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  • : J'ai entrepris de raconter l'exhaustivité de ma vie sexuelle, de mes premiers amours homosexuels à mes expériences masos et domination, mes 3 mariages, et mes relations avec les prostituées. J'aie le sexe et suis fétichiste de la soie et de satin. Je veux faire partager mes passions au maximum et dans toutes les variétés de mes désirs. Bonne lecture
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  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes

Mes expériences diverses

Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 02:27

Je fais pas mal de kilomètres en voiture pour mon boulot et étant toujours ou presque seul il m'arrive de prendre des stoppeurs pour pouvoir bavarder un peu et me passer de ma radio qui ne sort que les mêmes rengaines que je n'aime pas.

Un  matin , en sortant de la petite ville où j'ai passé la nuit, une jeune femme me fait signe. La vue de cette femme à 9 heures du matin sur cette route m’intrigue. Je m'arrête et lui demande où elle va : n'importe où, je fuis mon mari que me trompe avec une de mes amies.
Ce doit être une scène de ménage qui a mal tournée. Je lui dis où je vais, ca lui convient bien.
Et nous voilà partis. Vers l'heure du déjeuner je l'invite à manger au restaurant.. Nous finissons un peu tard et je continue vers mon rendez vous. Un après midi chaud se met en place.


Elle porte une jupe plissée légère en une sorte se satin, avec des fleurs,  un T-shirt blanc, très moulant  et des sandales:. Elle a chaud et relève sa jupe jusqu'à mi cuisses. Je regarde ses jambes et les trouve bien belles. Sa poitrine pointe à travers le T-shirt. Manifestement elle ne porte pas de soutien gorge  mais sa poitrine ne semble pas en avoir besoin ! Je me demande même si elle porte une culottes. J'ai quelques doutes.

Je suis pris par la conduite mais j'aimerai en avoir le cœur net: je ralenti et stoppe ma voiture au bord de la route à un endroit dégagé et ombragé. Elle se demande ce qui se passe: ce n'est pas le coup de la panne ? Je lui pose directement la question: portez vous une culotte ? Elle me regarde en rougissant et me dit qu'elle n'en porte jamais. Sans doute excitée par ma demande elle lève complètement sa jupe et je peux bien voir son bas ventre avec un con rasé, comme je les aime. J'en profite et pose une main sur son genou.Elle se laisse faire. Pour une femme qui part de chez elle parce que son mari la trompe, il me semble qu'elle se console très vite. Je caresse maintenant l'intérieur des cuisses. J'arrive dans son intimité et je peux encore monter jusqu’au clitoris. Elle mouille terriblement. Je lui demande d'attendre que nous soyons dans un endroit plus favorable. Elle est d'accord, mais étant très excitée elle pose sa main sur le con et se branle sans pudeur devant moi qui ne sait même pas quel est son prénom. J'ouvre la braguette de mon pantalon, prends sa main et  la pose sur ma bite bandée dans mon calecon en soie pour qu'elle me branle aussi. ce qu'elle fait sans trop d'nthousiasme.


Je trouve un petit chemin dans une forêt et j'arrête dans une clairière. Je sors de la voiture, ouvre la portière pour faire descendre ma passagère. Elle se tourne pour sortir, une main toujours sur son sexe. Elle ne sort pas encore: elle attend de jouir pour le faire. Je bande fortement en la voyant. Ma bosse sous mon pantalon est visible, surtout avec la braguette ouverte !  Enfin elle s'occupe  et sort ma bite: une fois dehors elle la regarde un peu  comme une bête curieuse.  Je regarde ses mains: elle ne porte aucune alliance: elle m'a menti en disant que son mari la trompait. Elle m'avoue qu'elle est toujours chez ses parents et  qu'elle  faisait tout simplement du stop pour trouver de quoi baiser. Malgré son air déluré, elle dit n'avoir que peu d'experiences avec les hommes et qu'elle s'est plus branlée qu'elle ne s'est faite baiser. D'où son étonnement lorsqu'elle a vu ma queue. Elle veut de la baise, mais ne sait pas trop  ce c'est. Elle en aura,. Je suis très résistant et il me faut pas mal de temps pour jouir. Je lui remplirai tous ses trous, plusieurs fois si possible,

