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  • : J'ai entrepris de raconter l'exhaustivité de ma vie sexuelle, de mes premiers amours homosexuels à mes expériences masos et domination, mes 3 mariages, et mes relations avec les prostituées. J'aie le sexe et suis fétichiste de la soie et de satin. Je veux faire partager mes passions au maximum et dans toutes les variétés de mes désirs. Bonne lecture
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  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes
Lundi 16 octobre 1 16 /10 /Oct 17:03

Cette fois c’est elle qui avait décidé du jour de l’heure et de  mon habillement.

 

 

 

Je devais y être à 14h avec un pantalon et un gilet de cuir. 

Evidemment je n’avais pas ça chez moi, on est plutôt BCBG dans la famille. Moi je suis toujours en costard trois pièces et ma femme en tailleur et chemisier de soie. Les quelques fantaisies que je me permettais à l’époque c’était de jolis gilets en soie que je mettais pour travailler, quelques chemises aussi, je gardais les chemises en satin pour aller voir les putes ou pour sortir en boite avec ma femme ou une amie. Et puis je piquais les dessous à ma femmes  qui me laissait faire, mais je m’en achetais spécialement aussi pour moi. Comme nous faisions chambre à part nous avions chacun notre penderie et ne mélangions pas nos affaires. 

 

Je suis donc allé m’acheter un pantalon en cuir. C’était très excitant, j’avais l’impression de m’encanailler.  j’avais mis un string minuscule pour les essayages. Et des essayages il y a en eu ! J’aurais essayé tout le magasin si j’avais pu ! Chaque pantalon que j’enfile me fait bander un peu plus et cela se voit de plus en plus. Cela amuse la vendeuse qui a repéré le manège, mais peu lui importe puisqu’elle veut faire la vente. Elle a compris ce que je cherche : un pantalon qui me moule bien même s’il n’est pas très confortable. Elle a compris que ce n’est pas pour faire de la moto mais uniquement pour des jeux sexuels. Elle me trouve exactement ce qu’il me faut un modèle en veau très fin, marron foncé qui monte très haut à la taille, avec un triple boutonnage à la taille et une braguette zippée. En fait c’est un modèle pour femme mais il me va très bien. Ma bite et mes couilles sont bien mises en valeur, c’est très indécent. Le bas du pantalon est serré, elle me marque l’ourlet, il sera prêt pour le mardi soir, c’est parfait pour mon rendez vous. Pour le gilet on va plus vite on en trouve un , avec 7 petits boutons nacrés,  dans les mêmes tons avec un dos satiné, il est un peu trop court pour être bien serré, mais ce n’est pas grave car le pantalon monte haut. La vendeuse me prend pour un tordu total mais je m’en branle (au propre comme au figuré). 


  Le mercredi je suis prêt. Je me change dans la voiture, ce n’est pas commode mais j’ai l’habitude. Je ne mets pas de slip comme elle me l’a demandé ce qui n’est pas très facile avec ce pantalon très moulant , en fermant la fermeture éclair de la braguette, j'ai peur de me faire mal... Ca serait bête à cet instant ! Je complète le déguisement avec un chemise en satin noir aux manches bouffantes et comme chaussure une paire de bottes en cuir que j’ai retrouvée . J'enfile enfin, par dessus tout ça, le petit gilet en cuir qui m'emprisonne délicieusement. Le seul fait de le mettre commence à me faire bander

Sans culotte j’ai du mal a positionner mon sexe dans le pantalon je fini par le mettre sur le coté comme les toreros, ce qui le fait durcir encore plus.


Je sonne à la porte dans cet accoutrement, à 14H précises. Elle prend mon nom à l’interphone et met un moment à venir m’ouvrir. C’est pas dans son habitude, je plante devants la porte d’entrée dans la rue avec des gens qui me regardent un peu intrigué. Je comprends qu’elle le fait exprès, comme une épreuve supplémentaire. Tant pis je tiendrais le coup et a vrai dire ça m'excite un peu plus! 

Elle finit par venir m’ouvrir, elle porte une mini combinaison en latex rouge , très courte, zippée sur le devant, les seins comprimés et pratiquement à l’air et des bottes noires à hauts talons 

 

« Tu as 2 minutes de retard ce n’est pas bien, excuses toi » . C’est la première chose qu’elle me dit en fermant la porte  

« Je m’excuse maîtresse »  

« C’est pas suffisant, mets toi à genoux et embrasse moi le petit minou » 

Je me mets à genoux devant elle, elle remonte la fermeture éclair de sa robe juste assez pour dévoiler son sexe, mais la robe est si courte que cela ne serait pas necessaire. Elles est parfaitement rasée et sent très bon. J’embrasse doucement ses lèvres et son clitoris puis je le lèche, à petits coups de langue . Elle me presse le visage dessus en m'appuyant sur la nuque 

 

« Promet moi de ne plus jamais être en retard quand je te donne un rendez vous »  et elle me tire violemment les cheveux, j'en ai les larmes aux yeux

« C’est promis »  j'arrive à marmonner en me remettantr à la sucer.

