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  • : J'ai entrepris de raconter l'exhaustivité de ma vie sexuelle, de mes premiers amours homosexuels à mes expériences masos et domination, mes 3 mariages, et mes relations avec les prostituées. J'aie le sexe et suis fétichiste de la soie et de satin. Je veux faire partager mes passions au maximum et dans toutes les variétés de mes désirs. Bonne lecture
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  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes
Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 22:41

 

 

C'était une petite tapette qui était dans le service depuis pas mal de temps. Il était connu pour ses allures efféminées et ses tenues excentriques ou provocantes et sa propension à toujours draguer les hommes. Il était, pour tout le monde, un sujet de plaisanteries salaces. Les filles l'aimaient bien, il était jeune et mignon, toujours prévenant, elles s'en moquaient gentiment car il n’était pas dangereux ! Avec lui, elles pouvaient parler chiffons, régimes et maquillage ou vanter les mérites de tel ou tel acteur de cinéma. Les garçons s'en méfiaient car il était toujours très entreprenant et avait les mains lestes. De nombreuses histoires circulaient comme quoi il aurait fait des propositions scabreuses à tel ou tel, aurait mis la main au cul d’un autre ou défait la braguette d’un troisième dans l’ascenseur  et aurait proposé de le sucer. Je n'avais pratiquement jamais eu à faire à lui jusqu'à ce fameux pot d'un mercredi soir.

 

J'étais plutôt éméché,  j’avais bu trop de champagne. Toute la soirée il m'avait tourné autour, une fois en  me frôlant les fesses de la main, une autre fois en mettant sa main sur mon épaule ou dans le dos. Au  début je n'y avais pas prêté attention  mais au bout d'un moment, me rendant compte que c'était volontaire, je m'étais prêté au jeu car cela m'excitait un peu. Il était, ce soir là, vêtu d’un pantalon de cuir noir, très moulant et d’une  chemise en soie noire également, trop déboutonnée sur sa poitrine bronzée. Moi, comme c’était une soirée assez officielle, où il y avait beaucoup de monde, j’étais en costume croisé gris clair, chemise bleue clair et cravate en soie dans les tons rouges, très strict, ma seule fantaisie était un petit gilet en satin bleu marine à double boutonnage qui me serrait merveilleusement le ventre et les reins. Pendant le reste de la soirée, voyant que je ne m’offusquais pas de ses avances, il multiplia les caresses furtives mais de plus en plus précises, tout en restant discret par rapport aux autres convives.

 

 

Après le pot, je me rendis dans mon bureau, ranger quelques papiers pour le lendemain. Il me suivit sans que je m'en rende compte et comme je me baissais pour mettre des dossiers dans mon cartable, j’ai senti une main me caresser les fesses puis passer dans l’entrejambe et me caresser les couilles et la bite. Je compris de suite que c’était lui. J’eus un brusque mouvement de recul mais j’étais cependant assez excité pour ne pas le repousser complètement. Je sentais ma queue se durcir et le rouge me monter à la figure. Je me redressai et me retournai. Il me regardait en souriant.

 

 « Tu veux bien te laisser faire ? » Me dit-il en se rapprochant de moi.

 

 Comme j’avais trop bu, j’avais chaud. Je posai la veste.

 

« Oh ! Comme tu es mignon avec ton petit gilet en satin ! C’est très excitant, je peux toucher ? »

 

Il mit sa main à plat sur ma poitrine et la fit glisser de bas en haut sur le satin  du gilet, en connaisseur, joua un instant avec les petits boutons de nacre puis passa une main autour de ma taille et de l’autre il me saisit la bite à travers le pantalon.  J’étais comme paralysé.

 

Il se colla contre moi et murmura à mon oreille  « Laisse toi faire, je ne te ferais pas de mal ».