Une fois en face d'elle,je commence à l'embrasser longuement :puis je lui enlève ce qu'elle porte sur elle: il ne lui  reste qu'une chaine autour de ses hanches. .Elle veut me branler, je la laisse faire un moment,  sa main est douce lorsqu'elle touche ma queue. Elle m'exite fort. Je la renverse sur l'herbe et sans trop  la préparer je me mets entre ses jambes et directement, sans autre caresse préalable, car elle est déjà tres humide, je la baise. Elle est surprise au début el me gifle ce qui m'exite encore plus ! Je suis en elle et je me régale de la ramoner. Elle cntinue à se défend mollement  mais  rapidement elle arrête de ce débattre et commence à accompagner mes mouvements. Je ne jouis pas, mais elle si et plusieurs fois.
Je veux changer de position: je lui demande de se mettre sur le ventre et toujours sans préparation je lui mets ma pine dans le cul. Là elle ne le veut pas vraiment mais  je ne lui demande pas son avis car j'ai vrament envie de son cul, J'y entre avec difficultés tellement elle serre son anus. Je force un bon coup et me voilà dans son cul.  Je fais mes allers et venues  et soudain elle se détend et brusquement je sens ses contractions autour de ma bite: elle jouit encore et moi je lui jouis dans le cul !


Ce moment est si agréable que je décide de continuer. Je lui demande de me sucer. Je sors de cul son lui demande de me nettoyer la queue  bien comme il faut.  Elle ne refuse pas, . Elle prend ma bite à pleine bouche et la lèche de haut en bas, sa langue est délicieusement délicate sur mon jonc. Elle continue pensant que je vais jouir dans sa bouche mais  non je veux la lui mettre dans le con, pendant qu'elle se branle. Elle se met en levrette et dès que j'entre en elle, je sens que sa main se caresse le clitoris. J’aime bien baiser une femme qui se branle. Aussi elle jouit encore et moi même j'éclate en elle.


Nous finissons de baiser sur l'herbe et remontons dans la voiture. J'ai encore envie de m'amuser avec elle d'autant qu'elle n'est pas farouche et se prete au jeu. Je lui demande de ne pas remettre sa jupe dans la voiture et de garder bien levé, jusqu'à la naissance des seins son T-shirt. Elle doit être plus qu'à moitié nue pour que je puisse la peloter en route tout en conduisant . Je laisse mon pantalon dégraffé, braguette ouverte de telle sorte que ma queue soit dehors et bien accessible et à ma  demande, elle doit se pencher et venir me sucer. Je réserve cette façon pour la traversée à faible allure des agglomérations. Je ne sais si c'est le fait de pouvoir être surpris en train de me faire faire un pompier, je jouis à plusieurs reprises . dans sa bouche en lui demandant de s'appliquer à bien tout avaler à chaque fois pour ne pas tâcher mon pantalon de costume


Arrivé à destination, nous nous rhabillons. je lui donne de quoi se payer le train du retour. Elle accepte mais à mon avis elle va prefere faire du stop pour rentrer  chez elle et trouver un nouvel amant  !

 

 


Par jeanlain - Publié dans : Mes expériences diverses
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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 22:52

C’était une époque où j’avais des problèmes de dos et mon toubib me prescrivait régulièrement des séances de kiné. J’avais toujours du mal à les faire car je n’arrivais pas à trouver un kiné près de chez moi et puis je n’aime pas trop ces gars. Finalement, sur les conseils de je ne sais qui, je me suis procuré l’adresse d’une kiné près du boulot et qui pouvait me prendre (façon de parler!) entre midi et deux heures. Parfait pour moi. Je m’empresse donc de prendre rendez vous.

 

 

 

 

 

C’est une fille blonde assez grande et costaude, d’origine nordique semble-t-il même si elle n’en a pas l’accent, un visage régulier, sans être une beauté, doux et souriant. C’est une fille sportive. Ca se voit à son habillement : pantalons serrés et sport, sweeter, l’air dynamique, bottes en cuir, de beaux seins, un peu pointus, maintenus par un soutien gorge bien coupé.