 « C’est promis qui ? » elle me dit en me tiant de nouveau par les cheveux et en me mettant une gifle de son autre main

« C’est promis maîtresse » et vlan une autre gifle

« C’est bien ,relève toi et montre moi un peu ce beau pantalon. Tu l’as bien choisi, il te serre bien, mon salaud !» Elle me caresse les fesses et la bite à travers le cuir. Je bande encore plus. 

« Tu m’as l’air en forme aujourd’hui, c’est le cuir, c’est normal je savais que tu aimerais ça, c’est pour ça que je te l’ai fais acheter. Tu es maso, tu aimes être contraint, par les habits par les femmes, avec moi tu vas te régaler ! C’est pas ta femme qui te donnerais de tels conseils, hein ? Qu’est ce qu’on dit à Martine ? »

  « Merci maîtresse Martine ».  Bang une autre gifle.  

« J’ai dit qu’on m‘appelai maîtresse, pas maîtresse Martine «  

« Bien maîtresse »  

« Assied toi sur le lit  et lèche moi encore, petit salaud «   

Je m’assied et elle se met devant moi en me tournant le dos pour me présenter ses fesses que je me mets immédiatement à sucer et a embrasser.  

  "Pas que les fesses!  le trou du cul aussi »

Elle se penche en avant, écarte les jambes et recule vers moi pour bien me présenter son petit trou rosé. Je suis un peu étonné je n’ai pas trop l’habitude de faire une telle chose mais je n’ai pas le choix. Ca ne sens pas mauvais, elle est très propre et a du se parfumer avant. J’y vais de bon cœur et y prend vite plaisir. Elle a des fesses dodues et fermes avec une raie bien marquée. Je fourre mon nez, ma langue, elle a l’air de beaucoup s’amuser !  

Pourtant elle me dit:« Allez, fini de s’amuser on passe aux choses sérieuses »

Elle se relève, ouvre entièrement sa robe pour libérer ses seins et elle me les passe sur la figure, en se caressant le bout sur le cuir de mon gilet. Je comprend qu’elle est fétichiste du cuir comme moi je le suis de la soie et du satin.

« Mets toi debout et penche toi en avant que je puisse fesser ce  joli cul en cuir »

Elle sort une verge et commence à frapper. Les coups sont amortis par le cuir mais la douleur est quand même forte. J’accuse le coup, elle le voit, mais continue et frappe de plus belle. 

« Mais dis donc tu vas pas pleurer  pour une fessée petit salaud, dis plutôt merci ! ».

« Merci maîtresse »

Ca a du mal à sortir mais quand ça sort quand même. C’est jouissif. Elle continue un peu plus fort encore, un peu plus vite. Je ne sens plus mes fesses. C’est ça le masochisme : prendre plaisir alors qu’on a mal et qu’on voudrait arrêter et dire encore .

« Encore maîtresse, s’il te plait »

« Tu n’as pas droit de demander c’est moi qui décide ici, retourne toi »  

Elle a sorti le martinet maintenant et me flagelle les cuisses et les flancs et le sexe en érection. Ca fait très mal, c’est cuisant. Je me protège en tombant à genoux, ça l’énerve, elle se met à me flageller violemment le dos, je finis par m’étaler sur le ventre, elle me donne des coups de talons sur les fesses et dans les reins, elle semble prise d’une cris d’hystérie je prends peur et me recroqueville  

D’un coup elle s’arrête, elle s’accroupie à coté de moi, me prend dans ses bras  et me retourne.

  « Voilà c’est fini ma petite lopette, ça fait mal mais tu aimes ça quand meme . Tu verras, bientôt tu ne pourras plus t'en passer et tu en redemanderas.  Tiens, pour l'nstant, tête ces belles mamelles » et je me mets avidemment à lui sucer les seins. Elle s’allonge à l’envers de moi et défait mon pantalon. Elle a du mal tant il est serré. Elle prend son temps avec les boutons,  elle en profite pour me caresser, manifestement ça lui plait le cuir ! et c’est tant mieux pour moi, j’ai un peu de repis. Quand elle y arrive enfin mon sexe jaillit comme un guignol de sa boite.

  « Olé ! en voilà un bien en forme », elle l’encapuchonne d’une capote qu’elle sort de je ne sais où et commence a me sucer. En même temps elle a bien pris position sur moi pour mettre son sexe sur ma figure et comme la semaine dernière je me mets à la sucer comme un goulu. Elle y prend assez de plaisir pour me laisser faire alors qu’elle arrête de me sucer. Elle est rrès mouillée et elle m'inonde le visage. 

« Allez à quatre pattes maintenant ! On va prendre dans le cul ! Baisse ton pantalon que je prenne un godmichet !" . elle me donne des tapes sur la queue puis sur les fesses

 Elle se relève pendant que je me mets à quatre pattes et sort d'un tiroir de sa commode un gode ceinture en latex bleu foncé. Il me semble énorme mais je ne dis rien. Elle le fixe rapidement autour de sa taille et vient fièrement de planter devant moi en me tendant une capote.

