L'orgasme prostatique est bien différent de l'orgasme habituel. L'éjaculation est plus abondante et le sperme sort en continu et ne gicle pas par à-coups. L'orgasme provient de l'intérieur du corps et principalement de derrière le bas ventre. Une sorte d'explosion de plaisir interne ! Bref, tout vient de l'anus et non de la verge.


On peut éjaculer deux ou trois fois de suite avec cette technique.


La position à quatre pattes les fesses relevées et les coudes au sol est très pratique.


Certains appuient sur leur prostate à l'aide d'instruments ou de godes.


Lorsqu'on accompagne sa pénétration par des va et viens on améliore sa jouissance.


En appuyant assez fort sur la prostate on peut ressentir des picotements dans le sexe, le long de la verge.


Bien chaud, il est intéressant de décalotter son pénis brusquement en tirant sur le frein très fort afin d'améliorer la sensation d'excitation.


En exerçant une légère poussée dans son ventre, on peut faire sortir le sperme si tant est qu'on soit bien excité et décalotté.

Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 22:53

Le texte suivant n’est pas une de mes aventures comme les autres textes, mais c’est un texte écrit avec une de mes connaissances qui raconte une après midi de sexe intense et de dépravation.

 

A cette époque là je vivais sur Marseille, seul dans une situation difficile m’étant fait mettre à la porte de mon boulot et de chez moi après une liaison scandaleuse avec mon patron. J’étais au plus bas, assurant le minimum dans le boulot que j’avais trouvé, me réfugiant dans le sexe et l’alcool. J’ai même un temps touché à la prostitution.  J’avais des relations presque exclusivement avec des hommes, fréquentant des lieux de perdition,  bars ou  sex-shop (dont il est fait mention dans ce récit) où l’on pouvait facilement conclure des relation sexuelles avec des hommes, gratuitement, en payant ou en se prostituant.

Je m’étais fait quelques amitiés dans ce milieu, relations d’alcool et de sexe.

Certains soirs j’allais sucer des gars dans ces lieux un peu sordides (plutôt des vieux) et d’autres soirs je ramenai des gars chez moi moyennant finances (plutôt des jeunes).

 

Le récit qui suit est le récit  d’une après midi d’un de ces gars que je croisais dans ses lieux perdus et minables, prêts à tout pour tirer un coup ou sucer une bite. Le récit qu’il me fit de sa journée était tellement extraordinaire que nous avions décidé à l’époque d’en faire le récit par écrit. Voilà le texte tel que je l’ai retrouvé. Je pense qu’il est un peu exagéré et que dans une après midi il m’étonnerai fort que mon homme ait pu réaliser toutes prouesses, mais je pense que l’on est quand même assez près de la réalité dans laquelle nous vivions à l’époque et qu’il a simplement condensé en un jour ce qui a pu se dérouler en plusieurs soirée.

Le résultat est là. Je me souviens de lui comme d’un amant extraordinaire et insatiable qui m’a apporté beaucoup de satisfactions.  Ce récit, un peu excessif est en tout cas très bandant, je ne peux le relire sans être émoustillé et sentir l’envie farouche de me trouver une belle bite à sucer et à me mettre dans le cul.

Je ne sais ce qu’il est devenu depuis, et ne cherche pas à le savoir .

 

A partir de ce passage c’est lui qui parle et je lui ai prêté ma plume.

 

Ce samedi après midi, le désir devenait trop puissant, j’étais trop excité  et n’arrêtais pas de me caresser la bite dans ma tenue en satin. J’avais aussi un peu abusé de la coke.

Cela faisait quelques semaines que je n'avais plus fait de rencontre, certainement dû à une baisse de libido homo. Un mois auparavant, j’étais allais dans le sex-shop où j’avais l’habitude de me rendre pour rencontrer des hommes et avoir  avec eux des relations furtives mais je n’y avais rencontré personne, une semaine plus tard, j'avais essayé un petit bois en bordure de la ville, mais il avait perdu sa popularité auprès des hommes et j’étais rentré bredouille. Durant la semaine précédente, j’étais retourné au sex-shop et, mis à part une fellation non finie avec un jeune indécis, rien de super excitant, je commençais à me demander s'il n'y avait pas un nouveau lieu de rencontre qui détournait les hommes de ceux que je pratiquais…


Ce samedi, donc, je décide un troisième essai au sex-shop, sachant que j'avais l'après-midi de libre.  J’ai mis une chemise et un pantalon en satin, bien moulants, pour qu’il n’y ait pas de doutes sur mes intentions. J'entre et je choisi un film anal hétéro pour une projection en cabine, je prends une poignée de préservatifs et deux doses de gel dans des distributeurs gratuits et vais dans le couloir où se trouvent les cabines.

Surprise! L’endroit, cette fois, à l'air très fréquenté, trois jeunes sont près de l'entrée et discutent, ils me regardent en coin. Je me glisse dans ma cabine, et la laisse la porte entre baillée, comme d'habitude, pour bien signaler ma présence et ma disponibilité.

 

Ce soir ça ne tarde pas, un homme, que je ne connais pas entre sans un mot et se tient à hauteur de mon visage. Je suis en train de me masturber en regardant le film. Il se dégrafe et fait de même, son sexe à hauteur de mon visage. Je saisis sa queue pour le sucer. Pas de chance, il n'est pas très membré… mais je ne vais pas faire la fine bouche après la période de “vache maigre” que je viens de passer. Je le suce goulûment.


Il me dit que je suce bien et qu'il aimerait me voire sucer un autre homme et me faire enculer. Il me propose de descendre dans la salle homo pour essayer d'attirer un troisième larron. C’est un bon plan. Je le suis et nous nous plaçons dans le fond d’un couloir sombre mais suffisemment clair pour être à la vue des hommes qui cherchent. Il baisse son pantalon, j’ouvre le mien pour libérer ma queue et me baisse à nouveau pour l'engloutir dans ma bouche.


Plusieurs personnes s'arrêtent pour nous regarder, enfin après un bon quart d'heure, un homme nous rejoint, et me déballe sa queue déjà bandée, j'ai une pensée de plaisir, sa bite est superbe, plus que la mienne et surtout plus épaisse. Je me mets aussitôt à le sucer en me régalant de ses dimensions, tout en continuant de caresser les couilles du premier. L’autre lui dit :

-       Tu as vu, comme il suce bien

-       Putain, c'est bon, il a une bonne bouche !

Malheureusement, au bout d'à peine quelques minutes, il annonce :

-       Ouah, je vais jouir!

Et l'autre de lui dire

-       Non, pas dans sa bouche!

L’homme retire sa queue et se vide sur le sol en répétant que c'était bon. Je continue de la caresser pendant qu’il éjacule pour qu’il se vide bien, puis l’aide à remballer toutes ses affaires dans son slip. Il a l’air satisfait.


Il nous quitte et nous continuons notre manège, lui debout et moi la bouche plantée sur son sexe, mais pas de nouveau prétendant malgré un passage massif et beaucoup de jeunes voyeurs qui pouffent en nous regardant mais n’osent venir nous rejoindre.


Cela fait au moins trois quart d'heure que nous sommes tous les deux en spectacle, pantalons baissés, que je le suce et qu’il me caresse et j'avoue que je ne m'amuse plus. Lassé, je me relève en me rhabillant et lui dit :

-       C'est trop long, j'en ai marre !


Je retourne dans la salle hétéro et m'assois sur une chaise en plein sur une ouverture qui permets de regarder le film tout en jetant un oeil sur l'arrière salle. Un homme monte et me remarque. Il sait que si je suis à cet endroit, c'est que je suis disponible. Il s'approche et fait mine de regarder le film. Il est debout près de moi. Pour le détendre, je me frotte le sexe à travers le pantalon. En me voyant faire et en voyant la grosse bosse de satin que fait ma bite sous le pantalon, il comprend qu’il peut y aller. Il ouvre sa braguette et dégage sa queue et la rapproche de ma bouche. Je le prends entre mes lèvres et la lèche avec soin, je me lève et l'attire au fond de l'arrière salle. Il se poste contre le mur et me fais me baisser pour que je puisse continuer la pipe. Il est mieux membré que le premier, mais moins que le second, par contre il est plus endurant, bien qu’il ait dépassé la cinquantaine. Je me régale de sa queue, en lui suçant les testicules de temps à autre, il aime ma bouche et me le fait savoir, puis il ne tient plus et il décharge son jus en me maintenant la tête pour que sa bite reste bien enfoncée.

 

Il s'éloigne quelques minutes plus tard. Cette fois, je n’ai même pas baissé mon pantalon ! L’après midi s’annonce bien. Je reviens dans la salle et je reprends ma masturbation en appréciant la scène sur l'écran où une jolie brune se fait sodomiser par un homme bien membré tout en suçant un jeune noir au sexe très long.

 

Des bruits de pas dans l'escalier m'annoncent l'arrivée d'un autre homme. Aujourd’hui c’est vraiment la fête. Il entre, me dévisage, je dois lui plaire, puisqu'il s'approche de moi et me regarde me caresser. Il contemple les images deux secondes et rapidement ouvre sa braguette pour libérer son sexe. Je me tourne vers lui pour mieux le voir et m'aperçois qu'il a une bite comme je les aime, 19 x 5, il doit avoir une cinquantaine d'années lui aussi, il a l’air propre et musclé.

Je lui prodigue quelques va et viens avec ma bouche, en apéritif, puis je l’entraîne lui aussi dans le fond de l'arrière salle où je le reprends à nouveau dans ma bouche pour m’occuper sérieusement de lui. Je lui lèche le gland puis l'engloutis complètement dans ma gorge, je me donne à fond pour lui faire comprendre que j'aime le sucer.

Il me dit :

-       Oh, tu suces bien

Je m'applique de plus belle, bonne élève j’aime les compliments, il me dit alors :

-       Tu ne veux pas que je t'encule, petite tapette ?

-       Oui m’sieur, avec plaisir !