 

 

Le contact est bon, elle a l’air sympathique et saine,franche, nous prenons rendez vous deux fois par semaine, le mardi et le jeudi à 13H.

 

 

 

 

 

C’est à cette époque aussi que je commençais à porter des caleçons en soie  et comme j’étais beaucoup en clientèle et que je recevais pas mal de clients au bureau, j’étais obligé d’être très bien sapé, toujours costard cravate de luxe, belles chemises et souvent un petit gilet de satin. Un peu endimanché mais ça me plaisait et je prenais grand soin à tout ce que je portais, aucun détail n’était oublié.

 

 

Pour la première séance elle me demande de me déshabiller, je lui propose quand même de garder mon caleçon, elle sourit mais sans répondre directement à ma repartie un peu graveleuse. Je m’en excuse, elle se retourne vers moi avec un sourire affable pour me dire que cela n’a pas d’importance. Elle a de beaux yeux verts qui plongent directement dans les miens. Pas d’ambiguïté, elle est au premier degré, naturelle, elle me met à l’aise. Le déshabillage se fait dans un coin de la salle de travail, il n’y a pas vraiment de vestiaire et quand elle travaille à son bureau je suis pratiquement obligé de le faire devant elle. Cela ne me gène pas vraiment, au contraire, j’ai toujours eu un coté exhibitionniste. Je le fais lentement, en prenant soin de plier mes vêtements pour ne pas qu’ils se froissent. Elle m’attend patiemment, ; sans jamais montrer un signe d’impatience.

 

 

 

 

 

Je me sens un peu ridicule la première fois que me retrouve en caleçon devant elle. Je note qu’elle remarque mon caleçon en soie et qu’elle esquisse un petit sourire très discret mais ne fait aucune remarque. Avec mes habits un peu trop chic, mes manières méticuleuses de ranger mes affaires je crois qu’elle me prend pour une tapette. Ca ne me dérange pas, j’aime bien les tapettes  et même si je ne les fréquente pas trop je ne rate pas l’occasion d’une petite aventure avec un joli mignon, surtout bien monté !

 

 

 

 

 

Les séances se déroulent invariablement de la même façon. Elle me mets d’abord des sacs de boues très chaude sur les reins alors que je suis allongé sur le dos, puis elle me fait des massages du dos et des reins avec des crèmes, ensuite je m’assied, elle me masse les épaules et le haut du dos. C’est super et très relaxant, en plus elle est très douée.

 

 

 

 

 

Au fur et à mesure des séances nous lions un peu plus connaissance. Elle me parle beaucoup de son travail, de ses clients, puis de ses vacances, de sa voiture (elle a une superbe SAAB) de son mari aussi qu’elle voit peu à cause de son boulot. Elle n’a pas d’enfants. Elle me parle d’elle et notre intimité grandie peu à peu. Je prends de plus en plus de plaisir à ces rendez vous auxquels je me rends avec impatience.

 

 

 

 

 

Le malheur c’est que le plaisir quand on est en caleçon ça se voit ! D’autant que je m’évertue à mettre chaque fois  un caleçon différent. C’est pas facile car je n’en ai pas des tonnes mais ça me plait et je vais en acheter régulièrement pour  pouvoir m’exhiber chaque fois avec un caleçon nouveau et souvent neuf, bien repassé. C’est devenu un jeu pour moi, un jeu de séduction.

 

 

Elle remarque évidemment le manège d’autant que mon excitation est de plus en plus visible puisque je bande à moitié chaque fois que je me déshabille. Elle fait mine de ne rien remarquer.

 

 

 

 

 

Elle est très douce dans ses mouvements et ses mains sont très douces. Pour me mettre le sac de boue chaude et pour ne pas abîmer le caleçon, elle le descend un petit peu sur les fesses, très délicatement et j’ai l’impression chaque fois un peu plus. Ca l’amuse et moi ça me plait. J’aimerais qu’elle le baisse complètement, avoir les fesses à l’air et qu’elle me les masse….

 

 

 

 

 

Les massages sont si bons que rapidement je me mets à bander systématiquement pendant qu’elle me masse. Comme je suis sur le dos ce ne se voit pas mais quand je me retourne et  m’assied c’est moins évident à cacher !