 

Il sentait bon, un parfum de femme que je n’identifiais pas, je me sentais bien près de lui, en confiance, je le serrais dans mes bras. D’une main je lui caressais les fesses, bien dures dans le cuir du pantalon et son dos à travers la soie de sa chemise. A ma grande surprise je me rendis comte qu’il était musclé et malgré ses airs efféminés il devait être  sportif. Pendant ce temps, il déboutonnait habilement la braguette de mon pantalon pour y introduire sa main :

 «Tu portes un caleçon en soie, petit coquin, j’aime beaucoup ça moi aussi » et il commenca doucement à me branler. J’avais la gorge noué et du mal à faire quoique se soit. Il s’en rendit compte et  pris ma main pour la mettre sur son sexe bandé.

 

« Tu peux toucher toi aussi » me glissa –t –il à l’oreille avant de coller sa bouche contre la mienne pour m’embrasser,  mais je détournais. Autant sentir sa bite dans main et la caresser me plaisait, autant  sa langue et ses lèvres  me dégouttaient un peu. Ca ne le découragea pas le moins du monde :

 

« Tu n’aimes pas embrasser ? C’est pas grave, je vais te montrer quelque chose de mieux » en un tour de main il avait sorti la bite du caleçon, s'était accroupi  devant moi et se miettait à  me sucer consciencieusement tout en continuant à me branler et me caresser les couilles.

 

Je sentais sa bite gonfler sous ma main et j’étais très troublé de la caresser ainsi. Il y avait des années, depuis que j’étais adolescent et un peu à l’armée ou bien dans des partouses, que je n’avais pas touché la bite d’un mec et je me rendais compte maintenant combien c'était agréable et qu'en fait j’avais toujours aimé ça. De plus la sensation du cuir chaud, très doux au toucher, comme de la soie, qui gainait ses couilles et ses cuisses, décuplait mon excitation. J’étais un peu surpris et affolé, la situation m’échappait,  j’avais peur que quelqu’un entre à l’improviste et nous surprenne, mais il faisait ça si bien  que je me laissais faire. J’en étais même à deux doigts de jouir.

 

Il s’en rendis compte, s’arrêta de sucer et me dit :

 

«Tu aimes ça non ? Tu veux que j’aille jusqu’au bout ? »

 

Je lui fis signe oui de la tête malgré la situation plus qu’inhabituelle dans la quelle je me trouvais. Il sortit un préservatif de sa poche, me l’enfila habilement, preuve qu’il en avait l’habitude et se mit à me pomper avec entrain. Je dégrafais  mon pantalon qui me tomba sur les chevilles, pour qu’il puisse mieux me caresser les couilles et les fesses. C’est ce qu’il fit de manière si experte que je jouis rapidement.

 

 Il continua à me pomper pendant que je déchargeais mon foutre dans sa bouche, Il serrait fortement la base de ma queue d’une main et il enfonçait profondément le majeur de son autre main dans le trou de mon cul. Ce fut un orgasme très violent. En jouissant, je pressais sa tête fortement contre moi pour faire pénétrer sa pine le plus profondément possible dans sa bouche. J’avais rarement jouis aussi fort pour une pipe.

 

Il n’arrêtait plus de me sucer, aussi je le repoussai gentiment pour qu’il arrête et m’appuyai contre mon bureau pour souffler un peu. J’avais les jambes flagellantes et j’étais vidé, comme dans un état second tellement la secousse avait été forte. D’autre part, je me sentais un peu  ridicule avec mon pantalon baissé sur les chevilles, dans mon bureau, avec ce préservatif pendouillant au bout de ma bite. C’est encore lui qui prit l’initiative.

Avec un mouchoir en papier il enleva le préservatif et le mis dans la poubelle. Je m’assis dans mon fauteuil sans réaction, en regardant mon pantalon baissé, je n’osais pas le regarder.

 

« Ca t’a plu, n’est ce pas ? » me dit-il en se rapprochant de moi.

 

«Tu veux bien me faire pareil».

 

 Il avait baissé la fermeture éclair de son pantalon et sorti son sexe qu’il me mettait dans la figure. Je le trouvais énorme et j’étais surpris lorsqu’il le fit pénétrer dans ma bouche. C’était trop. Je le repoussais lentement: «Non pas maintenant. Va-t-en, s’il te plaît ».