Je me retourne, il me m’attrape par les hanches pour m’approcher de sa grosse queue, il dégrafe lui-même mon pantalon, le baisse jusqu’aux chevilles. Je mets mes deux mains derrière moi pour l’empêcher de me pénétrer trop brusquement. Je contrôle la progression de sa bite en moi tout en laissant le poids de mon corps m'enfourcher sur sa queue. Il est vraiment très membré mais j'en ai tellement envie que j'accélère la pénétration, et sens son gland toucher le fond de mon anus enfin.

Je pose alors mes mains sur le mur devant moi, lui laissant tout contrôle de cette délicieuse sodomie, il m'attrape les fesses et bouge son gros sexe en me disant :

-       Elle est grosse ma queue, tu l'aimes dans ton cul, elle te fait du bien hein? Ca te plais de te faire enculer, salope!

-       Oui, j’aime, c'est bon, encule-moi, encore, défonce-moi!

Il ne se gène pas et me défonce le cul, un homme passe à coté de nous, nous regarde un moment en se masturbant, me tripote un peu, puis s'éloigne. Un autre le remplace. Je n’y fais plus attention.


Il me fait alors légèrement pivoter, je me tiens ainsi sur mes jambes, un peu penché, balancé par ses coups de queue dans le cul, un autre homme s'approche et me présente sa bite que je suce quelques minutes. Puis il s'éloigne pour nous laisser seuls. Il sera rapidement remplacé par un autre anonyme. Je prends un orgasme anal, le premier depuis longtemps avec un homme ! ….mais pas le dernier de cette superbe journée !


Il m'entend jouir et après quelques derniers mouvements, se retire en me disant :

-       Suce-moi encore !

Je me tourne et le reprends dans ma bouche, je m'applique au mieux pour le remercier du plaisir qu'il m'a procuré en m'enculant. Il ne s'arrête pas de me dire des mots crus, jusqu'à ce que ces mots attendus retentissent :

-       Je vais jouir, tu suces trop bien, c'est bon!

Et il m'envahit la bouche de son jus épais, me collant son gland contre la glotte, j'avale aussi vite que je peux pour pouvoir encaisser la deuxième giclée qui me remplit à nouveau la gorge, j'ingurgite encore tout en recevant un dernier coup de bite au fond de ma bouche, suivi d'une troisième puis d’une quatrième giclée ! Je lui nettoie le gland consciencieusement, avec amour pour lui dire à quel point j'ai apprécié sa sodomie. Je me redresse en lui caressant le sexe avant qu'il ne se rhabille. Je remonte mon pantalon sans le reboutonner complètement.

 

Le premier homme qui nous avait maté sans s’arrêter repasse et mon “amant” me dit alors :

-       C'est mon copain, il a une plus grosse bite que moi, ça t'intéresse ?

-       Bien sûr !

Il s'éloigne pour laisser la place à son ami qui me dit :

-       Alors, tu t'es régalé? Elle est belle la queue de mon copain ?

En se dégrafant, il ajoute :

-       Tiens, regarde la mienne ! Suce la, tapette !

Je n'en crois pas mes yeux, elle est vraiment encore plus grosse et un peu plus longue que l'autre, je me dis que c'est ma journée et que j'ai de la chance ! Il m'appuie sur l'épaule pour que je me baisse et le prenne en bouche, je m'exécute avec beaucoup de plaisir en laissant tomber mon pantalon.

Son gland est gros et très agréable en bouche, je lui lèche le méat, et l'absorbe encore pour me pénétrer à fond de ce membre superbe. Quelques géniales minutes de cette queue dans ma bouche plus tard, il me dit :

-       Je vais te prendre, lève toi, cochonne !

Il se couvre, je sors du gel et m'enduis l'anus.

Surpris, il me dit :

-       Il ne t'a pas enculé mon copain?

-       Si, mais je n'avais pas eu le temps de mettre de gel, ce sera meilleur

Il me retourne d'un coup et me plante, sans attendre, sa grosse queue dans le cul. Je ne peux m'empêcher de donner un mouvement en arrière avec ma tête, en râlant d'un léger plaisir-douleur, la queue de son copain avait heureusement bien préparé le passage. Il m'arrache déjà les premiers râles de plaisirs anaux, il glisse délicieusement dans mon cul, se reculant et se dégageant complètement, pour me planter le cul à nouveau. Je jouis comme une petite pute mâle, j'en redemande, je le désire au fond de moi de plus en plus :

-       Encule-moi encore, plus fort!

 Je jouis encore une fois sur sa grosse queue, il me dit alors en s'affairant dans mon cul :

-       On va se calmer, et on recommencera tout à l'heure

Il s'arrête progressivement, j'avoue que je suis prêt à tout, pour lui, et lui dit que mon cul lui appartient. Je le reprends en bouche pour le faire jouir cette fois, mais après quelques minutes il m’écarte et remonte son pantalon. Je ris en le voyant faire car il est si bandé et son pantalon si serré qu’il a du mal à tout faire rentrer. Je lui donne un coup de main. Il me dit d’attendre, qu’il va faire un tour et reviendra pour m'enculer encore.


Je me rhabille une nouvelle fois tout excité et heureux de plaisir, sous les yeux d’un petit vieux vicieux qui se branle, mais je l’ignore et viens me rasseoir sur la chaise qui m'a si bien porté bonheur. Je reprends ma masturbation en regardant le film, et en ressassant les merveilleux moments de plaisir que je viens de connaître. Sur l'écran, une femme se fait gicler sur le visage par trois hommes après une double pénétration. Je suis au bord de l’éjaculation, moi aussi !


De nouveaux bruits signalent une autre arrivée, c'est un homme que je connais, une quarantaine d’années, pas très sportif et un peu timide. Je lui dis bonjour, je l'ai déjà sucé quelques fois avec plaisir, mais il ne m'a jamais sodomisé. Je vois qu'il me regarde d'un air excité, la main dans la braguette du pantalon pour se masturber. Je me lève pour l’aider, mon pantalon ouvert glisse mais il me dit de le remonter et lui aussi se rhabille en me disant de le suivre. OK, j’ai compris, il préfère être tranquille, il n’aime pas les voyeurs. Nous descendons au rez-de-chaussée pour nous installer dans un recoin sombre. Il ouvre aussitôt son pantalon, je me baisse de suite et enfonce sa queue dans la bouche. J'avais oublié qu'elle était aussi grosse, un peu courte, pas trop, mais vraiment très épaisse. Il gémit de plaisir en murmurant :

-       Ah, ce que tu suces bien, ma salope.

J'aime bien ce type et j'aime le sucer, je le lèche en imaginant déjà son sperme dans ma bouche, quelques minutes plus tard, il me dit :

-       J’ai envie de te la mettre dans le cul

Je n'en crois pas mes oreilles, il veut mon cul, lui, c’est la première fois qu’il me le demande! Je me redresse, lui tends une capote, qu'il revêt et lui tourne le dos. Il me propose de mettre du gel, je lui assure que cela se passera bien sans gel supplémentaire avec tout ce que j’ai pris depuis le début de l’après midi.

-       Je ne suis pas le premier alors, tu es une vraie petite pute !

Ca a l’air de lui plaire et il me pénètre déjà de sa grosse queue. Il a un long râle de plaisir et se déchaîne dans mon cul. Il me sodomise comme rarement on ne l'a fait. Je suis content de me faire enculer par lui Il ne tarde pas à me donner un orgasme anal puissant, qu’il accompagne en me jouissant dans l'anus et dans un dernier gémissement, murmure :

-       Oh, c'est bon, je te jouis dans le cul, c'est trop bon, je jouis !

Je me rhabille, façon de parler car je ne boutonne pas la braguette de mon pantalon, et remonte m'asseoir sur ma chaise préférée, dans la salle hétéro, et regarde un bon moment le film porno qui, avec encore une scène de sodomie, me rappelle ce que j'ai pris dans l'anus. Quelle après midi !


Au  bout d’un moment, je décide de faire un tour dans le sex-shop, et me lève. Je croise un homme qui fixe mon regard. Il me semble le connaître, mais je n'en suis pas sûr. Je redescends. Il y a pas mal d’activité. Une des jeunes de l’entrée est en trian de sucer le petit vieux que j’avais ignoré. Mon premier amant est en train de sodomiser une jolie tapette qui pousse de petits cris efféminés, je ne résiste pas au plaisir de la caresser un peu, mais je n’insiste pas, j’ai envie d’autre chose.  Après avoir déambulé encore un peu, en jouant les voyeurs, je m'assois en salle homo, à l’entrée. L'homme ne tarde pas à arriver et se tient à ma hauteur, en attente. Comme chaque fois, car c’est le code pour débloquer la situation, j’ouvre bien ma braguette et me frotte le sexe au travers le satin de mon slip. Il ouvre à son tour sa braguette et déballe une bite énorme… Il bat à plate couture tous les autres, sa bite mesure au moins 23 cm avec une largeur en rapport de plus de 6 cm, elle a une forme d'arc de cercle, tordue vers le bas ! Il me colle cette queue dans la bouche, bandant comme un taureau, sa bite est dure et gonflée. Un homme âgé, peu engageant, s'approche pour nous mater en se caressant. Pour être tranquilles, nous décidons de quitter cette salle et remontons dans l'arrière de la  salle hétéro. En passant le vieux en profite pour me peloter le cul et les couilles, je le laisse faire deux minutes, il est assez habile. Pendant ce temps mon homme se colle dos au mur, pantalon baissé, et m'attends, le sexe tendu à l’horizontale. Je baisse à mon tour slip et  pantalon et prends sa queue dans ma bouche, je le masturbe tout en lui léchant le gland dans ma gorge, je suis dressé sur mes jambes, plié sur sa grosse et longue bite.

Un inconnu nous rejoint, le sexe déjà à portée de main. Il n'est pas très membré, mais dans le feu de l'action, je le laisse me caresser les fesses. Il devine que je ne suis pas farouche et après s'être couvert, me met sa queue dans l'anus. Il me balance fortement, m'enfonçant l’énorme membre dans ma gorge. Il sort peu de temps après, je me retourne pour le sucer et le faire juter, il apprécie, puis en regardant l'homme au gros sexe, je lui dis :

-       J'ai envie que tu me prennes !