 

 

 

 

 

Et ce qui devait arriver arriva.

 

 

 

 

 

Je portais ce jour là un caleçon en soie de couleur champagne, un peu juste pour ma taille avec une braguette sans boutons et mon sexe a jaillit de la soie au moment où je me suis redressé pour m’asseoir sur le bord de la table à masser. Elle le voit, sourit sans être choquée et d’une main experte, elle le remet dans le caleçon sans rien dire et commence à me masser les épaules. Le contact de ses doigts sur ma bite est si doux que j’en jouis presque.

 

 

 

 

 

« Allongez vous sur le dos maintenant » me dit elle. Je suis surpris car ce n’est pas habituel. Je m’exécute docilement même si je suis gêné par mon érection, et évidemment, comme je suis toujours bandé, ma bite sort à nouveau du caleçon !

 

 

Cette fois elle ne la remet pas en place mais la prend à pleine main et se met à me branler doucement. Je ne dit rien, ne bouge pas le reste de mon corps, je ferme les yeux et me laisse aller. Elle me masse très bien la bite, comme elle me masse très bien le dos. Je suis vraiment très raide, le gland bien dégagé. Elle se penche vers lui et le prend dans la bouche. Ses cheveux viennent caresser mon ventre.  Sa langue est chaude, véloce, ses lèvres baveuses, c’est délicieux et comme elle continue à me branler sévèrement je jouis très vite alors qu’elle commence à peine à me caresser les couilles. Comme souvent je suis trop bon client et une pipe m’excite tellement que je jouis toujours très vite. Elle prend tout dans la bouche comme une grande tout en continuant de me lécher. On dirait une pro (une pute je veux dire, pas une masseuse). Elle m’essuie avec une serviette qui traîne là et retourne à son bureau, sans un mot, si ce n’est : « C’est fini, vous pouvez vous rhabiller », sans même me regarder.

 

 

 

 

 

Je ne dit rien non plus, je suis un peu sonné et vais m’habiller dans mon coin, un peu gêné mais si bien… Je quitte le caleçon qui est un peu mouillé et je passe un slip qui me maintient bien les couilles et la verge. J’enfile le pantalon de mon costume, il me serre un peu, je le boutonne méticuleusement. je remets ma chemise et mon gilet. Tout ça boutonné serré, bien mis en place. Je fais un joli nœud de cravate, j’aime le contact de la soie sous les doigts quand on fait le nœud et je la fait ressortir un peu du gilet. Je me sens superbe, sanglé dans mon uniforme soyeux d’homme d’affaires. Nous nous quittons simplement, en nous serrant la main, les yeux dans les yeux, comme si rien ne s’était passé mais avec une petite jubilation intérieure

 

 

 

 

 

Je me demandais comment aller se passer la prochaine séance, j’étais impatient et avait un peu d’appréhension. En fait elle se déroula normalement. Ma belle masseuse ne fit aucune allusion à la séance précédente et se conduisit de manière totalement naturelle comme si rien ne s’était passé. Elle était en beauté dans un débardeur en soie verte sur un pantalon de cuir moulant. Cela  me surpris mais je trouvais ça bien. Je bandais toujours autant pendant les massages et j’en attendais la fin avec impatience mais cette fois ci, elle ne fit pas cas de mon érection pourtant bien visible. Elle n’en parut pas choquée non plus. J’étais un peu déçu mais d’autre part je gardais l’espoir que l’incident (comme je me plaisais de l’appeler)  puisse se reproduire.

 

 

 

 

 

Rien ne se passa non plus pendant plusieurs séances consécutives. Nous échangions des banalités, de manière très amicale mais sans aucune allusion lascive, sans jamais aucune allusion à ce qui c’était passé. Je bandais et j’attendais, confortablement au chaud pendant ses massages si doux. Je me disais que quelque chose finirait bien par se passer. Mais rien n’arriva jusqu’à la dernière séance.