 

Par bonheur, il n’insista pas trop et après un baiser léger sur mes lèvres que je n’osai lui refuser, il remit difficilement sa bite dans son slip, sans arrêter de se caresser. Il tenta vainement de reboutonner  son  pantalon et sortit précipitamment. Par bonheur il ne tomba sur personne dans cette tenue.

 

Je restais un moment comme groggy, puis, je me rhabillais lentement partagé entre l’écœurement et l’excitation il y avait longtemps que je n’avais pas eu une relation sexuelle aussi poussé avec un homme, depuis mon troisième mariage en fait, et tout portait à penser que le plaisir que j’y avais trouvé me ferai t dépasser la gène que j’avais pu  ressentir. La suite des événements prouva que ce sentiment était le bon.

 

 

 

En effet j’eus une nuit très agitée et le matin  je n’eu de cesse de le rencontrer et je lui fixai rendez-vous à midi pour déjeuner.

 

 La matinée passa très vite et à midi pétante je quittais mon bureau pour récupérer ma voiture dans le sous-sol. Comme convenu, il m’y attendait. En montant il me demanda :  «  Où va-t-on ? » 

Comme je n’en savais rien je lui répondit : 

 

« C’est une surprise ».

 

En fait de surprise j’avais surtout envie de lui bouffer la queue mais n’osai pas lui en parler. A peine assis, il posa sa main sur ma cuisse qu’il se mit à caresser doucement et comme il vit que je bandais, il me sourit et accentua ses caresses.

 

Entre deux changements de vitesse, je fis de même avec ma main droite. Il portait un jean très moulant évidemment, en coton un peu satiné, très doux au toucher, ce qui m’excitait d'autant que sa pine était déjà bien bandée. Je la frottais énergiquement comme si j’avais voulu le faire jouir immédiatement. Ca repartait très fort. Il commençait déjà à me déboutonner la braguette. Je l’arrêtai  en le repoussant affectueusement :

 

 «Ne va pas si vite, je t’ai dis que j’avais une surprise ».

 

Il eut un petit rire entendu : « O.K., j’attends ».

 

A peine sortis de la ville, je pris un petit chemin de terre et m’arrêtais sous un arbre à l’abri des regards et du soleil.  Je me tournai vers lui et lui offrit un long baiser. Ses lèvres étaient douces et j’enfoncai ma langue le plus profondément possible, comme si je voulai l’étouffer. Il me rendit le baiser avec fougue et science, sa langue dure et rapide fouillant toute ma bouche J’en avais le souffle coupé. Je me dégageai et lui dis :

 

 « Allonge un peu ton siège, c’est à moi de te sucer aujourd’hui».

 

 J’eus un peu de mal à dégrafer sa ceinture, il dut me donner un coup de main, mais je ne voulais pas qu’il m’aide pour le pantalon. Je déboutonnai doucement sa braguette, en prenant mon temps, chaque bouton était une fête et quand je les ai eu tous défaits, je fis descendre entièrement son pantalon. Il ne portait dessous qu’un string ficelle blanc qui ressortait bien sur son bronzage mais qui avait du mal à contenir sa bite bandée. Je lui caressais le bout à travers le fin tissu satiné avant de la libérer. Elle n’était pas très longue mais trapue, un peu comme la mienne, avec un joli gland, Elle était bien bronzée et jaillissait avec grâce des  poils blonds de son pubis. Nous ne parlions plus. J’étais un peu anxieux et maladroit. J’avais peur et je n’osai pas, mais aujourd’hui, elle ne me dégoûtait pas comme hier soirr, javais retriuvé mes sensations homo. Lui ne faisait aucun mouvement, il m’attendait, mais voyant que j’hésitais et plutôt que de me forcer la main, il m’ouvrit la braguette, me pris la bite à pleine main et la serra très fort. La force de la caresse me fis me plier un peu plus, du coup mes lèvres vinrent toucher le bout de son gland. Je le léchais un peu avec ma langue et puis n’y tenant plus je me décidais et l’enfournait entièrement dans la bouche et me mis à la sucer. 