Je sors une dose de gel et m'enduit l'entre fesses, il se couvre lui aussi et dirige sa queue sur l‘entrée de mon cul. Ce vicieux me plante d'un coup, sans vergogne, je me cambre pour supporter cette sensation d'écartèlement. Celui qui se trouve en face, me force à me baisser pour que je le suce encore, il ne s’en lasse pas. Moi, j'ai énormément de difficulté à assurer ma fellation, tant celui qui m'encule me défonce avec son énorme bite ! Il me fait sursauter à chaque coup dans le cul, frappant extrêmement fort, jusqu'au fond de mes entrailles. J'ai mal, mais je ne voudrais pour rien au monde qu'il s'arrête, je dois me mettre sur la pointe des pieds pour encaisser ses allers-retours. Le plaisir se mêle à la douleur anale. Il me soulève à chaque mouvement de queue, un orgasme violent m'envahit, j'ai cessé de sucer l'homme face à moi qui maintenant me maintient fermement, comme pour m'offrir à celui qui me sodomise. Comme je suis baissé, il en profite pour frotter sa queue sur mon visage. Il finit par jouir, excité par cette simili lutte . je prends son foutre que la figure. Mais je ne me contiens plus, je jouis de mon cul, cambré au maximum, sur le pieu de mon enculeur qui se déchaîne en moi depuis vingt minutes…

Il finit par enlever sa bite et je me retourne pour le prendre en bouche, je veux le faire jouir, je me délecte sur sa bite, je gémis de plaisir, l'autre me prend l'anus avec ses doigts. Le plus membré dit à l'autre :

-       Regarde, comme il s'éclate avec ma bite, il aime ça, c'est une vraie salope

Je lèche son gland et descends le long de son membre avec ma langue, il prends sa queue et me gifle avec, puis il me baise la bouche, j'étouffe, il prévient alors :

-       Je vais jouir, c'est bon

Il enlève sa queue et en se branlant énergiquement, déverse ses flots de sperme sur le sol, il m’en met plein le pantalon qui est tombé sur mes chevilles…

C’est pas grave, je le remercie, et lui précise que ce n'est pas la première fois qu'il me baise, en effet, je n'en étais pas sur au début, mais depuis que j'ai vu sa queue, cela m'a confirmé que l'on se connaissait sexuellement. Je l’embrasse longuement sur la bouche.


Il me laisse avec l'homme au petit sexe, qui bien sur, veut que je m'occupe encore de lui. J'avoue n'être que peu excité par son sexe, il m’a déjà foutu son sperme sur la figure mais il est si insistant que je le suce encore jusqu'à son éjaculation sur le sol. Il me quitte en me remerciant. Je remonte une nouvelle fois mon pantalon qui commence à ne plus être très présentable et je retourne à ma place, excité encore par toutes ces expériences. Je me branle très doucement, pour retarder le plaisir, je ne veux pas éjaculer trop vite.


Un autre homme d'une soixantaine d'année, grand et chauve, se poste au même endroit que les précédents, je pense alors refuser ses avances en l'ignorant.  Il dégrafe sa braguette, sort sa bite et commence à se branler devant moi en me regardant. Je regarde son sexe et constate qu'elle est d'une taille plus qu'honorable. Après tout, je me dis que je dois profiter au maximum de cette journée et pose une main sur cette queue et l’introduit vite dans ma bouche. Je le pompe consciencieusement. L'homme me complimente sur mes dons buccaux, il m'ordonne alors :

-       Bouffe moi les couilles

Je lui obéis avec d’autant plus de plaisir qu’il est parfaitement rasé. Il saisit sa bite et se branle en même temps que j'ai ses testicules dans la bouche. Il me remet son gros pieu dans la gorge et me baise la bouche avec des mots bien crus.
Il me dit sans que je ne m'y attende :

-       Lève-toi, je vais t'enculer.

Je me dresse en lui tournant le dos, il me cambre en me disant :

-       Appuie-toi sur la chaise, je veux te la mettre bien profond !

Nous sommes dans la salle commune, un petit groupe de voyeur fait cercle autour de nous, bites en main, je suis trop occupé pour m’y intéresser.

Il se couvre et me pénètre d'un coup, aussitôt suivi de va et viens rapides dans mon cul, je me cramponne à ma chaise et ressens déjà un orgasme monter inexorablement. Il m'encule bien le bougre, il a de l’expérience, il se déchaîne dans mon cul en disant fort et en s’adressant aux spectateurs:

-       Putain, t'as un bon cul, toi, c'est un cul comme j'aime, il est chaud, bien cambré, en plus, on voit que t'aime ça, petite salope, traînée, grosse tapette, Tu m'excites vicieuse !

Il n’arrête pas de m’injurier ce qui augmente mon plaisir et je prends un énième pied anal, il annonce :

-       Oh, je vais tout lâcher dans ton cul, salope, c'est bon

Il me pénètre par saccades en lâchant son jus en moi. Il se retire de mon corps en enlevant sa capote, il m'ordonne de le lécher un peu, puis encore excité, se branle énergiquement en laissant son gland dans ma gorge et s'écriant :

-       Il doit bien en rester une goutte !

Il jouit une seconde fois dans ma bouche, crachant très peu de sperme, malheureusement. Il remonte son pantalon et s’en va sans dire plus. Certains voyeurs veulent profiter de moi, ils présentent leurs queues bandées en même temps. Je me retrouve avec plusieurs bites dans la bouche mais je n’en peux plus. A leur grande désillusion je les repousse. J’essaye de remettre mon pantalon qui avait roulé en boule dans un coin et de me donner un air présentable.


Après toutes ces aventures, j’ai besoin d’un peu de repos. Je déambule une bonne heure dans les différents endroits du sex-shop,  Je devine qu'il doit commencer à se faire tard…  Mais bientôt de nouveaux hommes occupent les lieux, j'espère toujours le retour promis des deux amis…

Je passe devant une cabine de projection ouverte, elle est occupée par un homme d'une cinquantaine d’années, assis, se branlant devant son film homo. Il me regarde mais je continue mon chemin, je reviens sur mes pas et après un dernier regard complice, j'entre.

Je referme derrière moi, et m'agenouille pour l'engloutir. Sa bite aussi me semble énorme, c’est la soirée, et elle continue de gonfler dans ma bouche, Il gémit de plaisir. Je le suce amoureusement, longuement, pendant plusieurs minutes, puis je lui demande :

-       Tu ne veux pas m’enculer ?

-       Pas tout de suite, c'est bon comme ça aussi ! prenons notre temps.

En parlant bien sûr de mes dons de suceur… Je continue ma pipe vicieuse. J’entends un jeune homme entrer. Je me redresse, il me bouscule et plonge carrément sur la bite que je suçai pour la sucer à son tour ! Etonné je me lève et regarde la scène. Ils se déshabillent tous les deux très vite, je comprends que le nouvel arrivé est un “concurrent” et qu’ils se connaissent. Je décide de les laisser seuls, l'homme actif me dit alors :

-       Pourquoi tu pars?

-       je préfère vous laisser tranquille

Je  sors pour rejoindre la salle hétéro avec l'idée de me masturber pour jouir un dernier coup et enfin rentrer chez moi…  Mais la curiosité me fait aller voir où en sont mes deux hommes. J'ouvre la cabine et vois le plus jeune, tout nu, à genoux sur la chaise, les bras en appui sur le dossier, se faire enculer par le plus âgé, je m'étonne de son impassibilité, on dirait qu'il ne ressent rien. Je referme et retourne d'où je viens.


Un quart d'heure après, je descends en salle homo, et là  Surprise! Je vois le plus âgé dans l'arrière salle, contre le mur, il est seul, je le rejoins et lui demande :

-       Ce n’était pas bien avec l'autre mec ?

-       Je ne sais pas trop ce qu'il voulait, il avait l’air de s’emmerder, je lui ai dit de se tirer.

Il me caresse le sexe et les fesses, le sien est déjà tendu vers moi, je me baisse pour reprendre ma fellation. Pendant que j’ouvre sa braguette et sors sa bite, il me dit :

-       Elle est vraiment bonne ta bouche, tu suces mieux que lui, on sent que tu aimes sucer, c'est excitant !

J’apprécie pleinement le compliment et cette queue ! Ayant décidé de ne plus attendre mes “deux amis” qui ne viendront plus, je pense alors prendre vraiment le plus de plaisir possible jusqu'à mon éjaculation. Visiblement, toutes ces aventures m'ont mis dans un état de chienne en chaleur, j'ai encore plus envie de lui que les autres, sa bite me rend fou, je ne sais trop pourquoi.
Il me remplit de plaisir lorsqu'il me dit :

-       Je veux t'enculer, tu as du gel?

Je lui propose en plus un préservatif, qu'il refuse : il en a déjà un.

Il enfile sa capote, je lui tends mes fesses, il me dit :

-       Tu ne veux pas mettre de gel?

Je prends sa queue sans lui répondre et m'empale d'une traite sur elle, elle rentre sans effort, il gémit et en parlant fort dit :

-       C'est bon, il est chaud, j'aime quand c'est chaud comme ça, il est génial ton cul!

Il me prends par les hanches et m'encule en faisant des mouvements d'une intensité moyenne, il me remplit agréablement bien le cul, je ne peux m'empêcher de glousser de plaisir comme une salope en chaleur, il s'en rend compte et me dit :

-       Tu aimes ça, petite salope, ça te plait de te faire enculer, moi, ça m'excite de t'entendre jouir !

Il me baise avec encore plus de passion, il me redresse pour m'embrasser tout en m'enculant. Je lui dis :

-       Tu es bon, je te sens bien, elle est bonne ta queue dans mon cul, on est bien l'un dans l'autre !

Je ferme les yeux de plaisir pour profiter de mon orgasme interminable, il bouge toujours en moi, je me dégage pensant qu'il veut jouir dans ma bouche, je lui enlève sa capote et le suce avidement, cinq bonnes minutes plus tard, il me dit :

-       Je veux encore ton cul !