 

 

 

 

 

Lorsqu’elle vint m’ouvrir ce jour-là je remarquais bien sur de suite le changement. Aujourd’hui, pas de pantalon sexy, de cavalière avec des bottes à talon mais juste une petite blouse d’infirmière en nylon blanc avec un liseré rouge, un peu trop courte, mais bien boutonnée jusqu’au cou avec de jolis petits boutons recouverts de satin rouge. Et des petites sandales à talon haut. Pas besoin d’être expert pour voir qu’elle ne portait rien en dessous, le nylon un peu transparent laisser deviner de belles formes et les bouts de ses seins pointaient sur le corsage.

 

 

Je n’hésitais pas et au lieu de me présenter en caleçon sur la table de massage je me déshabillais complètement et me présentais à elle entièrement nu, le dard en l’air. Elle m’attendait et nous nous enlacâmmes immédiatement. Elle me pris le sexe dans ses mains et je lui pris ses seins. Ils étaient durs et fermes et glissaient sous le nylon de sa blouse, exactement comme je l’imaginais. Je les palpais si fébrilement que je l’ai eu vite dégrafée. Elle se tenait nue devant moi, offerte. Je me suis mis à la lécher, à lécher ses seins, son ventre, son sexe presque entièrement rasé au goût de mer. Je caressais tout son corps, ses fesses haut perchées, le haut de ses cuisses tendues, son ventre dur et plat.  Elle m’offrit sa bouche, sa langue, ses lèvres et nous nous sommes dévoré l’un l’autre. Nous avons basculé dans l’étreinte et nous nous sommes roulés par terre avec frénésie et avons fait l’amour comme des bêtes déchaînées, comme si nous n’avions pas fait l’amour depuis des années, comme si nous ne devions jamais plus le refaire. Et ce à plusieurs reprises. Je me sentais inépuisable. Cela dura presque deux heures de débordements sexuels. Tout y passa. Devant derrière, dans la bouche partout j’éjaculais et elle me suçait à nouveau pour recommencer. Je m’offris à elle complètement, elle me baisa comme un homme, me défonça le cul avec assurance et dextérité. La jouissance était si forte que j’en pleurais.

 

 

 

 

 

Et tout cela sans un mot. Epuisés, nous avons tacitement décidé d’arrêter. Rassasiés.  Nous prîmes une douche ensemble en un long baiser sur la bouche comme un ultime au revoir. Elle  a disparue dans une pièce à coté et moi, séché, je me suis rhabillé, comme d’habitude dans mon coin, mais ce n’était pas vraiment comme d’habitude…

 

 

 

 

 

Je suis sorti sans la revoir et n’ai jamais cherché à revenir, elle ne m’a jamais contacté. Nous gardons ce moment unique et savoureux au plus profond de nous, comme une pierre précieuse.

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes expériences diverses
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Jeudi 9 février 4 09 /02 /Fév 22:12

C’est le 18 janvier dernier que l’ai rencontré.

 Comme a son habitude, elle portait un costume deux pièces d’homme à fines rayures grises, très seyant sur un chemisier en soie beige trop déboutonné, un pantalon moulant haut sur ses hanches qui comprimait son petit ventre rond. Elle portait des souliers noirs vernis à hauts talons. Un gilet en satin lui serrait fortement la taille et ne pouvait contenir sa grosse poitrine mise en valeur par un soutien-gorge à balconnet. Elle avait vraiment l’air d’une pute mais ne semblait pas s’en rendre compte. Elle posa tous ses sacs  sur la chaise à coté de moi, et se pencha pour m’embrasser sur la joue. J’en profitais pour passer ma main sur ses reins et lui peloter les fesses. Elle me laissa faire en riant ce qui provoqua en moi un début d’érection. Je lui fis remarquer que son chemisier était un peu trop ouvert pour l’endroit, que l’on voyait son soutien - gorge et qu’elle risquait de provoquer une émeute . Elle éclata de rire mais suivi mon conseil et reboutonna son chemisier. Elle vint s’asseoir sur la banquette à ma droite, très près de moi, mis sa main sur ma cuisse et commanda un whisky perrier, comme moi. Son parfum m’éxitait au plus haut point.

