Présentation

  • : Ma vie sexuelle
  • Ma vie sexuelle
  • : gay sodomie Histoires érotiques
  • : J'ai entrepris de raconter l'exhaustivité de ma vie sexuelle, de mes premiers amours homosexuels à mes expériences masos et domination, mes 3 mariages, et mes relations avec les prostituées. J'aie le sexe et suis fétichiste de la soie et de satin. Je veux faire partager mes passions au maximum et dans toutes les variétés de mes désirs. Bonne lecture
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Images aléatoires

  • Versailles-20140119-02309
  • moto 0782
  • p021.jpg
  • izgirls0209
  • 06Tina-Brooks
  • moto 0219

Profil

  • jeanlain
  • Ma vie sexuelle
  • sodomie soumission pute domination fellation
  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes
Jeudi 9 février 4 09 /02 /Fév 22:12

C’est le 18 janvier dernier que l’ai rencontré.

 Comme a son habitude, elle portait un costume deux pièces d’homme à fines rayures grises, très seyant sur un chemisier en soie beige trop déboutonné, un pantalon moulant haut sur ses hanches qui comprimait son petit ventre rond. Elle portait des souliers noirs vernis à hauts talons. Un gilet en satin lui serrait fortement la taille et ne pouvait contenir sa grosse poitrine mise en valeur par un soutien-gorge à balconnet. Elle avait vraiment l’air d’une pute mais ne semblait pas s’en rendre compte. Elle posa tous ses sacs  sur la chaise à coté de moi, et se pencha pour m’embrasser sur la joue. J’en profitais pour passer ma main sur ses reins et lui peloter les fesses. Elle me laissa faire en riant ce qui provoqua en moi un début d’érection. Je lui fis remarquer que son chemisier était un peu trop ouvert pour l’endroit, que l’on voyait son soutien - gorge et qu’elle risquait de provoquer une émeute . Elle éclata de rire mais suivi mon conseil et reboutonna son chemisier. Elle vint s’asseoir sur la banquette à ma droite, très près de moi, mis sa main sur ma cuisse et commanda un whisky perrier, comme moi. Son parfum m’éxitait au plus haut point.

 

 

 Tout en débitant des banalités d’usage comme il est coutume lorsque deux amis se rencontrent, elle posa sa main sur ma jambe . Elle la fit lentement remonter vers le haut de ma cuisse et commença à jouer avec les boutons de ma braguette. Ses intentions étaient claires et je me réjouissais à l’avance de la soirée que nous allions passer ensemble. Je passais ma main droite sous sa veste pour lui caresser le dos. Le satin de son gilet était chaud et tendu. D’une main habile, elle défit les trois derniers boutons de ma braguette, glissa sa main dans mon pantalon pour mieux me caresser. Ma pine était tendue au maximum sous la soie de mon caleçon .  

- Tu veux que je te suce ?  me demanda-t-elle ingénument. 

- Je ne crois pas que se soit vraiment l’endroit. Mais je n’avais pas fini de répondre qu’elle avait ouvert la braguette du caleçon, sorti ma pine et s'était penché pour engloutir mon gland dans sa bouche . J’étais très gêné .Cependant comme nous étions dans un coin, au fond du café et qu’il n’y avait pas grand monde, cela pouvait passer inaperçu. Tout en ma laissant aller à sa succion voluptueuse, je profitais de sa position pour glisser ma main dans l’échancrure de son chemisier , le déboutonner et lui caresser les seins. Ils débordaient de son soutien - gorge , j’en avais plein les mains et les malaxaient avec ravissement. Sa main droite me caressait tendrement les couilles, sa langue courrait le long de ma bite et sur mon gland qu’elle faisait sans cesse entrer et sortir de sa bouche. Mon dieu quelle pipe ! Il s’en fallait de peu que je lui décharge mon foutre dans la bouche, elle du le sentir, car elle se redressa d’un coup et remit tendrement mes affaires dans le caleçon. Elle souriait : - Ca te plaît , n’est ce pas ?