Il ne sait pas à quel point il me fait plaisir, et après s'être à nouveau paré, me sodomise encore, nous sommes collés, l'un à l'autre, gémissants de plaisir homosexuels tout les deux, il me fait jouir inlassablement, me disant presque des mots d'amour sur ma façon de baiser et la chaleur agréable de mon trou du cul. Notre plaisir devient commun et nous atteignons ensemble un orgasme ultra puissant, ses mains me maintiennent, sur sa queue enfoncée dans mon anus à l'extrême, je suis quasiment en équilibre, planté sur sa grosse et délicieuse bite.
Nos gémissements se mêlent, rejoint par nos langues.


Avec regret, je laisse sortir ce membre de mon cul, pour lui demander :

-       Je peux te sucer un peu en me masturbant ?

Il acquiesce et je le suce, goûtant au passage son sperme, puis très excité après toutes ces pénétrations anales, j'éjacule sur le sol en criant mon plaisir.


Il me dit que je suis un mec génial, que je lui plais beaucoup, qu’il vient de loin (60 km), mais me dit que ça vaut le coup. Il me signale qu'il vient souvent les samedis et qu'il a déjà hâte de recommencer avec moi… Pourquoi pas ?


Je quitte enfin le sex-shop épuisé et satisfait. Je marche lentement dans la rue et je tombe sur toi  qui m’invites à prendre un verre en tout bien tout honneur. Après ce que je viens de prendre c’est un pur régal !

 

 

En fait il me raconte son aventure et cela nous mets tous deux dans un état d’excitation extrême. Je lui demande les détails, je suis vraiment effaré et impressionné par le nombre d’homme qu’il a sucé, qui l’ont sodomisé ! Je n’y crois pas trop mais il a l’air sincère et puis à l’état de ses vêtements et de son cul on comprend bien qu’il c’est passé beaucoup de choses !

 

Nous décidons de mettre l’aventure par écrit.

Cette nuit là, nous n’avons pas baisé, il était rassasié, je l’ai laissé s’endormir.  J’ai lavé et repassé son pantalon et sa chemise pour qu’il soit beau le lendemain, pour l’avoir un peu à moi.

Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Lundi 3 août 1 03 /08 /Août 20:18

A cette époque là ça ne marchait pas trop bien avec ma femme. Elle ne comprenais pas bien mes envies de porter des sous-vêtements féminins, bas et porte jarretelles et des habits satinés, mes envies de sodomie et de domination douce. Elle me traitait de tapette et nous nous éloignions l’un de l’autre.

Elle se moquait de moi devant ses copines, leurs racontant tous les détails de mes fantasmes, ce qui était un peu cruel. Elle m’obligeât même, à plusieurs reprises, à baisser mon pantalon devant elles pour leur montrer ce que je portais. Je l’avais fait la première fois en étant un peu honteux mais comme cela les amusait et que moi ça m’excitait un peu, j’ai toujours joué le jeu. Elle voulait m’humilier, se moquer de moi mais ça ne marchait pas. Cela eut, une fois, l’effet inverse puisque une de ses copines me rappela pour me dire qu’elle aimait bien et me faire des avances. Je n’ai pas eu l’occasion de la satisfaire mais si cela avait été le cas, je l’aurais fait sans complexe.  Rapidement elle prit des amants, je fis de même de mon coté et je repris l’habitude d’aller avec des prostituées. C’est une pratique que j’avais presque arrêtée depuis deux ans que j’étais avec elle.  Mais au moins avec elles on peut se présenter comme on veut, exprimer tous ses fantasmes, il n’y a pas de censure et souvent beaucoup de respect, même quand elle vous administre une fessée ou vous sodomise. Ne bandant pas très fort, je me faisais souvent tailler des pipes dans la voiture par des putes sur le bord de la route. Entre midi et deux j’allais ainsi me faire sucer avec une pute différente chaque fois. Au bout de quelques temps, pour avoir plus de confort, je me suis mis à chercher des putes dans les annonces des journaux..

Rien que la lecture des petites annonces m’excitait, je téléphonais et prenais rendez vous. J’ai vu toutes sortes de choses et suis passé entre toutes sortes de mains. J’en fais des récits de par ailleurs. Un jour je tombe sur une annonce de mec. C’est la première annonce de mec qui m’attire. Je ne sais plus exactement comment elle était libellée mais elle était très sympathique et j’ai eu envie d’y goûter. Après tout, cela faisait très longtemps, depuis mon adolescence que je n’avais pas sucé un mec, hormis une parenthèse de quelques mois pendant le service militaire et lors de partouses échangistes auxquelles je participais un temps avec une copine très portée sur le sexe.

Je téléphone et demande comment cela se passe, le prix et explique que je voudrais juste le sucer. Il me répond gentiment qu’il n’y a pas de problème que je pourrais le sucer  mais que je ne n’allais pas venir juste pour le sucer, que ça ne se passait pas comme ça, qu’il fallait prendre son temps. Je suis un peu surpris, je ne sais pas exactement ce que cela induit, mais je comprends que le gars peut pas bander sur commande instantanément, qu’il faut un peu de préparation etc… en définitive j’accepte.

Je prends rendez vous pour le lendemain vers 13h en faisant en sorte d’avoir mon début d’après midi libre de contrainte professionnelle car je ne veux pas être stressé par le temps, on ne sait jamais, il peut y avoir de bonnes surprises.

Je me fais beau  avec un costume bien ajusté, une chemise en satin, un petit gilet en satin, comme d’habitude quand je vais voir les filles, qui me moule bien les reins et le ventre, cravate et caleçon en soie assortis, sans oublier bien sur mon porte-jarretelles (un modèle en satin bleu clair, assez large, qui lui aussi moule bien mon ventre et mes reins) et des bas.

Je suis émoustillé quand je me gare près de chez lui, comme presque toujours quand je vais à un rendez vous tarifé et je bande déjà en sonnant à sa porte. Mon érection se voit à travers le pantalon en tergal très fin. Je vois qu’il s’en aperçoit en ouvrant la porte mais ne fait pas de remarques.

-      Bonjour. Entrez. Vous avez trouvé facilement ?

Il est très aimable et gracieux. Il porte un pyjama en satin rose, au pantalon très moulant, fermé par des lacets sur le coté et par trois bouton apparents en guise de braguette, le haut est très évasé laissant voir sa poitrine à moitié nue, bronzée et lisse. Le caraco est attaché à la taille lui aussi par des lacets. Il porte des babouches en fausse fourrure à talons hauts. Il est blond, des cheveux mi-longs, mignon, ce qui me rassure et me met en confiance.

-      Suivez-moi, dans le séjour

Je le suis, sa démarche est souple malgré les talons hauts, un peu maniéré. Il a de belles fesses.

Le salon est cosy. Il y a deux grands fauteuils et un canapé en cuir rouge sombre.

-      Asseyez vous, je vous en prie et mettez vous à l’aise. Vous désirez prendrez quelque chose à boire ? Un jus de fruit, un peu d’alcool ?

Il fait chaud je transpire pas mal dans mes vêtements serrés :

-      Un jus de fruit avec plaisir

-      Comme je vous l’ai dit au téléphone la séance est à 80 Fr, je suis disponible pour tout : pipe et sodomie sur vous et sur moi. Ca vous va ?

Au moins avec lui les choses sont claires. De toute façon lorsque je suis monté je ne discute plus le prix .

-      Oui, oui, parfait.

Je lui tends de suite l’argent que j’avais préparé, je préfère me débarrasser de ça rapidement, c’est le moment qui m’embête le plus. Il prend l’argent et va le mettre dans un petit meuble dans l’entrée, toujours en se déhanchant sur ses hauts talons.Il revient portant un plateau avec deux verres et une carafe de jus d’orange.

-      Mettez vous à l’aise ! Il fait chaud, me dit-il en posant le plateau sur une table basse

Il vient s’asseoir près de moi sur le canapé.

-      Posez la veste, détendez-vous ! Je vous sens crispé !

C’est vrai que je ne suis pas très à l’aise. J’ai chaud, la bouche sèche, je ne sais pas trop comment me comporter

-      Allez enlevez la veste, ça ira mieux ! Je vous sers un grand verre frais.

Comme je ne bouge pas il se tourne vers moi, mets sa main au tour de ma taille  et délicatement la remonte en me caressant le coté puis l’épaule et fait glisser ma veste. 

Je me laisse faire, son toucher m’électrise

-      Merci ! Ca va mieux !

Il va poser ma veste sur le dossier du fauteuil en face et reviens s’assoir plus prés de moi encore, croisant les jambes de sorte à bien mettre son sexe en évidence. Je dois me donner une contenance car je suis très troublé.

-      A votre santé ! J’ai l’impression que vous êtes un peu coincé ! N’ayez pas peur, je ne suis pas méchant ! C’est la premier fois peut être ?

-      Non pas du tout mais il y a longtemps que ne suis pas allé avec un homme !

Et il pose sa main sur le haut de ma cuisse et la fait glisser lentement

-      Pas de soucis, ça se passera bien… Quel est votre petit nom ? Moi c’est Remi. On pourrait se tutoyer non ?

-      Moi c’est Jean-Alain, dis-je après avoir bu une grande lampée de jus d’orange.

En fait je me rends compte que c’est du punch, assez fort et cela fait sur moi un effet relaxant. Le rouge me monte aux joues

Il s’en rend compte et accentue sa caresse, me prenant le paquet à pleine main.

-      Il est bon mon jus d’orange non ? Est ce que je te plais ? Toi en tout cas tu es magnifique dans ta tenue satinée ! Tu n’as pas trop chaud ? Viens ici que je te déboutonne un peu.

Il commence à défaire les boutons du haut de mon gilet

-      Non, attend un peu, je veux rester comme ça

-      Ok ! je vois. Pas de problème.

Il pose sa main sur ma braguette

-      Je vois que tu es excité. Je peux ouvrir là ?

J’acquiesce sans rien dire et après quelques caresses, il commence à ouvrir à braguette.

-      Oh une braguette à boutons ! C’est de plus en plus rare, j’aime beaucoup , c’est plus sexy qu’un zip!

Apres avoir défait les 5 boutons de la braguette il glisse sa main à l’intérieur

-      Ok,  caleçon en soie je m’y attendais !

Il continue l’exploration de mon entre jambe.