« Allez enfile la capote et suce le gode avant que je t’enfile moi »

J’obéis fébrilement, le contact du gode sur mes doigts m’excite, j'en tremble mais j’y arrive quand même rapidement. Elle le relève « Bravo, mon petit enculé, on voit que tu as l’habitude d'encapuhoner des bites, allez lèche maintenant ! ». Elle enfonce le gode dans ma bouche, avec douceur, et je me mets à le pomper comme si c’était une vraie .

-"Tu aimes ca, petit salaud !"

C’est vrai j’aime ça, je lui caresse les fesses en même temps  , elles sont douces et fermes je me remets à bander. Elle s'ennuie rapidement… 

- " Allez, on passe aux choses sérieuses  maintenant."

Elle m’enlève brutalement le gode de la bouche et me dit :

- "Mets-toi à quatre pattes sur le lit pour être à la hauteur et cambre toi bien que je puisse t'enfiler facilement"

Je m’exécute immédiatement. J’ai encore le pantalon en cuir aux chevilles qui me gêne mais je n’aie pas le temps de l’enlever. Elle m’enduit le trou du cul de lubrifiant et d’un coup, à la hussarde, m’encule avec cet énorme gode.  Je ne peux retenir un cri de douleur mais en même temps une onde de plaisir part de mes couilles jusqu’au bas des reins. Elle est couchée sur moi, elle me ramone violemment, comme si c’était un mec, tout en en me branlant la bite et me serrant les couilles. Cela ne dure que quelques minutes mais j’ai l’impression que cela dures des heures. Je jouis longuement, en gémissant, entre douleur et plaisir intense. J’en pleure.

Elle s’arrête aux derniers soubresauts de mon orgasme et sort d’un coup le gode. Je m’affale sur le lit, le satin des draps est frais. Je m’abandonne. Elle ne dit rien pendant un moment, je ne bouge pas, j’ai mal au cul mais suis parfaitement rassasié.

Je l’entends qui va et vient, ranger son matériel. Elle revient avec un linge humide pour m’essuyer le cul.

- " Tu saignes un peu, c’est normal tu n’a pas l’habitude d’aussi gros engins, les petites tapettes ou les travelos avec qui tu vas ne sont pas aussi bien montés ! Mais tu verras tu t’y feras !"

Je me retourne sur le dos, les jambes biens écartées pour qu’elle puisse bien m’essuyer. Je suis épuisé, endolori de partout sans aucune initiative. Elle s’en aperçoit. Elle a revêtue un petit déshabillé en satin vert amande, elle est toute douce. Elle me fais m’asseoir sur le bord du lit et se tient droite devant moi, le sexe à hauteur de ma tête.

-" Tu as pris beaucoup de plaisir, alors lèches moi maintenant, il faut que tu me fasses jouir avec ta langue."

Ce que je fais sans rechigner, longuement, en m'appliquant pour la faire jouir, ce qui ne tarde pas. E lle presse sons sexe contre ma figure, j'enfonce ma langue dans son étui humide.. Elle est à nouveau très mouillée et brulante, elle ruisselle dans ma bouche et sur ma figure. Elle sent bon, c'est délicieux. Elle a un long orgasme pendant lequel je n'arrete pas de la lecher. Elle fini par me repouss et s'éloigner de moi

-"Allez , ca suffit, va te laver"

Je vais dans la salle de bain faire un brin de tilette et me rhabiller. A mon retour dans la chambre, elle est redevenue la maitresse. Elle a remis sa robe en cuir et ses bottes. Elle a le regard dur. Elle s'approche de  moi et me gifle violemment à plusieurs reprises.

-"je ne t'ai pas entendueme dire merci!"

-"Merci maitresse" ?"

- "merci de quoi?" et je prends deux autres aller  retour, j'ai les joues en feu et la bite qui durci.

-"Merci maitresse de m'avoir laissé te lècher et te faire jouir"

-"c'est bien, tu vas devir un bon soumis. Reviens jeudi prochain à la même heure, avec tes habits de tapette mais je veux que tu portes aussi des sous-vêtements de ta femme.. Un soutien gorge, une culotte et un porte jarretelles avec des bas noits. je te donnerai une vraie bite à sucer pendant que je t'enculre. maintenant dépêche toi de partir , j'ai un autre client que je veux pas que tu ren contres encore.

Je suis parti sans voir personne, complètementretournée par cette seance. autant dire que je ne suis pas retourné travailler dans cet état.Je suis allé faire un tour en voiture puis suis rentré tranquillmeent chez moi

 C’e était la première fois que je faisais jouir une pute. Mais à partir de ce jour là, ce n’était plus une pute, c’était devenue ma maitresse à laquelle, pendant des mois, j’allais être  totalement dévoué.

  Mais ceci est une autre histoire qui ne fait que commencer...

 

( A suivre )

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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