 

 

 Tout en débitant des banalités d’usage comme il est coutume lorsque deux amis se rencontrent, elle posa sa main sur ma jambe . Elle la fit lentement remonter vers le haut de ma cuisse et commença à jouer avec les boutons de ma braguette. Ses intentions étaient claires et je me réjouissais à l’avance de la soirée que nous allions passer ensemble. Je passais ma main droite sous sa veste pour lui caresser le dos. Le satin de son gilet était chaud et tendu. D’une main habile, elle défit les trois derniers boutons de ma braguette, glissa sa main dans mon pantalon pour mieux me caresser. Ma pine était tendue au maximum sous la soie de mon caleçon .  

- Tu veux que je te suce ?  me demanda-t-elle ingénument. 

- Je ne crois pas que se soit vraiment l’endroit. Mais je n’avais pas fini de répondre qu’elle avait ouvert la braguette du caleçon, sorti ma pine et s'était penché pour engloutir mon gland dans sa bouche . J’étais très gêné .Cependant comme nous étions dans un coin, au fond du café et qu’il n’y avait pas grand monde, cela pouvait passer inaperçu. Tout en ma laissant aller à sa succion voluptueuse, je profitais de sa position pour glisser ma main dans l’échancrure de son chemisier , le déboutonner et lui caresser les seins. Ils débordaient de son soutien - gorge , j’en avais plein les mains et les malaxaient avec ravissement. Sa main droite me caressait tendrement les couilles, sa langue courrait le long de ma bite et sur mon gland qu’elle faisait sans cesse entrer et sortir de sa bouche. Mon dieu quelle pipe ! Il s’en fallait de peu que je lui décharge mon foutre dans la bouche, elle du le sentir, car elle se redressa d’un coup et remit tendrement mes affaires dans le caleçon. Elle souriait : - Ca te plaît , n’est ce pas ?

Ses yeux brillaient de malice. Je l'embrassais sur la bouche, ma langue léchait ses lèvres. Elles avaient le goût de mon sexe et ca me plaisait. Dans le mouvement qu’elle fit en se redressant, un de ses seins sorti du soutien-gorge et se retrouva à l’air libre, son chemisier étant presque entièrement ouvert. Pour le coup sa tenue devenait obscène. Nous cessâmes notre baiser afin qu'elle puisse se rajuster une nouvelle fois. J’avais le rouge aux joues, elle aussi d’ailleurs, et nous étions dans un état d’excitation tel que nous ne pouvions parler. Le garçon nous avait repéré depuis le début, il s’était rapproché pendant qu’elle me suçait, pour mieux nous regarder et maintenant il se rinçait l’œil en la voyant reboutonner son chemisier et son gilet . Ca me plaisait de nous savoir regardé et je pris tout mon temps pour reboutonner les braguettes de mon caleçon et de mon pantalon, sous son œil connaisseur.  

-"Je crois que nous ferions mieux d’aller prendre un peu d’air frais . Elle opina de la tête, se leva en fermant sa veste, reprit ses sacs et se dirigea vers la sortie. Le garçon vint vers moi , il souriait en regardant ma braguette mal reboutonnée..  

-  Qu’est-ce que je vous dois ?   

- Quatre-vingt francs. Je crois que vous allez passer un bon moment !  me répondit-il.  

Il portait une chemise en soie très seyante et un pantalon noir si moulant que je n'avais pas de doute sur son érection et pouvais apprécier la taille de son pénis. J’eus soudain l’envie de mettre la main à sa braguette, de l’ouvrir, de sortir son engin et le sucer, mais Monica m’attendait et ne pouvais courir après plusieurs lièvres à la fois. Je vis qu’il le comprit quand il me rendit la monnaie. Je mis les pièces dans la poche de mon pantalon et me levais pour sortir à mon tour. Je ne pus m’empêcher d’effleurer son sexe avec le dos de ma main en passant devant lui. Comme je m’en doutais , il se laissa faire avec complaisance et me rendis la caresse en me mettant la main au cul . Je lui laissais le temps de me peloter les fesses, ce qu’il fit avec habileté d'ailleurs, mais comme sa main commençait à s'attaquer à mon entrejambe, je me dégageais.  

Il ne fallait pas aller trop loin maintenant ...

 - A bientôt j'espère,   dit-il avec un clin d’œil coquin et sur de sa conquête . 

- Avec plaisir,  je lui répondis en souriant et en passant ma main sur ces petites fesses dures. Et c’ est vrai que j’en avais envie. 