-      Et porte-jarretelles en sus ! Je vois on aime jouer à la fille ! Moi aussi il m’arrive d’en porter quand le client m’en demande, mais je n’en porte pas tous les jours, si tu voulais que j’en porte faillais le dire ! Tu veux que j‘aille en mettre ?

-      Non ce n’est pas la peine, tu es bien comme ça !

En fait, je n’ose pas bouger alors que je meurs d’envie de le toucher. Il le comprend et prend les devant.

-      Tu es bien excité ! Mets ta main ! Touche, ne t’en prive pas tu as payé pour ça !

Il prend ma main avec beaucoup de douceur et la pose sur son sexe. Je le sens chaud et tendu sous le satin du pantalon. J’ose une petite caresse le long de la tige et sur les couilles. Timide.

Je passe ma main dans son dos et lui caresse le dos et les reins. Il croit que c’est pour qu’il se baisse, ce qu’il fait immédiatement et dans le même geste sort ma bite du caleçon et se met à la sucer. Je suis surpris de la soudaineté de son geste mais je me laisse faire, toujours un peu tétanisé

Après quelques succions, il se redresse et me sourit puis approche ses lèvres de  mon visage et commence à lécher les miennes pour un baiser très tendre et très humide, au goût de mon sexe.

-      Il faut te détendre si tu veux passer un bon moment !

Ce geste et ces paroles me débloquent. Je lui rends son baiser, nos langues s’entrecroisent, nos lèvres se malaxent. Dans l’élan nous nous redressons tous les deux et je me mets à lui malaxer fortement les fesses.

Le tissu du pyjama est doux, ces fesses rebondies et fermes, c’est très agréable. Notre étreinte dure un petit moment, passionnellement. Il en profite pour dégrafer complètement mon pantalon qui tombe sur mes chaussures. Je n’avais pas mis de ceinture intentionnellement. Nous nous embrassons toujours mais je le pousse vers le canapé et l’oblige à s’asseoir. Il le fait en m’attirant vers lui. Je glisse ma main droite entre nous deux pour lui caresser le sexe. Enfin j’ose ! Ca me fait un effet terrible. Il écarte bien ces jambes pour que je puisse le caresser plus facilement. Manifestement il y prend du plaisir, sa queue est bien tendue. Moi je suis libéré.

-      Prends ton temps… Régale-toi !

C’est ce que je fais. Je passe ma main sur tout son corps son ventre bien dur ces petit tétons qui se durcissent sous la caresse, à travers le satin du pyjama. Il me rend mes caresses en me masturbant doucement.

Je me débarrasse de mes chaussures et de mon pantalon. J’ai du mal et je m’énerve. Il ri, se redresse et habillement m’enlève chaussures et pantalon.

Je défais les lacets qui tiennent son pantalon sur le coté pour pouvoir sortir la bite de son écrin de satin. Il est bien sur entièrement rasé. Il est dur, bien bandé. Je le mets dans ma bouche et le pompe avec avidité comme si je n’avais jamais fait que ça toute ma vie alors qu’il y a des années que je ne l’avais plus fait. Je retrouve tout un tas de sensations que j’avais oubliées. Je me demande comment j’ai pu me passer d’un tel plaisir pendant tant d’années.  Il a gardé une main autour de mes couilles et se met à les serrer fortement pendant que je le suce. Cela me fait un effet immédiat : je bande encore plus fort. Il s’en rend compte et recommence.

-      Tu es un peu maso, je vois ! Je vais t’en donner alors …

De son autre main il me caresse les fesses à travers la soie du caleçon puis la glisse dessous par une jambe et introduit son majeur dans le trou de mon cul. Il le fait tourner lentement tandis qu’il l’enfonce. Presque immédiatement il l’a complètement enfoncé et s’apprête à en introduire un deuxième.

Je suis près à jouir et je le lui dis. Alors il se dégage.

-      Tu as raison, prenons notre temps, n’allons pas trop vite !

Je suis toujours avec mon gilet et ma cravate. Je me redresse, il fait glisser mon caleçon et se met debout près de moi. Son pantalon glisse aussi à ses pieds. Il délace son haut pour être entièrement nu. Je le caresse, il est doux.

-      Tu veux toujours rester comme ça ? Tu ne veux pas te déshabiller ? Ne garder que ton porte-jarretelles et tes bas ?

Je fais signe que non.

-      Ok, je comprends. Tu aime être contraint.

Il tire sur les passants de mon gilet pour le serrer encore plus, tire les pans de ma chemise vers le bas pour qu’elle soit bien tendue, monte le porte-jarretelles pour que les bas soient aussi bien tendus...

-      Si tu es un peu maso, tu veux m’être soumis ?

-      Je hoche la tête en signe d’acceptation.

Il m’arrange les cheveux, le col de ma chemise et resserre aussi mon nœud de cravate. Il prend un ton de vois plus directif.

-      Mets toi a genoux et suce moi. C’est pour ça que tu es venu, non ?

Je ne me fais pas prier. Je lèche son gland à petit coup de langue, je prends ses couilles délicatement dans ma bouche, fais courir ma langue tout le long de sa tige. Je lui fais tout ce que j’ai appris à faire quand j’étais jeune et tout ce que j’aime bien qu’on me fasse quand on me taille une pipe. Puis je le prends tout entier dans ma bouche et me remets à le pomper consciencieusement. Cela dure un bon moment. Il passe sa main dans mes cheveux et les tire très fort. J’en ai les larmes aux yeux. Il pousse ma tête vers lui pour faire pénétrer profondément sa pine dans ma bouche. Il la secoue ensuite d’avant en arrière un peu brutalement pour lui faire faire des allées retours dans ma bouche, comme s’il me baisait la bouche..  Je suis le mouvement au mieux, je suce et j’aspire… ça va un peu trop vite

-      C’est bon, très bon. Tu suces très bien et je suis sur que ce n’est pas la première fois. Je vois que tu y prends plaisir. On va aller un peu plus loin maintenant.

Il fait sortir sa bite de la bouche et me la passe sur tout le visage. Je ferme les yeux. Je me laisse faire, je m’abandonne.

-      Mets toi à quatre pattes maintenant!

Pendant que je m’exécute, il se retourne et me présente ses fesses pour offrir son cul à mes lèvres. Je le lèche. Avec ses mains il écarte ses fesses pour bien dégager sa rosette et il s’appuie sur moi. Ma langue rentre dans son anus entrouvert. Après quelques instants, il se retire.

-      C’est bien, tu es un bon soumis. Reste comme tu es. Je reviens

Il se relève, me contourne et va dans le fond de la pièce.

Malgré son ordre, je me redresse un peu de ma position à quatre pattes en espérant que cela ne va pas l’irriter, pour arranger ma cravate, ma chemise et mon gilet, tirer mes bas. Je suis en nage, un peu débraillé, je n’aime pas ça, j’aime être en ordre. Je reprends la position, en attente et soumis, à la fois anxieux et excité.

Il revient dans mon dos et je sens la fraîcheur d’un gel abondant sur mon anus.

Il ne parle plus, je le sens très concentré. Sans plus d’approche préliminaire, il pointe son gland vers ma rosette et appui d’un coup sec. Elle cède instantanément. Il me pénètre. Je ne peux réprimer un petit cri.

C’est un peu rapide et violent mais le désir est si fort en lui que je comprends qu’il ne puisse se retenir. Il m’a fait un peu mal, mais le plaisir prend vite le dessus. Il me ramone avec force, sans rien dire, un peu bestialement, c’est sans rapport avec le jeune homme raffiné qui me faisait la conversation tout à l’heure. Il sait trouver ma prostate et la jouissance monte lentement de mes couilles vers mon sexe Ses mains caressent ma bite, glissent sous mon gilet pour me pincer les tétons. A chaque coup de reins nous haletons sur le même rythme je le sens jouir.

Il me serre fort le gland quand il jouit et moi je serre le cul pour augmenter son plaisir. Après la dernière giclée dans mon cul, il s’écroule sur moi et m’embrasse dans le cou. Je reste bien solide à quatre pattes, il continue à me branler.

En se relevant, il me fait me retourner et m’allonger sur le dos. Il prend ma bite  dans sa bouche et la suce jusqu’à ce que jouisse à mon tour en giclant du sperme sur moi.

-      Eh bien ! Il y a longtemps que je n’avais pas baisé un gars comme ça ! D’habitude c’est moi qui prends ! C’est moi qui devrais payer !

Nous rions allongés l’un près de l’autre en nous caressant mutuellement le sexe et le ventre. Je finis par me lever pour servir deux verres que nous vidons d’un trait. Mes habits sont un peu froissés et pleins de sueurs et de sperme mais j’ai quand même tout conservé ! Je m’arrange une nouvelle fois. Il me le fait remarquer et avoue que ça l’a excité de me baiser dans cette tenue ! Je le comprends, on reprend un verre. Puis deux… L’alcool commence à faire son effet et manifestement on n’a pas envie d’en rester là…  je me remets à le caresser et je vois que ça lui fait de l’effet. Moi aussi je me remets à bander.

-      On va inverser les rôles, tu veux bien ?

-      Ok. Tu veux que je m’habille en satin moi aussi ? J’ai ce qu’il faut dans ma penderie

Nous allons dans sa chambre, bras dessus, bras dessous, en titubant un peu, car entre temps nous avons fini la carafe de punch et bus quelques verres de vodka Nous sommes presque complètement saouls tous les deux.

Effectivement il a une belle panoplie de tenues en satin. Des costumes trois pièces, des chemises à jabot, des gilets, des dizaines de cravates chatoyantes. On dirait le vestiaire de Claude François dans les années 70. Je le lui dis.

-      C’est vrai ! J’ai une vraie admiration pour lui, j’aurais aimé être son amant !