 

Il me repoussa : « Attends deux secondes, il faut mettre une capote ! »

 

J’avais complètement oublié ! C’est lui qui s’en chargeât, heureusement car je crois que j’en aurais bien été incapable.

 

« Vas – y maintenant »  Et je me remis à pomper avec application.

 

 Le goût de la capote me gênait un peu mais c'était superficiel à côté du plaisri éprouvé. Cela dura cinq bonnes minutes frénitiques ou je ne relachais pas mes efforts.  Il gémissait doucement, a priori satisfait de mon travial... et je sentis le plaisr monter en lui, tout son corps se tendait, je sentzis sonsperme  qui commençait à s’égoutter. J’en vais plein la bouche de cette bite, c’était délicieux. Je l'aspirai aussi fort que possible pour lui faire monter le jus, de ma main droite je le branlais violemment et de la gauche je lui caressais les couilles et lui taquinais le trou du cul comme il me l’avait si bien fait. Il gigotait et poussait de petits cris : mes caresses avaient l’air de lui plaire. De sa main droite, glissée dans la braguette de mon pantalon que je n’avais pas enlevé, il me branlait la bite à travers la soie du caleçon, et avec sa main gauche, il m’appuyait la tête fortement contre lui pour faire rentrer sa pine le plus profondément possible dans ma bouche comme j’avais moi-même fait la veille au soir.

 

J’étouffais mais continuai mes caresses avec frénésie. Il poussait des cris de plus en plus fort et se mit à me donner des coups de reins comme s’il faisait l’amour, comme s’il voulait me défoncer la tête. Je ne pouvais plus me retenir. S’il continuait, il allait me faire mal, aussi je me mis à lui serrer fortement la bite et les couilles, ça le fit décharger et l’impact de son sperme à travers la capote dans le fond de ma gorge me fis décharger aussi. Il éjacula longtemps et je le sucais pendant tout ce temps. Puis il finit par relâcher son étreinte et je pus enfin relever la tête pour respirer.

 

 Je me remis sur mon siège et m’allongeai à moitié, pour reprendre mes esprits. J’étais dans un piteux état : trempe de sueur, de la salive plein la barbe, du sperme plein le caleçon et le pantalon. Dans la bagarre, trois boutons de mon gilet s’étaient dégrafés et il baillait lamentablement. Lui, il était complètement allongé sur le siège ; les yeux fermés, dans un ravissement total. Nous sommes restés un moment allongé côte à côte sans rien nous dire. C’est lui qui a bougé le premier. Il se nettoya rapidement avec un Sopalin trouve dans la boite à gants et tenta de remonter son pantalon. Comme il n’y arrivait pas, il se tourna vers moi et voyant mon état me dit  avec sa petite voix de tapette :

 

 « Mon dieu, dans quel état tu t’es mis  mon chou ! Mais c'était bien tu sais, surtout pour un soit disant débutant. »

 

Et il m’embrassa tendrement. I" Tu ne me feras pas croire que tu n'avaais jamais fait ac ?l  Je ne nias pas , c'est vrai que ve n'était ppas la première fois. Cela me rappelelait plein de souvenir set je m'étonnais de ne plu  m'être preté à ce jeu depuis tant d'années. Il essaya vainement de me nettoyer mais c’était impossible. Je dus sortir de la voiture pour me rhabiller, ce que je fis rapidement de peur d’être aperçu par quelque passant. Malgré tous mes efforts, je n’étais pas très présentable, car si j’avais pu reboutonner correctement mon gilet, j’avais une énorme tache de sperme autour de ma braguette qui me rendait complètement ridicule.

 

« On dirait que tu t’es pissé dessus ma choute ! » me dit-il en riant lorsqu’il sortit à son tour de la voiture. Je ris. Nous prîmes la décision d’aller chez lui pour prendre une douche et il me promit de me prêter un pantalon. Nous repartîmes sur un petit nuage.

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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