 

 

 

Elle était sur le trottoir à m’attendre. Elle avait vu notre manège : - Alors, tu veux te faire le garçon maintenant ?  

- Non pas maintenant ma chatte, pour l’heure c’ est toi qui m’intéresse, lui, on verra plus tard.  

- Je ne savais pas que tu t’étais mis aux mecs , tu as viré ta cutie ?   

- Non pas du tout, mais de temps en temps ca ne me dérange pas de sucer une belle bite moi aussi et il avait l’air bien monté celui-là.    

- Oh oui j’ai vu, tu veux qu’on l’invite , on se le fera tout les deux ?   

- Non pas ce soir, je ne veux que toi , pour moi tout seul.   

- Et si je refuse ?    

-  Je te viole ma grosse !   

- Pas si grosse que ca, j’ai perdue trois kilos en un mois en faisant de la gym !   

- N’en perds pas trop, C’est bien enveloppée que je te préfère.   

- Tu dis ça, mais vous bandez tous devant ces mannequins filiformes qui s’affichent partout.   

-  Peut être, mais quand on veut tirer un bon coup c’est vers des salopes comme toi, bien en chair, qu’on se retourne.  

 - Ah très bien, je suis une salope !   elle fit mine de me boxer.  

- Mais bien sûr tu le sais, tu aimes ca et moi aussi. 

 

 Tout en lui disant ca, je lui mis la main au cul et lui caressais la raie. Elle se laissa faire et rit en serrant contre moi. Je savais que si elle n’avait pas eu les mains prises par les paquets, elle m’aurait rendu la caresse. Elle me murmura à l’oreille : 

- Viens, on va chez moi, on va se donner tout le plaisir qu’on peut.. 

 Ses lèvres étaient chaudes sur mon oreille et me chatouillaient. Elle se tourna vers moi et mis sa langue dans ma bouche, profondément. Je fus obligé de m’arrêter pour lui rendre son baiser, je passais une main autour de sa taille et de l’autre main recommençais à lui malaxer les seins. Elle était tendue comme un arc, ma bite aussi , sa langue explorait tous les recoins de ma bouche à me faire étouffer et je bandais si fort que j’étais encore à deux doigts de décharger dans mon caleçon. Je repris mon souffle : 

- Dépêchons-nous d’aller chez toi, sinon je te baise dans la rue. 

- Chiche !   

- Arrête tes conneries.   

 D’une main, je lui pris ses paquets , passais mon bras sur ses épaules et l’entraînait sur le trottoir. Je n’avais plus envie d’attendre, les préliminaires étaient trop longs, j’en avais mal aux couilles. La suite n’allait pas me décevoir.

 Nous fûmes rendus chez elle en moins de dix minutes. Durant le trajet, nous ne parlâmes pas, juste nos mains se serraient ou osaient des caresses hâtives et maladroites. Elle monta l’escalier la première et j’en profitais bien sûr pour lui caresser le cul regrettant qu’elle soit en pantalon. C’est toujours un moment très excitant lorsque l’on monte avec une fille pour baiser. Quand je monte avec une pute c’ est souvent le meilleur moment, le moment le plus érotique : tout est en devenir et le rêve est devant soi. Après on est vite déçu, la fille se déshabille machinalement en rangeant bien ses affaires pour ne pas qu’elles s’abîment, elle est habile à t’enfiler la capote, te suce avec application et fait l’amour en s’ennuyant, comme une mécanique : pas vraiment bandant. Ca pue et tu as du mal à jouir, alors tu te forces et il y a peu de joie qui sort de ton orgasme. Un coup de Sopalin pour te nettoyer le bout, tu remontes le falzar, maladroit et suant.  

 

 - Voilà deux cents balles ,  et je me tire.

- Ca t'a plu mon chou ?

- Oui, c'était très bien.  

- Tant mieux, j’aime que le client soit content et qu’il en ait pour son argent.

 Tu quittes la chambre, honteux et sans répondre, il n’y a vraiment rien à dire. Dehors, il fait encore plus triste et l’air te semble sale.

 

 

 

Ce soir-là, heureusement, ce n’était pas le cas, l’air était doux et sentait le lilas.

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes expériences diverses
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