C’est amusant car il lui ressemble un peu et moi aussi j’ai toujours été attiré par ce gars. Je ne résiste pas à une séance d’essayage. Je me déshabille entièrement en jetant mes habits sur son lit. Nous sommes tous les deux nus devant la penderie comme des enfants devant l’étal d’une pâtisserie ! Nous passons à tour de rôle un pantalon, une veste, une chemise, un ensemble coquin et nous nous admirons, nous nous caressons, comme de vraies tantouses que nous sommes finalement ! Nous n’avons pas la même taille, j’ai un peu forci ces dernières années et lui est jeune et svelte, mais ce n’est pas grave nous passons un moment délicieux. Après avoir farfouillé longuement, tout tâté, essayé, admiré, je choisis une chemise à jabot en satin champagne avec un grand col,  une cravate en soie et gilet assorti avec un double boutonnage. Nous décidons qu’il restera nu en bas, c’est plus commode. Je lui passe ses habits doucement, profitant de chaque instant, de chaque bouton (et il y en a dix de chaque coté !)  pour le caresser un peu mieux. J’ai l’impression d’habiller une poupée, il se laisse faire. Le résultat est magnifique et je n’arrête pas de le caresser. Il est mignon et à voir l’état de sa queue : il est content ! J’en profite pour le sucer régulièrement.

Pourtant il y a quelque chose qui cloche, je sens que ce n’est pas tout à fait ce que je veux. En fait, ce qui me plairait, c’est qu’il mette mes habits à moi. Je le lui propose. Il n’y voit pas d’inconvénients. Je le déshabille donc avec la même préciosité que j’ai mis à l’habiller, en pliant précautionneusement chaque pièce que je lui retire et vais chercher mes habits. Nouvelle séance d’habillage coquin. Les vêtements sont moins beaux et un peu chiffonnés, quelques tâches de sperme même mais l’excitation est encore plus forte de le voir porter mes vêtements. Je lui fais même mettre mon caleçon. Il est plus fort que moi, il est très serré mais il n’a pas l’air d’être dérangé par cela. Je le caresse avec encore plus de plaisir. Je lui mordille la queue gainée par la soie du caleçon. Le désir nous gagne à nouveau, nous ne parlons plus.

Il est habillé comme moi, aussi je mets le haut de son pyjama, en tirant fortement sur les lacets pour avoir la taille bien prise, pour être habillé comme lui. Les rôles sont maintenant inversés, cela décuple mon excitation. C’est moi maintenant qui vais le dominer !

Il l’a compris et sans que je lui dise quoique ce soit, il se met à quatre pattes comme moi tout à l’heure pour que je puisse le prendre et c’est ce que je fais avec hâte, n’y tenant plus après avoir soigneusement enduit son anus de gel. Ma queue rentre facilement d’autant qu’il donne de petits coups de reins pour en faciliter la progression. Un vrai pro. On comprend que ce n’est pas la première queue qu’il prend là, qu’il en a vu d’autres et des plus grosses sûrement car je ne suis pas un phénomène sexuel comme on peut en voir dans certains films ou photos pornos !

Je l’encule longuement, sauvagement. De le voir ainsi travesti avec mes propres fringues ça me rend fou. Son dos gainé dans le satin est un spectacle fabuleux. Je glisse moi aussi mes mains sous le gilet pour lui pincer les tétons à travers le satin de la chemise. Il pousse de petits cris. Je pince plus fort. Ma bite est entièrement rentrée dans son cul et mes couilles viennent percuter ses fesses. Je perds un peu la tête. Je lui serre les couilles fortement, j’étire sa bite comme si je voulais l’arracher. Je lui donne des tapes sur les fesses et comme je vois qu’il réagit, je continue en tapant plus fort. C’est une vraie fessée que je lui administre. Ses fesses deviennent rouges.

Je finis par jouir en donnant de grand coup de bassin mais je ne m’arrête pas, je n’ai pas envie, je continue de le sodomiser en le fessant. Il subit sans se révolter, au contraire je le sens soumis et prêt à continuer. Il bande encore et ne me demande pas d’arrêter. Je le masturbe violemment et d’un coup j’ai envie de sa queue. Je me dégage de son cul et le mets sur le dos, il se laisse faire, attentif à mes mouvements. J’essuie ma bite avec un mouchoir et je m’allonge en quinconce sur lui pour pouvoir le sucer et qu’il fasse de même. Il le fait instinctivement sans que je sois obligé de lui dire quoique ce soit. Nous nous mangeons la bite mutuellement pendant un moment, l’excitation est redevenue forte, j’ai encore envie de l’enculer, de le châtier. Il en a envie lui aussi. Il me propose d’aller sur  le lit et de l’attacher si ça me fait plaisir. C’est d’accord, nous retournons dans sa chambre, sur son lit recouvert de satin rouge et je l’attache aux barreaux du lit. Accroupi, jambes cartées, il m’offre son cul comme sur un autel.

-      Vas-y. Baises moi encore. Comme une chienne.

Et je me remets sur lui. Je lui resserre le noeud de cravate comme il m’a fait tout à l’heure, reboutonne le gilet qui s’était un peu ouvert et resserre les passants du gilet. Ses fesses sont rouges de la fessée de tout à l’heure, je lui passe un peu de crème que je trouve près du lit.

-      C’est frais !

Je lui passe aussi la crème sur les couilles et sur la bite qui se durcit. Avec la crème j’ai également trouvé un martinet alors je ne résiste pas à lui en mettre une bonne. Il ne moufte pas durant toute la fessée, encaissant bien chaque impact et ne débande pas non plus. C’est bon signe.

La fessée m’a remis en érection aussi. J’ai l’impression que chaque coup de martinet me fait gonfler un peu plus la bite. J’arrête avant qu’elle n’explose et continue en le sodomisant avec le manche en cuir du martinet qui fait office de godemiché. Cette fois il n’en peut plus. Il gigote pour se dégager mais il est bien attaché. Il me supplie d’arrêter, puis de continuer. Il ne sait plus ce qu’il veut, c’est que le plaisir est en train de le submerger. Je me masturbe tout en le godant et quand je suis bien dur, je l’encule à nouveau, en pénétrant d’un coup, à la hussarde et je me donne au maximum. Ca fait longtemps que je n’avais pas eu ce sentiment de puissance, ces derniers temps je devenais de plus en plus passif, même avec les femmes, et là tout d’un coup je retrouve toute ma virilité en enculant une chochotte. Quel pied ! Cette fois j’éjacule très vite au fond de son cul, avec puissance, je ne peux m’empêcher de pousser un cri, comme un cri de guerre.  Lui, il est  écroulé, soumis, vaincu aussi je le détache pour qu’il puisse s’allonger et je me mets à le sucer immédiatement, comme une récompense après toutes ces violences. Juste pour bien lui faire comprendre que je l’ai apprécié, que je l’ai vaincu mais pas humilié, que je veux aussi qu’il ait son plaisir. Il m’en est reconnaissant. Je lui vide les couilles en le faisant juter plusieurs fois. Il me regarde, en sueur, satisfait.

Allongés cote à côte sur le lit, nous échangeons un long baiser bien baveux du sperme que j’ai encore dans la bouche comme au début de la séance.

-      Merci ! me dit-il

-      Merci à toi !  C’est toi qui a rendu tout cela possible !

Nous avons commencé la séance vers 13h et il est presque 19h ! On n’a pas vu le temps passer ou plutôt si on l’a vu passer et on en a profité ! Nous sommes tous les deux rompus.

J’accepte sa proposition de prendre une douche, que nous prenons ensemble évidemment, en nous savonnant l’un l’autre, un comme pour rendre hommage au corps de l’autre qui nous a donné tant de plaisir. Mais nous ne bandons plus, hélas, les plus belles choses ont une fin.

Nous échangeons peu de mots entre nous ensuite, le moment a été fort, nous sommes comme deux boxeurs après un match. Un peu sonnés. Je me suis rhabillé avec mes vêtements souillés de nos sueurs et de nos spermes. Je n’en étais pas honteux, mais plutôt fier. J’aurais même voulu que ma femme me voit dans cette tenue mais elle n’était pas là quand je suis arrivé chez moi. Je me suis couché avec la chemise et le caleçon pour garder imprimé sur moi le plus longtemps possible le souvenir de cette après midi d’amour.

Je l’ai longuement embrassé en partant, toujours sans un mot. Nous avions chacun nos vies et nous ne savions pas si nous nous reverrions, et de fait nous ne nous reverrons plus. J’ai essayé plusieurs fois de le joindre au téléphone mais il n’a plus répondu. J’ai appris plus tard qu’il était décédé quinze jours plus tard des suites d’un accident de la route. En rentrant d’une soirée en boite avec son ami travesti, son véhicule a percuté un camion puis s’est écrasé contre un mur.

Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 22:41

 

 

C'était une petite tapette qui était dans le service depuis pas mal de temps. Il était connu pour ses allures efféminées et ses tenues excentriques ou provocantes et sa propension à toujours draguer les hommes. Il était, pour tout le monde, un sujet de plaisanteries salaces. Les filles l'aimaient bien, il était jeune et mignon, toujours prévenant, elles s'en moquaient gentiment car il n’était pas dangereux ! Avec lui, elles pouvaient parler chiffons, régimes et maquillage ou vanter les mérites de tel ou tel acteur de cinéma. Les garçons s'en méfiaient car il était toujours très entreprenant et avait les mains lestes. De nombreuses histoires circulaient comme quoi il aurait fait des propositions scabreuses à tel ou tel, aurait mis la main au cul d’un autre ou défait la braguette d’un troisième dans l’ascenseur  et aurait proposé de le sucer. Je n'avais pratiquement jamais eu à faire à lui jusqu'à ce fameux pot d'un mercredi soir.

 

J'étais plutôt éméché,  j’avais bu trop de champagne. Toute la soirée il m'avait tourné autour, une fois en  me frôlant les fesses de la main, une autre fois en mettant sa main sur mon épaule ou dans le dos. Au  début je n'y avais pas prêté attention  mais au bout d'un moment, me rendant compte que c'était volontaire, je m'étais prêté au jeu car cela m'excitait un peu. Il était, ce soir là, vêtu d’un pantalon de cuir noir, très moulant et d’une  chemise en soie noire également, trop déboutonnée sur sa poitrine bronzée. Moi, comme c’était une soirée assez officielle, où il y avait beaucoup de monde, j’étais en costume croisé gris clair, chemise bleue clair et cravate en soie dans les tons rouges, très strict, ma seule fantaisie était un petit gilet en satin bleu marine à double boutonnage qui me serrait merveilleusement le ventre et les reins. Pendant le reste de la soirée, voyant que je ne m’offusquais pas de ses avances, il multiplia les caresses furtives mais de plus en plus précises, tout en restant discret par rapport aux autres convives.

 

 

Après le pot, je me rendis dans mon bureau, ranger quelques papiers pour le lendemain. Il me suivit sans que je m'en rende compte et comme je me baissais pour mettre des dossiers dans mon cartable, j’ai senti une main me caresser les fesses puis passer dans l’entrejambe et me caresser les couilles et la bite. Je compris de suite que c’était lui. J’eus un brusque mouvement de recul mais j’étais cependant assez excité pour ne pas le repousser complètement. Je sentais ma queue se durcir et le rouge me monter à la figure. Je me redressai et me retournai. Il me regardait en souriant.

 

 « Tu veux bien te laisser faire ? » Me dit-il en se rapprochant de moi.

 

 Comme j’avais trop bu, j’avais chaud. Je posai la veste.

 

« Oh ! Comme tu es mignon avec ton petit gilet en satin ! C’est très excitant, je peux toucher ? »

 

Il mit sa main à plat sur ma poitrine et la fit glisser de bas en haut sur le satin  du gilet, en connaisseur, joua un instant avec les petits boutons de nacre puis passa une main autour de ma taille et de l’autre il me saisit la bite à travers le pantalon.  J’étais comme paralysé.

 

Il se colla contre moi et murmura à mon oreille  « Laisse toi faire, je ne te ferais pas de mal ».

 

Il sentait bon, un parfum de femme que je n’identifiais pas, je me sentais bien près de lui, en confiance, je le serrais dans mes bras. D’une main je lui caressais les fesses, bien dures dans le cuir du pantalon et son dos à travers la soie de sa chemise. A ma grande surprise je me rendis comte qu’il était musclé et malgré ses airs efféminés il devait être  sportif. Pendant ce temps, il déboutonnait habilement la braguette de mon pantalon pour y introduire sa main :

 «Tu portes un caleçon en soie, petit coquin, j’aime beaucoup ça moi aussi » et il commenca doucement à me branler. J’avais la gorge noué et du mal à faire quoique se soit. Il s’en rendit compte et  pris ma main pour la mettre sur son sexe bandé.

 

« Tu peux toucher toi aussi » me glissa –t –il à l’oreille avant de coller sa bouche contre la mienne pour m’embrasser,  mais je détournais. Autant sentir sa bite dans main et la caresser me plaisait, autant  sa langue et ses lèvres  me dégouttaient un peu. Ca ne le découragea pas le moins du monde :

 

« Tu n’aimes pas embrasser ? C’est pas grave, je vais te montrer quelque chose de mieux » en un tour de main il avait sorti la bite du caleçon, s'était accroupi  devant moi et se miettait à  me sucer consciencieusement tout en continuant à me branler et me caresser les couilles.

 

Je sentais sa bite gonfler sous ma main et j’étais très troublé de la caresser ainsi. Il y avait des années, depuis que j’étais adolescent et un peu à l’armée ou bien dans des partouses, que je n’avais pas touché la bite d’un mec et je me rendais compte maintenant combien c'était agréable et qu'en fait j’avais toujours aimé ça. De plus la sensation du cuir chaud, très doux au toucher, comme de la soie, qui gainait ses couilles et ses cuisses, décuplait mon excitation. J’étais un peu surpris et affolé, la situation m’échappait,  j’avais peur que quelqu’un entre à l’improviste et nous surprenne, mais il faisait ça si bien  que je me laissais faire. J’en étais même à deux doigts de jouir.

 

Il s’en rendis compte, s’arrêta de sucer et me dit :

 

«Tu aimes ça non ? Tu veux que j’aille jusqu’au bout ? »

 

Je lui fis signe oui de la tête malgré la situation plus qu’inhabituelle dans la quelle je me trouvais. Il sortit un préservatif de sa poche, me l’enfila habilement, preuve qu’il en avait l’habitude et se mit à me pomper avec entrain. Je dégrafais  mon pantalon qui me tomba sur les chevilles, pour qu’il puisse mieux me caresser les couilles et les fesses. C’est ce qu’il fit de manière si experte que je jouis rapidement.

 

 Il continua à me pomper pendant que je déchargeais mon foutre dans sa bouche, Il serrait fortement la base de ma queue d’une main et il enfonçait profondément le majeur de son autre main dans le trou de mon cul. Ce fut un orgasme très violent. En jouissant, je pressais sa tête fortement contre moi pour faire pénétrer sa pine le plus profondément possible dans sa bouche. J’avais rarement jouis aussi fort pour une pipe.

 

Il n’arrêtait plus de me sucer, aussi je le repoussai gentiment pour qu’il arrête et m’appuyai contre mon bureau pour souffler un peu. J’avais les jambes flagellantes et j’étais vidé, comme dans un état second tellement la secousse avait été forte. D’autre part, je me sentais un peu  ridicule avec mon pantalon baissé sur les chevilles, dans mon bureau, avec ce préservatif pendouillant au bout de ma bite. C’est encore lui qui prit l’initiative.

Avec un mouchoir en papier il enleva le préservatif et le mis dans la poubelle. Je m’assis dans mon fauteuil sans réaction, en regardant mon pantalon baissé, je n’osais pas le regarder.

 

« Ca t’a plu, n’est ce pas ? » me dit-il en se rapprochant de moi.

 

«Tu veux bien me faire pareil».

 

 Il avait baissé la fermeture éclair de son pantalon et sorti son sexe qu’il me mettait dans la figure. Je le trouvais énorme et j’étais surpris lorsqu’il le fit pénétrer dans ma bouche. C’était trop. Je le repoussais lentement: «Non pas maintenant. Va-t-en, s’il te plaît ».

 

Par bonheur, il n’insista pas trop et après un baiser léger sur mes lèvres que je n’osai lui refuser, il remit difficilement sa bite dans son slip, sans arrêter de se caresser. Il tenta vainement de reboutonner  son  pantalon et sortit précipitamment. Par bonheur il ne tomba sur personne dans cette tenue.

 

Je restais un moment comme groggy, puis, je me rhabillais lentement partagé entre l’écœurement et l’excitation il y avait longtemps que je n’avais pas eu une relation sexuelle aussi poussé avec un homme, depuis mon troisième mariage en fait, et tout portait à penser que le plaisir que j’y avais trouvé me ferai t dépasser la gène que j’avais pu  ressentir. La suite des événements prouva que ce sentiment était le bon.

 

 

 

En effet j’eus une nuit très agitée et le matin  je n’eu de cesse de le rencontrer et je lui fixai rendez-vous à midi pour déjeuner.

 

 La matinée passa très vite et à midi pétante je quittais mon bureau pour récupérer ma voiture dans le sous-sol. Comme convenu, il m’y attendait. En montant il me demanda :  «  Où va-t-on ? » 

Comme je n’en savais rien je lui répondit : 

 

« C’est une surprise ».

 

En fait de surprise j’avais surtout envie de lui bouffer la queue mais n’osai pas lui en parler. A peine assis, il posa sa main sur ma cuisse qu’il se mit à caresser doucement et comme il vit que je bandais, il me sourit et accentua ses caresses.

 

Entre deux changements de vitesse, je fis de même avec ma main droite. Il portait un jean très moulant évidemment, en coton un peu satiné, très doux au toucher, ce qui m’excitait d'autant que sa pine était déjà bien bandée. Je la frottais énergiquement comme si j’avais voulu le faire jouir immédiatement. Ca repartait très fort. Il commençait déjà à me déboutonner la braguette. Je l’arrêtai  en le repoussant affectueusement :

 

 «Ne va pas si vite, je t’ai dis que j’avais une surprise ».

 

Il eut un petit rire entendu : « O.K., j’attends ».

 

A peine sortis de la ville, je pris un petit chemin de terre et m’arrêtais sous un arbre à l’abri des regards et du soleil.  Je me tournai vers lui et lui offrit un long baiser. Ses lèvres étaient douces et j’enfoncai ma langue le plus profondément possible, comme si je voulai l’étouffer. Il me rendit le baiser avec fougue et science, sa langue dure et rapide fouillant toute ma bouche J’en avais le souffle coupé. Je me dégageai et lui dis :

 

 « Allonge un peu ton siège, c’est à moi de te sucer aujourd’hui».

 

 J’eus un peu de mal à dégrafer sa ceinture, il dut me donner un coup de main, mais je ne voulais pas qu’il m’aide pour le pantalon. Je déboutonnai doucement sa braguette, en prenant mon temps, chaque bouton était une fête et quand je les ai eu tous défaits, je fis descendre entièrement son pantalon. Il ne portait dessous qu’un string ficelle blanc qui ressortait bien sur son bronzage mais qui avait du mal à contenir sa bite bandée. Je lui caressais le bout à travers le fin tissu satiné avant de la libérer. Elle n’était pas très longue mais trapue, un peu comme la mienne, avec un joli gland, Elle était bien bronzée et jaillissait avec grâce des  poils blonds de son pubis. Nous ne parlions plus. J’étais un peu anxieux et maladroit. J’avais peur et je n’osai pas, mais aujourd’hui, elle ne me dégoûtait pas comme hier soirr, javais retriuvé mes sensations homo. Lui ne faisait aucun mouvement, il m’attendait, mais voyant que j’hésitais et plutôt que de me forcer la main, il m’ouvrit la braguette, me pris la bite à pleine main et la serra très fort. La force de la caresse me fis me plier un peu plus, du coup mes lèvres vinrent toucher le bout de son gland. Je le léchais un peu avec ma langue et puis n’y tenant plus je me décidais et l’enfournait entièrement dans la bouche et me mis à la sucer. 

 

Il me repoussa : « Attends deux secondes, il faut mettre une capote ! »

 

J’avais complètement oublié ! C’est lui qui s’en chargeât, heureusement car je crois que j’en aurais bien été incapable.

 

« Vas – y maintenant »  Et je me remis à pomper avec application.