Ses yeux brillaient de malice. Je l'embrassais sur la bouche, ma langue léchait ses lèvres. Elles avaient le goût de mon sexe et ca me plaisait. Dans le mouvement qu’elle fit en se redressant, un de ses seins sorti du soutien-gorge et se retrouva à l’air libre, son chemisier étant presque entièrement ouvert. Pour le coup sa tenue devenait obscène. Nous cessâmes notre baiser afin qu'elle puisse se rajuster une nouvelle fois. J’avais le rouge aux joues, elle aussi d’ailleurs, et nous étions dans un état d’excitation tel que nous ne pouvions parler. Le garçon nous avait repéré depuis le début, il s’était rapproché pendant qu’elle me suçait, pour mieux nous regarder et maintenant il se rinçait l’œil en la voyant reboutonner son chemisier et son gilet . Ca me plaisait de nous savoir regardé et je pris tout mon temps pour reboutonner les braguettes de mon caleçon et de mon pantalon, sous son œil connaisseur.  

-"Je crois que nous ferions mieux d’aller prendre un peu d’air frais . Elle opina de la tête, se leva en fermant sa veste, reprit ses sacs et se dirigea vers la sortie. Le garçon vint vers moi , il souriait en regardant ma braguette mal reboutonnée..  

-  Qu’est-ce que je vous dois ?   

- Quatre-vingt francs. Je crois que vous allez passer un bon moment !  me répondit-il.  

Il portait une chemise en soie très seyante et un pantalon noir si moulant que je n'avais pas de doute sur son érection et pouvais apprécier la taille de son pénis. J’eus soudain l’envie de mettre la main à sa braguette, de l’ouvrir, de sortir son engin et le sucer, mais Monica m’attendait et ne pouvais courir après plusieurs lièvres à la fois. Je vis qu’il le comprit quand il me rendit la monnaie. Je mis les pièces dans la poche de mon pantalon et me levais pour sortir à mon tour. Je ne pus m’empêcher d’effleurer son sexe avec le dos de ma main en passant devant lui. Comme je m’en doutais , il se laissa faire avec complaisance et me rendis la caresse en me mettant la main au cul . Je lui laissais le temps de me peloter les fesses, ce qu’il fit avec habileté d'ailleurs, mais comme sa main commençait à s'attaquer à mon entrejambe, je me dégageais.  

Il ne fallait pas aller trop loin maintenant ...

 - A bientôt j'espère,   dit-il avec un clin d’œil coquin et sur de sa conquête . 

- Avec plaisir,  je lui répondis en souriant et en passant ma main sur ces petites fesses dures. Et c’ est vrai que j’en avais envie. 

 

 

 

Elle était sur le trottoir à m’attendre. Elle avait vu notre manège : - Alors, tu veux te faire le garçon maintenant ?  

- Non pas maintenant ma chatte, pour l’heure c’ est toi qui m’intéresse, lui, on verra plus tard.  

- Je ne savais pas que tu t’étais mis aux mecs , tu as viré ta cutie ?   

- Non pas du tout, mais de temps en temps ca ne me dérange pas de sucer une belle bite moi aussi et il avait l’air bien monté celui-là.    

- Oh oui j’ai vu, tu veux qu’on l’invite , on se le fera tout les deux ?   

- Non pas ce soir, je ne veux que toi , pour moi tout seul.   

- Et si je refuse ?    

-  Je te viole ma grosse !   

- Pas si grosse que ca, j’ai perdue trois kilos en un mois en faisant de la gym !   

- N’en perds pas trop, C’est bien enveloppée que je te préfère.   

- Tu dis ça, mais vous bandez tous devant ces mannequins filiformes qui s’affichent partout.   

-  Peut être, mais quand on veut tirer un bon coup c’est vers des salopes comme toi, bien en chair, qu’on se retourne.  

 - Ah très bien, je suis une salope !   elle fit mine de me boxer.  

- Mais bien sûr tu le sais, tu aimes ca et moi aussi. 