 

 Le goût de la capote me gênait un peu mais c'était superficiel à côté du plaisri éprouvé. Cela dura cinq bonnes minutes frénitiques ou je ne relachais pas mes efforts.  Il gémissait doucement, a priori satisfait de mon travial... et je sentis le plaisr monter en lui, tout son corps se tendait, je sentzis sonsperme  qui commençait à s’égoutter. J’en vais plein la bouche de cette bite, c’était délicieux. Je l'aspirai aussi fort que possible pour lui faire monter le jus, de ma main droite je le branlais violemment et de la gauche je lui caressais les couilles et lui taquinais le trou du cul comme il me l’avait si bien fait. Il gigotait et poussait de petits cris : mes caresses avaient l’air de lui plaire. De sa main droite, glissée dans la braguette de mon pantalon que je n’avais pas enlevé, il me branlait la bite à travers la soie du caleçon, et avec sa main gauche, il m’appuyait la tête fortement contre lui pour faire rentrer sa pine le plus profondément possible dans ma bouche comme j’avais moi-même fait la veille au soir.

 

J’étouffais mais continuai mes caresses avec frénésie. Il poussait des cris de plus en plus fort et se mit à me donner des coups de reins comme s’il faisait l’amour, comme s’il voulait me défoncer la tête. Je ne pouvais plus me retenir. S’il continuait, il allait me faire mal, aussi je me mis à lui serrer fortement la bite et les couilles, ça le fit décharger et l’impact de son sperme à travers la capote dans le fond de ma gorge me fis décharger aussi. Il éjacula longtemps et je le sucais pendant tout ce temps. Puis il finit par relâcher son étreinte et je pus enfin relever la tête pour respirer.

 

 Je me remis sur mon siège et m’allongeai à moitié, pour reprendre mes esprits. J’étais dans un piteux état : trempe de sueur, de la salive plein la barbe, du sperme plein le caleçon et le pantalon. Dans la bagarre, trois boutons de mon gilet s’étaient dégrafés et il baillait lamentablement. Lui, il était complètement allongé sur le siège ; les yeux fermés, dans un ravissement total. Nous sommes restés un moment allongé côte à côte sans rien nous dire. C’est lui qui a bougé le premier. Il se nettoya rapidement avec un Sopalin trouve dans la boite à gants et tenta de remonter son pantalon. Comme il n’y arrivait pas, il se tourna vers moi et voyant mon état me dit  avec sa petite voix de tapette :

 

 « Mon dieu, dans quel état tu t’es mis  mon chou ! Mais c'était bien tu sais, surtout pour un soit disant débutant. »

 

Et il m’embrassa tendrement. I" Tu ne me feras pas croire que tu n'avaais jamais fait ac ?l  Je ne nias pas , c'est vrai que ve n'était ppas la première fois. Cela me rappelelait plein de souvenir set je m'étonnais de ne plu  m'être preté à ce jeu depuis tant d'années. Il essaya vainement de me nettoyer mais c’était impossible. Je dus sortir de la voiture pour me rhabiller, ce que je fis rapidement de peur d’être aperçu par quelque passant. Malgré tous mes efforts, je n’étais pas très présentable, car si j’avais pu reboutonner correctement mon gilet, j’avais une énorme tache de sperme autour de ma braguette qui me rendait complètement ridicule.

 

« On dirait que tu t’es pissé dessus ma choute ! » me dit-il en riant lorsqu’il sortit à son tour de la voiture. Je ris. Nous prîmes la décision d’aller chez lui pour prendre une douche et il me promit de me prêter un pantalon. Nous repartîmes sur un petit nuage.

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Lundi 16 janvier 1 16 /01 /Jan 23:46

j'avais 11 ans et demi et j'étais parti 15 jours dans la propriété d'amis de mes parents pour faire les vendanges. Chaque année ils prennaient une vingtaine de garcons pour les vendanges dans les Corbières parmi les copains de leurs fils , ils en avaient cinq. le  père était chef scout et un de leur fils était un de mes meilleurs amis.

Comme nous étions nombreux et bien que la maison soit grande nous étions plusieurs par chambre et même par lit quand ils étaient grands (les lits). Nous nous sommes retrouvés à 4 dans un grande chambre avec 2 grand lits , avec mon copain et 2 plus agés (16ans ennviron). Ils ont proposé que l'on se partage les lits un grand et un petit; nous n'y avons pas vu malice et avons accepté.

nous nous sommes couché sans problème, en toute camaraderie et en faisant attention de ne pas nous montrer nus en mettant nos pyjamas.  Nous avons rapidement éteint la lumière car nous étions fatigués. dans la nuit j'ai senti la main de mon compagon de lit me caresser les cuisses puis j'ai senti qu'il essayé de la glisser dans la braguette de mon pyjama. il a senti que je me reveillais "tu veux bien me laisser faire , je ne te ferais pas de mal" je n'osais pas bouger de peur que les autres entendent . sa main était chaude, un peu moite, ce n'était pas désagréable j'ai dit oui doucement; il a défait les boutons et m'a doucement attrapé mon sexe qui était déjà raide. "je vois que ca te plait,, petite canaille" il s'est mis à me branler conciencieusement. au bout d'un instant, il s'est arrété, a pris ma main et l'a posé sur son sexe à lui je m'apercu alors qu'il était nu. par rapport au mien son sexe paraissait énorme et rien que de le toucher m'a mis dans une grande exitation je n'ai pu m'empêcher de lui dire: "qu'est ce qu'il est gros!"  ila dit doucement "c'est normal le tien deviendra pareil quand tu sera grand, ca te plait ?" il s'était remis à me tripoter. vas y caresse moi, fais comme moi" je me suis mis à le branler furieusement si bien qu'il a rapidement joui en projetant son sperme sur tout les deux . j'étais un peu etonné et écoeuré et avant que je réagisse il s'est penché sur moi a englouti ma petite bite dans sa bouche et s'est mis à me pomper j'ai joui presque immédiatement. j'avais beaucoup moins de sperme que lui  mais c'était agréable la façon qu'il avait de me serrer le sexe pendant l'éjacution c'était la première fois que je jouissait sans que ce soit moi qui me branle.  il a alors relevé la tête et il m'a roulé une pelle humide de mon sperme . sa langue à longuement fouillé ma bouche. j'étais tétanisé j'étouffais. "tu vois c'est comme ça qu'il faut faire, tu le feras la prochaine fois ? je n'ai pu que hocher la tête je n'osais plus bouger; il m'a essuyé sommairement puis s'est un peu éloigné de moi m'a dit "bonne nuit, maintenant tu es un grand".j'étais vraiment perdu je n'ai plus rien dit . j'ecoutais le silence et la respiration des autres dans le lit voisin. personne n'avait entendu, tant mieux j'étais troublé car je comprenait que ce qui venait de se passer allait me faire entrer dans un autre monde.

le lendemain nous nous sommes levés comme si de rien n'étais. mon pyjama était un peu taché mais ca ne se voyait pas. Nous ne  nous somme rien dit mais moi je ne pensais qu'à ca et observais son entre jambe à la dérobée. il ne m'a parlé de rien de toute la journée où nous avons eu un comportement normal avec les autres. J'ai attendu toute la journée le moment de me coucher avec impatience et puis encore le moment où les autres se sont endormis. Lorsque nous en avons était sur, sans rien dire, il a baissé son pantalon et s'est tourné vers moi, il m'a dit "viens" j'ai obéi avec empressement. j'ai pris son sexe dans mes mains. bien sur il bandait déjà je me suis aussitôt baissé pour l'introduire dans ma bouche comme je l'avais vu faire la veille.  son gland était gros et doux dans ma bouche il avait bon gout. comme j'était malhabile il m'a murmuré des conseils à l'oreille . c'était ma première leçon de pipe. je crois que j'étais bon élève  cela a duré un bon moment, une éternité pour moi, j'avais chaud sous les draps et je ne voulais pas faire de bruit. j'ai été surpris quand il a joui  et j'ai violemment retiré sa bite de la bouche au premier jet, j'ai tout pris sur la figure. "chut" il a fait et en poussant ma tête par derrière il m'a remis son sexe dans la bouche. j'ai continué de pomper les autres jets. il me tenait si fort que son gland était au fond de la gorge et me donnait envie de vomir. depuis le début ses mains me tripotait les fesses et quand il a joui il m'a enfoncé  doucement mais fortement un doigt dans le cul j'ai joui à mon tour. nous sommes resté quelques instant comme ça, sans bouger, sans respirer j'étais totalement à sa merci j'attendais qu'il fasse quelquechose car j'étais dépassé. il a relaché son etreinte j'ai doucement craché le sperme qui me restait dans la bouche. j'avais mal à la bouche, j'avais mal aux cheveux qu'il avait tiré dans l'étreinte, j'avais mal a mon cul, mais j'étas au fond de moi content, comme rassasié. "c'est bien pour une première fois tu t'en ais bien tiré, il faudra appredre à avaler maintenant" et il s'est tourné pour dormir...

Le lendemain j'avais appris à avaler. durant ces quinze jours je l'ai sucé toutes les nuits et même parfois dans la journée quand on trouvait un moment propice. il baissait rapidement son short, il ne portait plus de culotte volontairement, et je m'agenouillais devant lui pour le sucer. j'étais complétement soumis à ces besoins. j'avais une peur bleue que l'on se fasse surprendre mais je ne pouvais pas résister ni à sa force physique ni à sa pression psychique. il voulait absolument  me sodomiser mais ce n'etait pas possible dans le lit à cause des autres et nous n'avons pu assez nous isoler pour le faire.

lorsque nous sommes rentrés notre relation a presque immédiatment cessée. Il a bien tenté deux ou trois fois d'aller plus loin que la pipe mais je n'ai jamais accepté. Je ne me sentais pas prêt. Je preferais attendre et je crois que j'ai bien fait; cependant maintenant que j'avais franchit le pas d'autres relations s'ouvrait à moi. il y avait tout un monde de tapettes qui me devenais familier. j'eu beaucoup d'autres relations avec des  gars de mon age et plus agés, beaucoup plus agés, même mais ça n'a jamais eu le charme de la première fois et de la découverte. C'est un homme d'age mur qui, quelques mois plus tard me dépucela le cul, mais ca c'est une autre histoire.

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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