 

 Tout en lui disant ca, je lui mis la main au cul et lui caressais la raie. Elle se laissa faire et rit en serrant contre moi. Je savais que si elle n’avait pas eu les mains prises par les paquets, elle m’aurait rendu la caresse. Elle me murmura à l’oreille : 

- Viens, on va chez moi, on va se donner tout le plaisir qu’on peut.. 

 Ses lèvres étaient chaudes sur mon oreille et me chatouillaient. Elle se tourna vers moi et mis sa langue dans ma bouche, profondément. Je fus obligé de m’arrêter pour lui rendre son baiser, je passais une main autour de sa taille et de l’autre main recommençais à lui malaxer les seins. Elle était tendue comme un arc, ma bite aussi , sa langue explorait tous les recoins de ma bouche à me faire étouffer et je bandais si fort que j’étais encore à deux doigts de décharger dans mon caleçon. Je repris mon souffle : 

- Dépêchons-nous d’aller chez toi, sinon je te baise dans la rue. 

- Chiche !   

- Arrête tes conneries.   

 D’une main, je lui pris ses paquets , passais mon bras sur ses épaules et l’entraînait sur le trottoir. Je n’avais plus envie d’attendre, les préliminaires étaient trop longs, j’en avais mal aux couilles. La suite n’allait pas me décevoir.

 Nous fûmes rendus chez elle en moins de dix minutes. Durant le trajet, nous ne parlâmes pas, juste nos mains se serraient ou osaient des caresses hâtives et maladroites. Elle monta l’escalier la première et j’en profitais bien sûr pour lui caresser le cul regrettant qu’elle soit en pantalon. C’est toujours un moment très excitant lorsque l’on monte avec une fille pour baiser. Quand je monte avec une pute c’ est souvent le meilleur moment, le moment le plus érotique : tout est en devenir et le rêve est devant soi. Après on est vite déçu, la fille se déshabille machinalement en rangeant bien ses affaires pour ne pas qu’elles s’abîment, elle est habile à t’enfiler la capote, te suce avec application et fait l’amour en s’ennuyant, comme une mécanique : pas vraiment bandant. Ca pue et tu as du mal à jouir, alors tu te forces et il y a peu de joie qui sort de ton orgasme. Un coup de Sopalin pour te nettoyer le bout, tu remontes le falzar, maladroit et suant.  

 

 - Voilà deux cents balles ,  et je me tire.

- Ca t'a plu mon chou ?

- Oui, c'était très bien.  

- Tant mieux, j’aime que le client soit content et qu’il en ait pour son argent.

 Tu quittes la chambre, honteux et sans répondre, il n’y a vraiment rien à dire. Dehors, il fait encore plus triste et l’air te semble sale.

 

 

 

Ce soir-là, heureusement, ce n’était pas le cas, l’air était doux et sentait le lilas.

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes expériences diverses
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

comment se fait-il que dans ton post du 28/01/06 tu donnes un billet de 200 F ???????? les francs c'est du passé et depuis un bon moment.......
commentaire n° :1 posté par : quicouille le: 28/02/2006 à 23h25

Bien sur que c'est du passé les francs, depuis 2002 !

L'action se passe en 95 y avait  encore les francs !

D'ailleurs j'ai remarqué que les putes avait profité de l'euro pour augmenter les prix, on en parle pas assez de ça ! Avant une pipe dans une voiture tu l'avais facile pour 100Frs maintenant c'est pas possible à moins de 30€ ! Elles en profitent, elles ont raison ,on les aimes quand même !

réponse de : Jean-Alain Roy le: 01/03/2006 à 12h44
bsr joli blog bises mimi
commentaire n° :2 posté par : miminono le: 07/03/2006 à 19h10
tes bises me font plaisir et sont réciproques
réponse de : Jean-Alain Roy le: 24/04/2006 à 13h03

mais tu deja eu des soumise?????


a+

commentaire n° :3 posté par : maitre seb le: 19/03/2006 à 21h09
Oui, mais pas des putes, par contre ma première femme était soumise Elle acceptait tout ce que lui proposais .J'ai commencé à en parler mais j'en reparlerais plus tard.
réponse de : Jean-Alain Roy le: 21/03/2006 à 00h26

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés