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  • jeanlain
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  • sodomie soumission pute domination fellation
  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes
Samedi 29 août 6 29 /08 /Août 20:23

Petite introduction : Avant toute chose, il convient de savoir de quoi l'on parle exactement

Définition : La prostate est une large glande de l'appareil génital de l'homme. Sa fonction principale est de sécréter et de stocker le liquide séminal, le constituant principal du sperme.

Pour ceux qui hésiteraient à partir en quête de leur prostate, je vais vous faire part de quelques commentaires ou plutôt de plusieurs témoignages glanés au fil de mes rencontres...

Depuis que j'ai trouvé ma prostate je ne m'en passe plus ! lol... elle se trouve sur (enfin en avant de) la face avant du rectum, à environ la longueur de l'index, on palpe, à travers la paroi muqueuse du rectum, une forme de chataigne à pointe vers le bas. Et si on se caresses et que on "y est" on ressens une sensation différente, originale, profonde (comme au milieu de son bassin) de stimulation qui, avec un peu de chance, mène à l'orgasme !


Pour trouver ma prostate je n'ai eu qu'à insérer mon doigt bien humidifié dans mon anus et à presser lentement contre la paroi jusqu'à trouver la boule tendre qui me faisait bander davantage. Il faut quand même s'assurer que ses ongles sont coupés courts pour ne pas égratigner son rectum.

Bien. Désormais vous devez être pressés de découvrir votre prostate. Alors suivez mes conseils...
Avant de commencer dressons un petit bilan et résumons rapidement ce que l'on peut dire à propos de la recherche et de la stimulation de la prostate.


La prostate ou gland prostatique est souvent désigné sous le nom de point-G masculin en référence au point-G chez la femme. La prostate produit du liquide à la base de la fabrication du sperme... ce qui est essentiel n'est-ce pas ? Enfin, je tiens à faire remarquer qu'en raison de certains traitements, des hommes ont pu faire grossir leur prostate ce qui cause des douleurs ou un inconfort certain. Seulement pour nous, elle représente un organe sexuel des plus prometteur et merveilleux. Un organe sexuel inattendu qui procure un profond plaisir sexuel.

Petite remarque : Si vous comptez chercher votre prostate tout de suite, en même temps que vous lisez ce cours, je vous recommande de disposer d'environ 45 à 60 minutes de libres. Vous pouvez évidemment imprimer le cours et le lire plus tard... tranquillement.

 


1) Nettoyage et relaxation

Beaucoup de mecs peuvent avoir des problèmes avec l'hygiène quand il est question d'explorer leur anus. Ainsi prendre un bon bain chaud ou une douche peut permettre de faire disparaître tout stress ou anxiété vis à vis de l'hygiène. Bien sûr il est préférable de bien se nettoyer l'anus avec du savon ou du produit à douche et de rincer comme il se doit. Vous ne devez pas avoir peur de bien nettoyer l'intérieur avec votre doigt maintenant que vous avez commencez à vous doigter. D'ailleurs la salle de bain est un endroit particulièrement propice à une première exploration. Je ne rentre pas dans les détails liés aux éventuels problèmes de selles... il est évident qu'il est préférable que votre rectum soit le plus "libre" possible.


2) Coupez vos ongles et arrondissez les bords

La paroi de l'anus est très sensible et peut être déchirée facilement. Si vous jouez avec les jouets, assurez-vous qu'il n'y a aucun bord pointu (les perles quelquefois anales ont des bords rugueux qui peuvent être amoindris avec une lime à ongles). Si vous avez des doutes ou n'êtes pas sûr de vous, utilisez des gants. Ils vous éviteront d'écorcher votre anus et constitueront une barrière "sanitaire" entre vos liquides physiques et vous si d'aventure vous êtes plutôt regardant sur l'hygiène.


3) Chauffez-vous !

Puisque la prostate se gonfle avec l'excitation il est plus facile de partir à sa recherche quand vous êtes excités. Utilisez Internet, des vidéos ou des images, masturbez-vous... faîtes en sorte d'être bien chaud



4) Trouvez une position confortable

Puisque vous explorez vous même votre anus à la recherche de votre prostate, je vous conseille d'adopter une position particulièrement confortable afin de ressentir le plus de choses possibles. Deux possibilités s'offrent à vous. Ou bien vous choisissez de vous positionner sur le côté, sur votre flanc ou bien vous optez pour la méthode accroupie. Certains préfèrent se mettre à quatre pattes et farfouiller plus profondément.



5) Massez votre anus et votre périnée

Pour stimuler votre plaisir vous pouvez choisir de masser votre anus et votre périnée. Par un massage externe de cette partie érogène située entre vos testicules et au dessus de l'anus. Beaucoup d'hommes trouvent que se masser le périnée a des vertus relaxantes et excitantes. Je vous recommande de masser votre périnée de façon circulaire en augmentant le rythme régulièrement. Vous pouvez doucement appuyez votre doigt sur l'entrée de votre anus comme si vous sonniez à une porte (c'est un peu spécial mais c'est pourtant la meilleure comparaison). Ne forcez pas votre doigt à rentrer à l'intérieur. Ne cherchez qu'à détendre au maximum votre sphincter anal.



6) Et bien entrez maintenant...

Quand vous êtes prêt à insérer votre doigt, ajuster votre respiration et soufflez un bon coup. Respirez alors profondément. Notez que la meilleure façon d'insérer un doigt dans votre anus est de commencer par le bloc (et non par le bout). Entrez doucement votre doigt dans votre anus par "le bloc" et quand vous souhaitez l'insérez plus profondément, expirez lentement et de façon continue. Une fois à l'intérieur; comme lors de votre première pénétration, ne commencez pas les mouvements. Gardez votre doigt dans votre anus, au chaud, quelques instants pour vous habituez à la présence d'un doigt dans votre cul.



7) Trouver sa prostate...

Vous devriez pouvoir ressentir votre prostate à environ deux pouces de l'entrée de votre anus en cherchant vers votre dos. C'est souvent une boule qui au toucher pourrait rappeler une noix. Certains le sentiront tout de suite... d'autres au contraire devront chercher plus profondément et en le touchant ne ressentiront qu'une vague sensation. Il est souvent plus facile de le faire trouver à quelqu'un.


Quelques conseils pour améliorer votre expérience :


Si vous massez votre prostate calmement et tendrement vous pourrez peut-être éjaculer de façon exceptionnelle. Souvent, on recommande un massage d'environ 15 à 20 minutes.


L'orgasme prostatique est bien différent de l'orgasme habituel. L'éjaculation est plus abondante et le sperme sort en continu et ne gicle pas par à-coups. L'orgasme provient de l'intérieur du corps et principalement de derrière le bas ventre. Une sorte d'explosion de plaisir interne ! Bref, tout vient de l'anus et non de la verge.


On peut éjaculer deux ou trois fois de suite avec cette technique.


La position à quatre pattes les fesses relevées et les coudes au sol est très pratique.


Certains appuient sur leur prostate à l'aide d'instruments ou de godes.


Lorsqu'on accompagne sa pénétration par des va et viens on améliore sa jouissance.


En appuyant assez fort sur la prostate on peut ressentir des picotements dans le sexe, le long de la verge.


Bien chaud, il est intéressant de décalotter son pénis brusquement en tirant sur le frein très fort afin d'améliorer la sensation d'excitation.


En exerçant une légère poussée dans son ventre, on peut faire sortir le sperme si tant est qu'on soit bien excité et décalotté.

Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 22:53

Le texte suivant n’est pas une de mes aventures comme les autres textes, mais c’est un texte écrit avec une de mes connaissances qui raconte une après midi de sexe intense et de dépravation.

 

A cette époque là je vivais sur Marseille, seul dans une situation difficile m’étant fait mettre à la porte de mon boulot et de chez moi après une liaison scandaleuse avec mon patron. J’étais au plus bas, assurant le minimum dans le boulot que j’avais trouvé, me réfugiant dans le sexe et l’alcool. J’ai même un temps touché à la prostitution.  J’avais des relations presque exclusivement avec des hommes, fréquentant des lieux de perdition,  bars ou  sex-shop (dont il est fait mention dans ce récit) où l’on pouvait facilement conclure des relation sexuelles avec des hommes, gratuitement, en payant ou en se prostituant.

Je m’étais fait quelques amitiés dans ce milieu, relations d’alcool et de sexe.

Certains soirs j’allais sucer des gars dans ces lieux un peu sordides (plutôt des vieux) et d’autres soirs je ramenai des gars chez moi moyennant finances (plutôt des jeunes).

 

Le récit qui suit est le récit  d’une après midi d’un de ces gars que je croisais dans ses lieux perdus et minables, prêts à tout pour tirer un coup ou sucer une bite. Le récit qu’il me fit de sa journée était tellement extraordinaire que nous avions décidé à l’époque d’en faire le récit par écrit. Voilà le texte tel que je l’ai retrouvé. Je pense qu’il est un peu exagéré et que dans une après midi il m’étonnerai fort que mon homme ait pu réaliser toutes prouesses, mais je pense que l’on est quand même assez près de la réalité dans laquelle nous vivions à l’époque et qu’il a simplement condensé en un jour ce qui a pu se dérouler en plusieurs soirée.

Le résultat est là. Je me souviens de lui comme d’un amant extraordinaire et insatiable qui m’a apporté beaucoup de satisfactions.  Ce récit, un peu excessif est en tout cas très bandant, je ne peux le relire sans être émoustillé et sentir l’envie farouche de me trouver une belle bite à sucer et à me mettre dans le cul.

Je ne sais ce qu’il est devenu depuis, et ne cherche pas à le savoir .

 

A partir de ce passage c’est lui qui parle et je lui ai prêté ma plume.

 

Ce samedi après midi, le désir devenait trop puissant, j’étais trop excité  et n’arrêtais pas de me caresser la bite dans ma tenue en satin. J’avais aussi un peu abusé de la coke.

Cela faisait quelques semaines que je n'avais plus fait de rencontre, certainement dû à une baisse de libido homo. Un mois auparavant, j’étais allais dans le sex-shop où j’avais l’habitude de me rendre pour rencontrer des hommes et avoir  avec eux des relations furtives mais je n’y avais rencontré personne, une semaine plus tard, j'avais essayé un petit bois en bordure de la ville, mais il avait perdu sa popularité auprès des hommes et j’étais rentré bredouille. Durant la semaine précédente, j’étais retourné au sex-shop et, mis à part une fellation non finie avec un jeune indécis, rien de super excitant, je commençais à me demander s'il n'y avait pas un nouveau lieu de rencontre qui détournait les hommes de ceux que je pratiquais…


Ce samedi, donc, je décide un troisième essai au sex-shop, sachant que j'avais l'après-midi de libre.  J’ai mis une chemise et un pantalon en satin, bien moulants, pour qu’il n’y ait pas de doutes sur mes intentions. J'entre et je choisi un film anal hétéro pour une projection en cabine, je prends une poignée de préservatifs et deux doses de gel dans des distributeurs gratuits et vais dans le couloir où se trouvent les cabines.

Surprise! L’endroit, cette fois, à l'air très fréquenté, trois jeunes sont près de l'entrée et discutent, ils me regardent en coin. Je me glisse dans ma cabine, et la laisse la porte entre baillée, comme d'habitude, pour bien signaler ma présence et ma disponibilité.

 

Ce soir ça ne tarde pas, un homme, que je ne connais pas entre sans un mot et se tient à hauteur de mon visage. Je suis en train de me masturber en regardant le film. Il se dégrafe et fait de même, son sexe à hauteur de mon visage. Je saisis sa queue pour le sucer. Pas de chance, il n'est pas très membré… mais je ne vais pas faire la fine bouche après la période de “vache maigre” que je viens de passer. Je le suce goulûment.


Il me dit que je suce bien et qu'il aimerait me voire sucer un autre homme et me faire enculer. Il me propose de descendre dans la salle homo pour essayer d'attirer un troisième larron. C’est un bon plan. Je le suis et nous nous plaçons dans le fond d’un couloir sombre mais suffisemment clair pour être à la vue des hommes qui cherchent. Il baisse son pantalon, j’ouvre le mien pour libérer ma queue et me baisse à nouveau pour l'engloutir dans ma bouche.


Plusieurs personnes s'arrêtent pour nous regarder, enfin après un bon quart d'heure, un homme nous rejoint, et me déballe sa queue déjà bandée, j'ai une pensée de plaisir, sa bite est superbe, plus que la mienne et surtout plus épaisse. Je me mets aussitôt à le sucer en me régalant de ses dimensions, tout en continuant de caresser les couilles du premier. L’autre lui dit :

-       Tu as vu, comme il suce bien

-       Putain, c'est bon, il a une bonne bouche !

Malheureusement, au bout d'à peine quelques minutes, il annonce :

-       Ouah, je vais jouir!

Et l'autre de lui dire

-       Non, pas dans sa bouche!

L’homme retire sa queue et se vide sur le sol en répétant que c'était bon. Je continue de la caresser pendant qu’il éjacule pour qu’il se vide bien, puis l’aide à remballer toutes ses affaires dans son slip. Il a l’air satisfait.


Il nous quitte et nous continuons notre manège, lui debout et moi la bouche plantée sur son sexe, mais pas de nouveau prétendant malgré un passage massif et beaucoup de jeunes voyeurs qui pouffent en nous regardant mais n’osent venir nous rejoindre.


Cela fait au moins trois quart d'heure que nous sommes tous les deux en spectacle, pantalons baissés, que je le suce et qu’il me caresse et j'avoue que je ne m'amuse plus. Lassé, je me relève en me rhabillant et lui dit :

-       C'est trop long, j'en ai marre !


Je retourne dans la salle hétéro et m'assois sur une chaise en plein sur une ouverture qui permets de regarder le film tout en jetant un oeil sur l'arrière salle. Un homme monte et me remarque. Il sait que si je suis à cet endroit, c'est que je suis disponible. Il s'approche et fait mine de regarder le film. Il est debout près de moi. Pour le détendre, je me frotte le sexe à travers le pantalon. En me voyant faire et en voyant la grosse bosse de satin que fait ma bite sous le pantalon, il comprend qu’il peut y aller. Il ouvre sa braguette et dégage sa queue et la rapproche de ma bouche. Je le prends entre mes lèvres et la lèche avec soin, je me lève et l'attire au fond de l'arrière salle. Il se poste contre le mur et me fais me baisser pour que je puisse continuer la pipe. Il est mieux membré que le premier, mais moins que le second, par contre il est plus endurant, bien qu’il ait dépassé la cinquantaine. Je me régale de sa queue, en lui suçant les testicules de temps à autre, il aime ma bouche et me le fait savoir, puis il ne tient plus et il décharge son jus en me maintenant la tête pour que sa bite reste bien enfoncée.

 

Il s'éloigne quelques minutes plus tard. Cette fois, je n’ai même pas baissé mon pantalon ! L’après midi s’annonce bien. Je reviens dans la salle et je reprends ma masturbation en appréciant la scène sur l'écran où une jolie brune se fait sodomiser par un homme bien membré tout en suçant un jeune noir au sexe très long.

 

Des bruits de pas dans l'escalier m'annoncent l'arrivée d'un autre homme. Aujourd’hui c’est vraiment la fête. Il entre, me dévisage, je dois lui plaire, puisqu'il s'approche de moi et me regarde me caresser. Il contemple les images deux secondes et rapidement ouvre sa braguette pour libérer son sexe. Je me tourne vers lui pour mieux le voir et m'aperçois qu'il a une bite comme je les aime, 19 x 5, il doit avoir une cinquantaine d'années lui aussi, il a l’air propre et musclé.

Je lui prodigue quelques va et viens avec ma bouche, en apéritif, puis je l’entraîne lui aussi dans le fond de l'arrière salle où je le reprends à nouveau dans ma bouche pour m’occuper sérieusement de lui. Je lui lèche le gland puis l'engloutis complètement dans ma gorge, je me donne à fond pour lui faire comprendre que j'aime le sucer.

Il me dit :

-       Oh, tu suces bien

Je m'applique de plus belle, bonne élève j’aime les compliments, il me dit alors :

-       Tu ne veux pas que je t'encule, petite tapette ?

-       Oui m’sieur, avec plaisir !

Je me retourne, il me m’attrape par les hanches pour m’approcher de sa grosse queue, il dégrafe lui-même mon pantalon, le baisse jusqu’aux chevilles. Je mets mes deux mains derrière moi pour l’empêcher de me pénétrer trop brusquement. Je contrôle la progression de sa bite en moi tout en laissant le poids de mon corps m'enfourcher sur sa queue. Il est vraiment très membré mais j'en ai tellement envie que j'accélère la pénétration, et sens son gland toucher le fond de mon anus enfin.

Je pose alors mes mains sur le mur devant moi, lui laissant tout contrôle de cette délicieuse sodomie, il m'attrape les fesses et bouge son gros sexe en me disant :

-       Elle est grosse ma queue, tu l'aimes dans ton cul, elle te fait du bien hein? Ca te plais de te faire enculer, salope!

-       Oui, j’aime, c'est bon, encule-moi, encore, défonce-moi!

Il ne se gène pas et me défonce le cul, un homme passe à coté de nous, nous regarde un moment en se masturbant, me tripote un peu, puis s'éloigne. Un autre le remplace. Je n’y fais plus attention.


Il me fait alors légèrement pivoter, je me tiens ainsi sur mes jambes, un peu penché, balancé par ses coups de queue dans le cul, un autre homme s'approche et me présente sa bite que je suce quelques minutes. Puis il s'éloigne pour nous laisser seuls. Il sera rapidement remplacé par un autre anonyme. Je prends un orgasme anal, le premier depuis longtemps avec un homme ! ….mais pas le dernier de cette superbe journée !


Il m'entend jouir et après quelques derniers mouvements, se retire en me disant :

-       Suce-moi encore !

Je me tourne et le reprends dans ma bouche, je m'applique au mieux pour le remercier du plaisir qu'il m'a procuré en m'enculant. Il ne s'arrête pas de me dire des mots crus, jusqu'à ce que ces mots attendus retentissent :

-       Je vais jouir, tu suces trop bien, c'est bon!

Et il m'envahit la bouche de son jus épais, me collant son gland contre la glotte, j'avale aussi vite que je peux pour pouvoir encaisser la deuxième giclée qui me remplit à nouveau la gorge, j'ingurgite encore tout en recevant un dernier coup de bite au fond de ma bouche, suivi d'une troisième puis d’une quatrième giclée ! Je lui nettoie le gland consciencieusement, avec amour pour lui dire à quel point j'ai apprécié sa sodomie. Je me redresse en lui caressant le sexe avant qu'il ne se rhabille. Je remonte mon pantalon sans le reboutonner complètement.

 

Le premier homme qui nous avait maté sans s’arrêter repasse et mon “amant” me dit alors :

-       C'est mon copain, il a une plus grosse bite que moi, ça t'intéresse ?

-       Bien sûr !

Il s'éloigne pour laisser la place à son ami qui me dit :

-       Alors, tu t'es régalé? Elle est belle la queue de mon copain ?

En se dégrafant, il ajoute :

-       Tiens, regarde la mienne ! Suce la, tapette !

Je n'en crois pas mes yeux, elle est vraiment encore plus grosse et un peu plus longue que l'autre, je me dis que c'est ma journée et que j'ai de la chance ! Il m'appuie sur l'épaule pour que je me baisse et le prenne en bouche, je m'exécute avec beaucoup de plaisir en laissant tomber mon pantalon.

Son gland est gros et très agréable en bouche, je lui lèche le méat, et l'absorbe encore pour me pénétrer à fond de ce membre superbe. Quelques géniales minutes de cette queue dans ma bouche plus tard, il me dit :

-       Je vais te prendre, lève toi, cochonne !

Il se couvre, je sors du gel et m'enduis l'anus.

Surpris, il me dit :

-       Il ne t'a pas enculé mon copain?

-       Si, mais je n'avais pas eu le temps de mettre de gel, ce sera meilleur

Il me retourne d'un coup et me plante, sans attendre, sa grosse queue dans le cul. Je ne peux m'empêcher de donner un mouvement en arrière avec ma tête, en râlant d'un léger plaisir-douleur, la queue de son copain avait heureusement bien préparé le passage. Il m'arrache déjà les premiers râles de plaisirs anaux, il glisse délicieusement dans mon cul, se reculant et se dégageant complètement, pour me planter le cul à nouveau. Je jouis comme une petite pute mâle, j'en redemande, je le désire au fond de moi de plus en plus :

-       Encule-moi encore, plus fort!

 Je jouis encore une fois sur sa grosse queue, il me dit alors en s'affairant dans mon cul :

-       On va se calmer, et on recommencera tout à l'heure

Il s'arrête progressivement, j'avoue que je suis prêt à tout, pour lui, et lui dit que mon cul lui appartient. Je le reprends en bouche pour le faire jouir cette fois, mais après quelques minutes il m’écarte et remonte son pantalon. Je ris en le voyant faire car il est si bandé et son pantalon si serré qu’il a du mal à tout faire rentrer. Je lui donne un coup de main. Il me dit d’attendre, qu’il va faire un tour et reviendra pour m'enculer encore.


Je me rhabille une nouvelle fois tout excité et heureux de plaisir, sous les yeux d’un petit vieux vicieux qui se branle, mais je l’ignore et viens me rasseoir sur la chaise qui m'a si bien porté bonheur. Je reprends ma masturbation en regardant le film, et en ressassant les merveilleux moments de plaisir que je viens de connaître. Sur l'écran, une femme se fait gicler sur le visage par trois hommes après une double pénétration. Je suis au bord de l’éjaculation, moi aussi !


De nouveaux bruits signalent une autre arrivée, c'est un homme que je connais, une quarantaine d’années, pas très sportif et un peu timide. Je lui dis bonjour, je l'ai déjà sucé quelques fois avec plaisir, mais il ne m'a jamais sodomisé. Je vois qu'il me regarde d'un air excité, la main dans la braguette du pantalon pour se masturber. Je me lève pour l’aider, mon pantalon ouvert glisse mais il me dit de le remonter et lui aussi se rhabille en me disant de le suivre. OK, j’ai compris, il préfère être tranquille, il n’aime pas les voyeurs. Nous descendons au rez-de-chaussée pour nous installer dans un recoin sombre. Il ouvre aussitôt son pantalon, je me baisse de suite et enfonce sa queue dans la bouche. J'avais oublié qu'elle était aussi grosse, un peu courte, pas trop, mais vraiment très épaisse. Il gémit de plaisir en murmurant :

-       Ah, ce que tu suces bien, ma salope.

J'aime bien ce type et j'aime le sucer, je le lèche en imaginant déjà son sperme dans ma bouche, quelques minutes plus tard, il me dit :

-       J’ai envie de te la mettre dans le cul

Je n'en crois pas mes oreilles, il veut mon cul, lui, c’est la première fois qu’il me le demande! Je me redresse, lui tends une capote, qu'il revêt et lui tourne le dos. Il me propose de mettre du gel, je lui assure que cela se passera bien sans gel supplémentaire avec tout ce que j’ai pris depuis le début de l’après midi.

-       Je ne suis pas le premier alors, tu es une vraie petite pute !

Ca a l’air de lui plaire et il me pénètre déjà de sa grosse queue. Il a un long râle de plaisir et se déchaîne dans mon cul. Il me sodomise comme rarement on ne l'a fait. Je suis content de me faire enculer par lui Il ne tarde pas à me donner un orgasme anal puissant, qu’il accompagne en me jouissant dans l'anus et dans un dernier gémissement, murmure :

-       Oh, c'est bon, je te jouis dans le cul, c'est trop bon, je jouis !

Je me rhabille, façon de parler car je ne boutonne pas la braguette de mon pantalon, et remonte m'asseoir sur ma chaise préférée, dans la salle hétéro, et regarde un bon moment le film porno qui, avec encore une scène de sodomie, me rappelle ce que j'ai pris dans l'anus. Quelle après midi !


Au  bout d’un moment, je décide de faire un tour dans le sex-shop, et me lève. Je croise un homme qui fixe mon regard. Il me semble le connaître, mais je n'en suis pas sûr. Je redescends. Il y a pas mal d’activité. Une des jeunes de l’entrée est en trian de sucer le petit vieux que j’avais ignoré. Mon premier amant est en train de sodomiser une jolie tapette qui pousse de petits cris efféminés, je ne résiste pas au plaisir de la caresser un peu, mais je n’insiste pas, j’ai envie d’autre chose.  Après avoir déambulé encore un peu, en jouant les voyeurs, je m'assois en salle homo, à l’entrée. L'homme ne tarde pas à arriver et se tient à ma hauteur, en attente. Comme chaque fois, car c’est le code pour débloquer la situation, j’ouvre bien ma braguette et me frotte le sexe au travers le satin de mon slip. Il ouvre à son tour sa braguette et déballe une bite énorme… Il bat à plate couture tous les autres, sa bite mesure au moins 23 cm avec une largeur en rapport de plus de 6 cm, elle a une forme d'arc de cercle, tordue vers le bas ! Il me colle cette queue dans la bouche, bandant comme un taureau, sa bite est dure et gonflée. Un homme âgé, peu engageant, s'approche pour nous mater en se caressant. Pour être tranquilles, nous décidons de quitter cette salle et remontons dans l'arrière de la  salle hétéro. En passant le vieux en profite pour me peloter le cul et les couilles, je le laisse faire deux minutes, il est assez habile. Pendant ce temps mon homme se colle dos au mur, pantalon baissé, et m'attends, le sexe tendu à l’horizontale. Je baisse à mon tour slip et  pantalon et prends sa queue dans ma bouche, je le masturbe tout en lui léchant le gland dans ma gorge, je suis dressé sur mes jambes, plié sur sa grosse et longue bite.

Un inconnu nous rejoint, le sexe déjà à portée de main. Il n'est pas très membré, mais dans le feu de l'action, je le laisse me caresser les fesses. Il devine que je ne suis pas farouche et après s'être couvert, me met sa queue dans l'anus. Il me balance fortement, m'enfonçant l’énorme membre dans ma gorge. Il sort peu de temps après, je me retourne pour le sucer et le faire juter, il apprécie, puis en regardant l'homme au gros sexe, je lui dis :

-       J'ai envie que tu me prennes !

Je sors une dose de gel et m'enduit l'entre fesses, il se couvre lui aussi et dirige sa queue sur l‘entrée de mon cul. Ce vicieux me plante d'un coup, sans vergogne, je me cambre pour supporter cette sensation d'écartèlement. Celui qui se trouve en face, me force à me baisser pour que je le suce encore, il ne s’en lasse pas. Moi, j'ai énormément de difficulté à assurer ma fellation, tant celui qui m'encule me défonce avec son énorme bite ! Il me fait sursauter à chaque coup dans le cul, frappant extrêmement fort, jusqu'au fond de mes entrailles. J'ai mal, mais je ne voudrais pour rien au monde qu'il s'arrête, je dois me mettre sur la pointe des pieds pour encaisser ses allers-retours. Le plaisir se mêle à la douleur anale. Il me soulève à chaque mouvement de queue, un orgasme violent m'envahit, j'ai cessé de sucer l'homme face à moi qui maintenant me maintient fermement, comme pour m'offrir à celui qui me sodomise. Comme je suis baissé, il en profite pour frotter sa queue sur mon visage. Il finit par jouir, excité par cette simili lutte . je prends son foutre que la figure. Mais je ne me contiens plus, je jouis de mon cul, cambré au maximum, sur le pieu de mon enculeur qui se déchaîne en moi depuis vingt minutes…

Il finit par enlever sa bite et je me retourne pour le prendre en bouche, je veux le faire jouir, je me délecte sur sa bite, je gémis de plaisir, l'autre me prend l'anus avec ses doigts. Le plus membré dit à l'autre :

-       Regarde, comme il s'éclate avec ma bite, il aime ça, c'est une vraie salope

Je lèche son gland et descends le long de son membre avec ma langue, il prends sa queue et me gifle avec, puis il me baise la bouche, j'étouffe, il prévient alors :

-       Je vais jouir, c'est bon

Il enlève sa queue et en se branlant énergiquement, déverse ses flots de sperme sur le sol, il m’en met plein le pantalon qui est tombé sur mes chevilles…

C’est pas grave, je le remercie, et lui précise que ce n'est pas la première fois qu'il me baise, en effet, je n'en étais pas sur au début, mais depuis que j'ai vu sa queue, cela m'a confirmé que l'on se connaissait sexuellement. Je l’embrasse longuement sur la bouche.


Il me laisse avec l'homme au petit sexe, qui bien sur, veut que je m'occupe encore de lui. J'avoue n'être que peu excité par son sexe, il m’a déjà foutu son sperme sur la figure mais il est si insistant que je le suce encore jusqu'à son éjaculation sur le sol. Il me quitte en me remerciant. Je remonte une nouvelle fois mon pantalon qui commence à ne plus être très présentable et je retourne à ma place, excité encore par toutes ces expériences. Je me branle très doucement, pour retarder le plaisir, je ne veux pas éjaculer trop vite.


Un autre homme d'une soixantaine d'année, grand et chauve, se poste au même endroit que les précédents, je pense alors refuser ses avances en l'ignorant.  Il dégrafe sa braguette, sort sa bite et commence à se branler devant moi en me regardant. Je regarde son sexe et constate qu'elle est d'une taille plus qu'honorable. Après tout, je me dis que je dois profiter au maximum de cette journée et pose une main sur cette queue et l’introduit vite dans ma bouche. Je le pompe consciencieusement. L'homme me complimente sur mes dons buccaux, il m'ordonne alors :

-       Bouffe moi les couilles

Je lui obéis avec d’autant plus de plaisir qu’il est parfaitement rasé. Il saisit sa bite et se branle en même temps que j'ai ses testicules dans la bouche. Il me remet son gros pieu dans la gorge et me baise la bouche avec des mots bien crus.
Il me dit sans que je ne m'y attende :

-       Lève-toi, je vais t'enculer.

Je me dresse en lui tournant le dos, il me cambre en me disant :

-       Appuie-toi sur la chaise, je veux te la mettre bien profond !

Nous sommes dans la salle commune, un petit groupe de voyeur fait cercle autour de nous, bites en main, je suis trop occupé pour m’y intéresser.

Il se couvre et me pénètre d'un coup, aussitôt suivi de va et viens rapides dans mon cul, je me cramponne à ma chaise et ressens déjà un orgasme monter inexorablement. Il m'encule bien le bougre, il a de l’expérience, il se déchaîne dans mon cul en disant fort et en s’adressant aux spectateurs:

-       Putain, t'as un bon cul, toi, c'est un cul comme j'aime, il est chaud, bien cambré, en plus, on voit que t'aime ça, petite salope, traînée, grosse tapette, Tu m'excites vicieuse !

Il n’arrête pas de m’injurier ce qui augmente mon plaisir et je prends un énième pied anal, il annonce :

-       Oh, je vais tout lâcher dans ton cul, salope, c'est bon

Il me pénètre par saccades en lâchant son jus en moi. Il se retire de mon corps en enlevant sa capote, il m'ordonne de le lécher un peu, puis encore excité, se branle énergiquement en laissant son gland dans ma gorge et s'écriant :

-       Il doit bien en rester une goutte !

Il jouit une seconde fois dans ma bouche, crachant très peu de sperme, malheureusement. Il remonte son pantalon et s’en va sans dire plus. Certains voyeurs veulent profiter de moi, ils présentent leurs queues bandées en même temps. Je me retrouve avec plusieurs bites dans la bouche mais je n’en peux plus. A leur grande désillusion je les repousse. J’essaye de remettre mon pantalon qui avait roulé en boule dans un coin et de me donner un air présentable.


Après toutes ces aventures, j’ai besoin d’un peu de repos. Je déambule une bonne heure dans les différents endroits du sex-shop,  Je devine qu'il doit commencer à se faire tard…  Mais bientôt de nouveaux hommes occupent les lieux, j'espère toujours le retour promis des deux amis…

Je passe devant une cabine de projection ouverte, elle est occupée par un homme d'une cinquantaine d’années, assis, se branlant devant son film homo. Il me regarde mais je continue mon chemin, je reviens sur mes pas et après un dernier regard complice, j'entre.

Je referme derrière moi, et m'agenouille pour l'engloutir. Sa bite aussi me semble énorme, c’est la soirée, et elle continue de gonfler dans ma bouche, Il gémit de plaisir. Je le suce amoureusement, longuement, pendant plusieurs minutes, puis je lui demande :

-       Tu ne veux pas m’enculer ?

-       Pas tout de suite, c'est bon comme ça aussi ! prenons notre temps.

En parlant bien sûr de mes dons de suceur… Je continue ma pipe vicieuse. J’entends un jeune homme entrer. Je me redresse, il me bouscule et plonge carrément sur la bite que je suçai pour la sucer à son tour ! Etonné je me lève et regarde la scène. Ils se déshabillent tous les deux très vite, je comprends que le nouvel arrivé est un “concurrent” et qu’ils se connaissent. Je décide de les laisser seuls, l'homme actif me dit alors :

-       Pourquoi tu pars?

-       je préfère vous laisser tranquille

Je  sors pour rejoindre la salle hétéro avec l'idée de me masturber pour jouir un dernier coup et enfin rentrer chez moi…  Mais la curiosité me fait aller voir où en sont mes deux hommes. J'ouvre la cabine et vois le plus jeune, tout nu, à genoux sur la chaise, les bras en appui sur le dossier, se faire enculer par le plus âgé, je m'étonne de son impassibilité, on dirait qu'il ne ressent rien. Je referme et retourne d'où je viens.


Un quart d'heure après, je descends en salle homo, et là  Surprise! Je vois le plus âgé dans l'arrière salle, contre le mur, il est seul, je le rejoins et lui demande :

-       Ce n’était pas bien avec l'autre mec ?

-       Je ne sais pas trop ce qu'il voulait, il avait l’air de s’emmerder, je lui ai dit de se tirer.

Il me caresse le sexe et les fesses, le sien est déjà tendu vers moi, je me baisse pour reprendre ma fellation. Pendant que j’ouvre sa braguette et sors sa bite, il me dit :

-       Elle est vraiment bonne ta bouche, tu suces mieux que lui, on sent que tu aimes sucer, c'est excitant !

J’apprécie pleinement le compliment et cette queue ! Ayant décidé de ne plus attendre mes “deux amis” qui ne viendront plus, je pense alors prendre vraiment le plus de plaisir possible jusqu'à mon éjaculation. Visiblement, toutes ces aventures m'ont mis dans un état de chienne en chaleur, j'ai encore plus envie de lui que les autres, sa bite me rend fou, je ne sais trop pourquoi.
Il me remplit de plaisir lorsqu'il me dit :

-       Je veux t'enculer, tu as du gel?

Je lui propose en plus un préservatif, qu'il refuse : il en a déjà un.

Il enfile sa capote, je lui tends mes fesses, il me dit :

-       Tu ne veux pas mettre de gel?

Je prends sa queue sans lui répondre et m'empale d'une traite sur elle, elle rentre sans effort, il gémit et en parlant fort dit :

-       C'est bon, il est chaud, j'aime quand c'est chaud comme ça, il est génial ton cul!

Il me prends par les hanches et m'encule en faisant des mouvements d'une intensité moyenne, il me remplit agréablement bien le cul, je ne peux m'empêcher de glousser de plaisir comme une salope en chaleur, il s'en rend compte et me dit :

-       Tu aimes ça, petite salope, ça te plait de te faire enculer, moi, ça m'excite de t'entendre jouir !

Il me baise avec encore plus de passion, il me redresse pour m'embrasser tout en m'enculant. Je lui dis :

-       Tu es bon, je te sens bien, elle est bonne ta queue dans mon cul, on est bien l'un dans l'autre !

Je ferme les yeux de plaisir pour profiter de mon orgasme interminable, il bouge toujours en moi, je me dégage pensant qu'il veut jouir dans ma bouche, je lui enlève sa capote et le suce avidement, cinq bonnes minutes plus tard, il me dit :

-       Je veux encore ton cul !

Il ne sait pas à quel point il me fait plaisir, et après s'être à nouveau paré, me sodomise encore, nous sommes collés, l'un à l'autre, gémissants de plaisir homosexuels tout les deux, il me fait jouir inlassablement, me disant presque des mots d'amour sur ma façon de baiser et la chaleur agréable de mon trou du cul. Notre plaisir devient commun et nous atteignons ensemble un orgasme ultra puissant, ses mains me maintiennent, sur sa queue enfoncée dans mon anus à l'extrême, je suis quasiment en équilibre, planté sur sa grosse et délicieuse bite.
Nos gémissements se mêlent, rejoint par nos langues.


Avec regret, je laisse sortir ce membre de mon cul, pour lui demander :

-       Je peux te sucer un peu en me masturbant ?

Il acquiesce et je le suce, goûtant au passage son sperme, puis très excité après toutes ces pénétrations anales, j'éjacule sur le sol en criant mon plaisir.


Il me dit que je suis un mec génial, que je lui plais beaucoup, qu’il vient de loin (60 km), mais me dit que ça vaut le coup. Il me signale qu'il vient souvent les samedis et qu'il a déjà hâte de recommencer avec moi… Pourquoi pas ?


Je quitte enfin le sex-shop épuisé et satisfait. Je marche lentement dans la rue et je tombe sur toi  qui m’invites à prendre un verre en tout bien tout honneur. Après ce que je viens de prendre c’est un pur régal !

 

 

En fait il me raconte son aventure et cela nous mets tous deux dans un état d’excitation extrême. Je lui demande les détails, je suis vraiment effaré et impressionné par le nombre d’homme qu’il a sucé, qui l’ont sodomisé ! Je n’y crois pas trop mais il a l’air sincère et puis à l’état de ses vêtements et de son cul on comprend bien qu’il c’est passé beaucoup de choses !

 

Nous décidons de mettre l’aventure par écrit.

Cette nuit là, nous n’avons pas baisé, il était rassasié, je l’ai laissé s’endormir.  J’ai lavé et repassé son pantalon et sa chemise pour qu’il soit beau le lendemain, pour l’avoir un peu à moi.

Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Lundi 3 août 1 03 /08 /Août 20:18

A cette époque là ça ne marchait pas trop bien avec ma femme. Elle ne comprenais pas bien mes envies de porter des sous-vêtements féminins, bas et porte jarretelles et des habits satinés, mes envies de sodomie et de domination douce. Elle me traitait de tapette et nous nous éloignions l’un de l’autre.

Elle se moquait de moi devant ses copines, leurs racontant tous les détails de mes fantasmes, ce qui était un peu cruel. Elle m’obligeât même, à plusieurs reprises, à baisser mon pantalon devant elles pour leur montrer ce que je portais. Je l’avais fait la première fois en étant un peu honteux mais comme cela les amusait et que moi ça m’excitait un peu, j’ai toujours joué le jeu. Elle voulait m’humilier, se moquer de moi mais ça ne marchait pas. Cela eut, une fois, l’effet inverse puisque une de ses copines me rappela pour me dire qu’elle aimait bien et me faire des avances. Je n’ai pas eu l’occasion de la satisfaire mais si cela avait été le cas, je l’aurais fait sans complexe.  Rapidement elle prit des amants, je fis de même de mon coté et je repris l’habitude d’aller avec des prostituées. C’est une pratique que j’avais presque arrêtée depuis deux ans que j’étais avec elle.  Mais au moins avec elles on peut se présenter comme on veut, exprimer tous ses fantasmes, il n’y a pas de censure et souvent beaucoup de respect, même quand elle vous administre une fessée ou vous sodomise. Ne bandant pas très fort, je me faisais souvent tailler des pipes dans la voiture par des putes sur le bord de la route. Entre midi et deux j’allais ainsi me faire sucer avec une pute différente chaque fois. Au bout de quelques temps, pour avoir plus de confort, je me suis mis à chercher des putes dans les annonces des journaux..

Rien que la lecture des petites annonces m’excitait, je téléphonais et prenais rendez vous. J’ai vu toutes sortes de choses et suis passé entre toutes sortes de mains. J’en fais des récits de par ailleurs. Un jour je tombe sur une annonce de mec. C’est la première annonce de mec qui m’attire. Je ne sais plus exactement comment elle était libellée mais elle était très sympathique et j’ai eu envie d’y goûter. Après tout, cela faisait très longtemps, depuis mon adolescence que je n’avais pas sucé un mec, hormis une parenthèse de quelques mois pendant le service militaire et lors de partouses échangistes auxquelles je participais un temps avec une copine très portée sur le sexe.

Je téléphone et demande comment cela se passe, le prix et explique que je voudrais juste le sucer. Il me répond gentiment qu’il n’y a pas de problème que je pourrais le sucer  mais que je ne n’allais pas venir juste pour le sucer, que ça ne se passait pas comme ça, qu’il fallait prendre son temps. Je suis un peu surpris, je ne sais pas exactement ce que cela induit, mais je comprends que le gars peut pas bander sur commande instantanément, qu’il faut un peu de préparation etc… en définitive j’accepte.

Je prends rendez vous pour le lendemain vers 13h en faisant en sorte d’avoir mon début d’après midi libre de contrainte professionnelle car je ne veux pas être stressé par le temps, on ne sait jamais, il peut y avoir de bonnes surprises.

Je me fais beau  avec un costume bien ajusté, une chemise en satin, un petit gilet en satin, comme d’habitude quand je vais voir les filles, qui me moule bien les reins et le ventre, cravate et caleçon en soie assortis, sans oublier bien sur mon porte-jarretelles (un modèle en satin bleu clair, assez large, qui lui aussi moule bien mon ventre et mes reins) et des bas.

Je suis émoustillé quand je me gare près de chez lui, comme presque toujours quand je vais à un rendez vous tarifé et je bande déjà en sonnant à sa porte. Mon érection se voit à travers le pantalon en tergal très fin. Je vois qu’il s’en aperçoit en ouvrant la porte mais ne fait pas de remarques.

-      Bonjour. Entrez. Vous avez trouvé facilement ?

Il est très aimable et gracieux. Il porte un pyjama en satin rose, au pantalon très moulant, fermé par des lacets sur le coté et par trois bouton apparents en guise de braguette, le haut est très évasé laissant voir sa poitrine à moitié nue, bronzée et lisse. Le caraco est attaché à la taille lui aussi par des lacets. Il porte des babouches en fausse fourrure à talons hauts. Il est blond, des cheveux mi-longs, mignon, ce qui me rassure et me met en confiance.

-      Suivez-moi, dans le séjour

Je le suis, sa démarche est souple malgré les talons hauts, un peu maniéré. Il a de belles fesses.

Le salon est cosy. Il y a deux grands fauteuils et un canapé en cuir rouge sombre.

-      Asseyez vous, je vous en prie et mettez vous à l’aise. Vous désirez prendrez quelque chose à boire ? Un jus de fruit, un peu d’alcool ?

Il fait chaud je transpire pas mal dans mes vêtements serrés :

-      Un jus de fruit avec plaisir

-      Comme je vous l’ai dit au téléphone la séance est à 80 Fr, je suis disponible pour tout : pipe et sodomie sur vous et sur moi. Ca vous va ?

Au moins avec lui les choses sont claires. De toute façon lorsque je suis monté je ne discute plus le prix .

-      Oui, oui, parfait.

Je lui tends de suite l’argent que j’avais préparé, je préfère me débarrasser de ça rapidement, c’est le moment qui m’embête le plus. Il prend l’argent et va le mettre dans un petit meuble dans l’entrée, toujours en se déhanchant sur ses hauts talons.Il revient portant un plateau avec deux verres et une carafe de jus d’orange.

-      Mettez vous à l’aise ! Il fait chaud, me dit-il en posant le plateau sur une table basse

Il vient s’asseoir près de moi sur le canapé.

-      Posez la veste, détendez-vous ! Je vous sens crispé !

C’est vrai que je ne suis pas très à l’aise. J’ai chaud, la bouche sèche, je ne sais pas trop comment me comporter

-      Allez enlevez la veste, ça ira mieux ! Je vous sers un grand verre frais.

Comme je ne bouge pas il se tourne vers moi, mets sa main au tour de ma taille  et délicatement la remonte en me caressant le coté puis l’épaule et fait glisser ma veste. 

Je me laisse faire, son toucher m’électrise

-      Merci ! Ca va mieux !

Il va poser ma veste sur le dossier du fauteuil en face et reviens s’assoir plus prés de moi encore, croisant les jambes de sorte à bien mettre son sexe en évidence. Je dois me donner une contenance car je suis très troublé.

-      A votre santé ! J’ai l’impression que vous êtes un peu coincé ! N’ayez pas peur, je ne suis pas méchant ! C’est la premier fois peut être ?

-      Non pas du tout mais il y a longtemps que ne suis pas allé avec un homme !

Et il pose sa main sur le haut de ma cuisse et la fait glisser lentement

-      Pas de soucis, ça se passera bien… Quel est votre petit nom ? Moi c’est Remi. On pourrait se tutoyer non ?

-      Moi c’est Jean-Alain, dis-je après avoir bu une grande lampée de jus d’orange.

En fait je me rends compte que c’est du punch, assez fort et cela fait sur moi un effet relaxant. Le rouge me monte aux joues

Il s’en rend compte et accentue sa caresse, me prenant le paquet à pleine main.

-      Il est bon mon jus d’orange non ? Est ce que je te plais ? Toi en tout cas tu es magnifique dans ta tenue satinée ! Tu n’as pas trop chaud ? Viens ici que je te déboutonne un peu.

Il commence à défaire les boutons du haut de mon gilet

-      Non, attend un peu, je veux rester comme ça

-      Ok ! je vois. Pas de problème.

Il pose sa main sur ma braguette

-      Je vois que tu es excité. Je peux ouvrir là ?

J’acquiesce sans rien dire et après quelques caresses, il commence à ouvrir à braguette.

-      Oh une braguette à boutons ! C’est de plus en plus rare, j’aime beaucoup , c’est plus sexy qu’un zip!

Apres avoir défait les 5 boutons de la braguette il glisse sa main à l’intérieur

-      Ok,  caleçon en soie je m’y attendais !

Il continue l’exploration de mon entre jambe.

-      Et porte-jarretelles en sus ! Je vois on aime jouer à la fille ! Moi aussi il m’arrive d’en porter quand le client m’en demande, mais je n’en porte pas tous les jours, si tu voulais que j’en porte faillais le dire ! Tu veux que j‘aille en mettre ?

-      Non ce n’est pas la peine, tu es bien comme ça !

En fait, je n’ose pas bouger alors que je meurs d’envie de le toucher. Il le comprend et prend les devant.

-      Tu es bien excité ! Mets ta main ! Touche, ne t’en prive pas tu as payé pour ça !

Il prend ma main avec beaucoup de douceur et la pose sur son sexe. Je le sens chaud et tendu sous le satin du pantalon. J’ose une petite caresse le long de la tige et sur les couilles. Timide.

Je passe ma main dans son dos et lui caresse le dos et les reins. Il croit que c’est pour qu’il se baisse, ce qu’il fait immédiatement et dans le même geste sort ma bite du caleçon et se met à la sucer. Je suis surpris de la soudaineté de son geste mais je me laisse faire, toujours un peu tétanisé

Après quelques succions, il se redresse et me sourit puis approche ses lèvres de  mon visage et commence à lécher les miennes pour un baiser très tendre et très humide, au goût de mon sexe.

-      Il faut te détendre si tu veux passer un bon moment !

Ce geste et ces paroles me débloquent. Je lui rends son baiser, nos langues s’entrecroisent, nos lèvres se malaxent. Dans l’élan nous nous redressons tous les deux et je me mets à lui malaxer fortement les fesses.

Le tissu du pyjama est doux, ces fesses rebondies et fermes, c’est très agréable. Notre étreinte dure un petit moment, passionnellement. Il en profite pour dégrafer complètement mon pantalon qui tombe sur mes chaussures. Je n’avais pas mis de ceinture intentionnellement. Nous nous embrassons toujours mais je le pousse vers le canapé et l’oblige à s’asseoir. Il le fait en m’attirant vers lui. Je glisse ma main droite entre nous deux pour lui caresser le sexe. Enfin j’ose ! Ca me fait un effet terrible. Il écarte bien ces jambes pour que je puisse le caresser plus facilement. Manifestement il y prend du plaisir, sa queue est bien tendue. Moi je suis libéré.

-      Prends ton temps… Régale-toi !

C’est ce que je fais. Je passe ma main sur tout son corps son ventre bien dur ces petit tétons qui se durcissent sous la caresse, à travers le satin du pyjama. Il me rend mes caresses en me masturbant doucement.

Je me débarrasse de mes chaussures et de mon pantalon. J’ai du mal et je m’énerve. Il ri, se redresse et habillement m’enlève chaussures et pantalon.

Je défais les lacets qui tiennent son pantalon sur le coté pour pouvoir sortir la bite de son écrin de satin. Il est bien sur entièrement rasé. Il est dur, bien bandé. Je le mets dans ma bouche et le pompe avec avidité comme si je n’avais jamais fait que ça toute ma vie alors qu’il y a des années que je ne l’avais plus fait. Je retrouve tout un tas de sensations que j’avais oubliées. Je me demande comment j’ai pu me passer d’un tel plaisir pendant tant d’années.  Il a gardé une main autour de mes couilles et se met à les serrer fortement pendant que je le suce. Cela me fait un effet immédiat : je bande encore plus fort. Il s’en rend compte et recommence.

-      Tu es un peu maso, je vois ! Je vais t’en donner alors …

De son autre main il me caresse les fesses à travers la soie du caleçon puis la glisse dessous par une jambe et introduit son majeur dans le trou de mon cul. Il le fait tourner lentement tandis qu’il l’enfonce. Presque immédiatement il l’a complètement enfoncé et s’apprête à en introduire un deuxième.

Je suis près à jouir et je le lui dis. Alors il se dégage.

-      Tu as raison, prenons notre temps, n’allons pas trop vite !

Je suis toujours avec mon gilet et ma cravate. Je me redresse, il fait glisser mon caleçon et se met debout près de moi. Son pantalon glisse aussi à ses pieds. Il délace son haut pour être entièrement nu. Je le caresse, il est doux.

-      Tu veux toujours rester comme ça ? Tu ne veux pas te déshabiller ? Ne garder que ton porte-jarretelles et tes bas ?

Je fais signe que non.

-      Ok, je comprends. Tu aime être contraint.

Il tire sur les passants de mon gilet pour le serrer encore plus, tire les pans de ma chemise vers le bas pour qu’elle soit bien tendue, monte le porte-jarretelles pour que les bas soient aussi bien tendus...

-      Si tu es un peu maso, tu veux m’être soumis ?

-      Je hoche la tête en signe d’acceptation.

Il m’arrange les cheveux, le col de ma chemise et resserre aussi mon nœud de cravate. Il prend un ton de vois plus directif.

-      Mets toi a genoux et suce moi. C’est pour ça que tu es venu, non ?

Je ne me fais pas prier. Je lèche son gland à petit coup de langue, je prends ses couilles délicatement dans ma bouche, fais courir ma langue tout le long de sa tige. Je lui fais tout ce que j’ai appris à faire quand j’étais jeune et tout ce que j’aime bien qu’on me fasse quand on me taille une pipe. Puis je le prends tout entier dans ma bouche et me remets à le pomper consciencieusement. Cela dure un bon moment. Il passe sa main dans mes cheveux et les tire très fort. J’en ai les larmes aux yeux. Il pousse ma tête vers lui pour faire pénétrer profondément sa pine dans ma bouche. Il la secoue ensuite d’avant en arrière un peu brutalement pour lui faire faire des allées retours dans ma bouche, comme s’il me baisait la bouche..  Je suis le mouvement au mieux, je suce et j’aspire… ça va un peu trop vite

-      C’est bon, très bon. Tu suces très bien et je suis sur que ce n’est pas la première fois. Je vois que tu y prends plaisir. On va aller un peu plus loin maintenant.

Il fait sortir sa bite de la bouche et me la passe sur tout le visage. Je ferme les yeux. Je me laisse faire, je m’abandonne.

-      Mets toi à quatre pattes maintenant!

Pendant que je m’exécute, il se retourne et me présente ses fesses pour offrir son cul à mes lèvres. Je le lèche. Avec ses mains il écarte ses fesses pour bien dégager sa rosette et il s’appuie sur moi. Ma langue rentre dans son anus entrouvert. Après quelques instants, il se retire.

-      C’est bien, tu es un bon soumis. Reste comme tu es. Je reviens

Il se relève, me contourne et va dans le fond de la pièce.

Malgré son ordre, je me redresse un peu de ma position à quatre pattes en espérant que cela ne va pas l’irriter, pour arranger ma cravate, ma chemise et mon gilet, tirer mes bas. Je suis en nage, un peu débraillé, je n’aime pas ça, j’aime être en ordre. Je reprends la position, en attente et soumis, à la fois anxieux et excité.

Il revient dans mon dos et je sens la fraîcheur d’un gel abondant sur mon anus.

Il ne parle plus, je le sens très concentré. Sans plus d’approche préliminaire, il pointe son gland vers ma rosette et appui d’un coup sec. Elle cède instantanément. Il me pénètre. Je ne peux réprimer un petit cri.

C’est un peu rapide et violent mais le désir est si fort en lui que je comprends qu’il ne puisse se retenir. Il m’a fait un peu mal, mais le plaisir prend vite le dessus. Il me ramone avec force, sans rien dire, un peu bestialement, c’est sans rapport avec le jeune homme raffiné qui me faisait la conversation tout à l’heure. Il sait trouver ma prostate et la jouissance monte lentement de mes couilles vers mon sexe Ses mains caressent ma bite, glissent sous mon gilet pour me pincer les tétons. A chaque coup de reins nous haletons sur le même rythme je le sens jouir.

Il me serre fort le gland quand il jouit et moi je serre le cul pour augmenter son plaisir. Après la dernière giclée dans mon cul, il s’écroule sur moi et m’embrasse dans le cou. Je reste bien solide à quatre pattes, il continue à me branler.

En se relevant, il me fait me retourner et m’allonger sur le dos. Il prend ma bite  dans sa bouche et la suce jusqu’à ce que jouisse à mon tour en giclant du sperme sur moi.

-      Eh bien ! Il y a longtemps que je n’avais pas baisé un gars comme ça ! D’habitude c’est moi qui prends ! C’est moi qui devrais payer !

Nous rions allongés l’un près de l’autre en nous caressant mutuellement le sexe et le ventre. Je finis par me lever pour servir deux verres que nous vidons d’un trait. Mes habits sont un peu froissés et pleins de sueurs et de sperme mais j’ai quand même tout conservé ! Je m’arrange une nouvelle fois. Il me le fait remarquer et avoue que ça l’a excité de me baiser dans cette tenue ! Je le comprends, on reprend un verre. Puis deux… L’alcool commence à faire son effet et manifestement on n’a pas envie d’en rester là…  je me remets à le caresser et je vois que ça lui fait de l’effet. Moi aussi je me remets à bander.

-      On va inverser les rôles, tu veux bien ?

-      Ok. Tu veux que je m’habille en satin moi aussi ? J’ai ce qu’il faut dans ma penderie

Nous allons dans sa chambre, bras dessus, bras dessous, en titubant un peu, car entre temps nous avons fini la carafe de punch et bus quelques verres de vodka Nous sommes presque complètement saouls tous les deux.

Effectivement il a une belle panoplie de tenues en satin. Des costumes trois pièces, des chemises à jabot, des gilets, des dizaines de cravates chatoyantes. On dirait le vestiaire de Claude François dans les années 70. Je le lui dis.

-      C’est vrai ! J’ai une vraie admiration pour lui, j’aurais aimé être son amant !

C’est amusant car il lui ressemble un peu et moi aussi j’ai toujours été attiré par ce gars. Je ne résiste pas à une séance d’essayage. Je me déshabille entièrement en jetant mes habits sur son lit. Nous sommes tous les deux nus devant la penderie comme des enfants devant l’étal d’une pâtisserie ! Nous passons à tour de rôle un pantalon, une veste, une chemise, un ensemble coquin et nous nous admirons, nous nous caressons, comme de vraies tantouses que nous sommes finalement ! Nous n’avons pas la même taille, j’ai un peu forci ces dernières années et lui est jeune et svelte, mais ce n’est pas grave nous passons un moment délicieux. Après avoir farfouillé longuement, tout tâté, essayé, admiré, je choisis une chemise à jabot en satin champagne avec un grand col,  une cravate en soie et gilet assorti avec un double boutonnage. Nous décidons qu’il restera nu en bas, c’est plus commode. Je lui passe ses habits doucement, profitant de chaque instant, de chaque bouton (et il y en a dix de chaque coté !)  pour le caresser un peu mieux. J’ai l’impression d’habiller une poupée, il se laisse faire. Le résultat est magnifique et je n’arrête pas de le caresser. Il est mignon et à voir l’état de sa queue : il est content ! J’en profite pour le sucer régulièrement.

Pourtant il y a quelque chose qui cloche, je sens que ce n’est pas tout à fait ce que je veux. En fait, ce qui me plairait, c’est qu’il mette mes habits à moi. Je le lui propose. Il n’y voit pas d’inconvénients. Je le déshabille donc avec la même préciosité que j’ai mis à l’habiller, en pliant précautionneusement chaque pièce que je lui retire et vais chercher mes habits. Nouvelle séance d’habillage coquin. Les vêtements sont moins beaux et un peu chiffonnés, quelques tâches de sperme même mais l’excitation est encore plus forte de le voir porter mes vêtements. Je lui fais même mettre mon caleçon. Il est plus fort que moi, il est très serré mais il n’a pas l’air d’être dérangé par cela. Je le caresse avec encore plus de plaisir. Je lui mordille la queue gainée par la soie du caleçon. Le désir nous gagne à nouveau, nous ne parlons plus.

Il est habillé comme moi, aussi je mets le haut de son pyjama, en tirant fortement sur les lacets pour avoir la taille bien prise, pour être habillé comme lui. Les rôles sont maintenant inversés, cela décuple mon excitation. C’est moi maintenant qui vais le dominer !

Il l’a compris et sans que je lui dise quoique ce soit, il se met à quatre pattes comme moi tout à l’heure pour que je puisse le prendre et c’est ce que je fais avec hâte, n’y tenant plus après avoir soigneusement enduit son anus de gel. Ma queue rentre facilement d’autant qu’il donne de petits coups de reins pour en faciliter la progression. Un vrai pro. On comprend que ce n’est pas la première queue qu’il prend là, qu’il en a vu d’autres et des plus grosses sûrement car je ne suis pas un phénomène sexuel comme on peut en voir dans certains films ou photos pornos !

Je l’encule longuement, sauvagement. De le voir ainsi travesti avec mes propres fringues ça me rend fou. Son dos gainé dans le satin est un spectacle fabuleux. Je glisse moi aussi mes mains sous le gilet pour lui pincer les tétons à travers le satin de la chemise. Il pousse de petits cris. Je pince plus fort. Ma bite est entièrement rentrée dans son cul et mes couilles viennent percuter ses fesses. Je perds un peu la tête. Je lui serre les couilles fortement, j’étire sa bite comme si je voulais l’arracher. Je lui donne des tapes sur les fesses et comme je vois qu’il réagit, je continue en tapant plus fort. C’est une vraie fessée que je lui administre. Ses fesses deviennent rouges.

Je finis par jouir en donnant de grand coup de bassin mais je ne m’arrête pas, je n’ai pas envie, je continue de le sodomiser en le fessant. Il subit sans se révolter, au contraire je le sens soumis et prêt à continuer. Il bande encore et ne me demande pas d’arrêter. Je le masturbe violemment et d’un coup j’ai envie de sa queue. Je me dégage de son cul et le mets sur le dos, il se laisse faire, attentif à mes mouvements. J’essuie ma bite avec un mouchoir et je m’allonge en quinconce sur lui pour pouvoir le sucer et qu’il fasse de même. Il le fait instinctivement sans que je sois obligé de lui dire quoique ce soit. Nous nous mangeons la bite mutuellement pendant un moment, l’excitation est redevenue forte, j’ai encore envie de l’enculer, de le châtier. Il en a envie lui aussi. Il me propose d’aller sur  le lit et de l’attacher si ça me fait plaisir. C’est d’accord, nous retournons dans sa chambre, sur son lit recouvert de satin rouge et je l’attache aux barreaux du lit. Accroupi, jambes cartées, il m’offre son cul comme sur un autel.

-      Vas-y. Baises moi encore. Comme une chienne.

Et je me remets sur lui. Je lui resserre le noeud de cravate comme il m’a fait tout à l’heure, reboutonne le gilet qui s’était un peu ouvert et resserre les passants du gilet. Ses fesses sont rouges de la fessée de tout à l’heure, je lui passe un peu de crème que je trouve près du lit.

-      C’est frais !

Je lui passe aussi la crème sur les couilles et sur la bite qui se durcit. Avec la crème j’ai également trouvé un martinet alors je ne résiste pas à lui en mettre une bonne. Il ne moufte pas durant toute la fessée, encaissant bien chaque impact et ne débande pas non plus. C’est bon signe.

La fessée m’a remis en érection aussi. J’ai l’impression que chaque coup de martinet me fait gonfler un peu plus la bite. J’arrête avant qu’elle n’explose et continue en le sodomisant avec le manche en cuir du martinet qui fait office de godemiché. Cette fois il n’en peut plus. Il gigote pour se dégager mais il est bien attaché. Il me supplie d’arrêter, puis de continuer. Il ne sait plus ce qu’il veut, c’est que le plaisir est en train de le submerger. Je me masturbe tout en le godant et quand je suis bien dur, je l’encule à nouveau, en pénétrant d’un coup, à la hussarde et je me donne au maximum. Ca fait longtemps que je n’avais pas eu ce sentiment de puissance, ces derniers temps je devenais de plus en plus passif, même avec les femmes, et là tout d’un coup je retrouve toute ma virilité en enculant une chochotte. Quel pied ! Cette fois j’éjacule très vite au fond de son cul, avec puissance, je ne peux m’empêcher de pousser un cri, comme un cri de guerre.  Lui, il est  écroulé, soumis, vaincu aussi je le détache pour qu’il puisse s’allonger et je me mets à le sucer immédiatement, comme une récompense après toutes ces violences. Juste pour bien lui faire comprendre que je l’ai apprécié, que je l’ai vaincu mais pas humilié, que je veux aussi qu’il ait son plaisir. Il m’en est reconnaissant. Je lui vide les couilles en le faisant juter plusieurs fois. Il me regarde, en sueur, satisfait.

Allongés cote à côte sur le lit, nous échangeons un long baiser bien baveux du sperme que j’ai encore dans la bouche comme au début de la séance.

-      Merci ! me dit-il

-      Merci à toi !  C’est toi qui a rendu tout cela possible !

Nous avons commencé la séance vers 13h et il est presque 19h ! On n’a pas vu le temps passer ou plutôt si on l’a vu passer et on en a profité ! Nous sommes tous les deux rompus.

J’accepte sa proposition de prendre une douche, que nous prenons ensemble évidemment, en nous savonnant l’un l’autre, un comme pour rendre hommage au corps de l’autre qui nous a donné tant de plaisir. Mais nous ne bandons plus, hélas, les plus belles choses ont une fin.

Nous échangeons peu de mots entre nous ensuite, le moment a été fort, nous sommes comme deux boxeurs après un match. Un peu sonnés. Je me suis rhabillé avec mes vêtements souillés de nos sueurs et de nos spermes. Je n’en étais pas honteux, mais plutôt fier. J’aurais même voulu que ma femme me voit dans cette tenue mais elle n’était pas là quand je suis arrivé chez moi. Je me suis couché avec la chemise et le caleçon pour garder imprimé sur moi le plus longtemps possible le souvenir de cette après midi d’amour.

Je l’ai longuement embrassé en partant, toujours sans un mot. Nous avions chacun nos vies et nous ne savions pas si nous nous reverrions, et de fait nous ne nous reverrons plus. J’ai essayé plusieurs fois de le joindre au téléphone mais il n’a plus répondu. J’ai appris plus tard qu’il était décédé quinze jours plus tard des suites d’un accident de la route. En rentrant d’une soirée en boite avec son ami travesti, son véhicule a percuté un camion puis s’est écrasé contre un mur.

Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 22:52

C’était une époque où j’avais des problèmes de dos et mon toubib me prescrivait régulièrement des séances de kiné. J’avais toujours du mal à les faire car je n’arrivais pas à trouver un kiné près de chez moi et puis je n’aime pas trop ces gars. Finalement, sur les conseils de je ne sais qui, je me suis procuré l’adresse d’une kiné près du boulot et qui pouvait me prendre (façon de parler!) entre midi et deux heures. Parfait pour moi. Je m’empresse donc de prendre rendez vous.

 

 

 

 

 

C’est une fille blonde assez grande et costaude, d’origine nordique semble-t-il même si elle n’en a pas l’accent, un visage régulier, sans être une beauté, doux et souriant. C’est une fille sportive. Ca se voit à son habillement : pantalons serrés et sport, sweeter, l’air dynamique, bottes en cuir, de beaux seins, un peu pointus, maintenus par un soutien gorge bien coupé.

 

 

Le contact est bon, elle a l’air sympathique et saine,franche, nous prenons rendez vous deux fois par semaine, le mardi et le jeudi à 13H.

 

 

 

 

 

C’est à cette époque aussi que je commençais à porter des caleçons en soie  et comme j’étais beaucoup en clientèle et que je recevais pas mal de clients au bureau, j’étais obligé d’être très bien sapé, toujours costard cravate de luxe, belles chemises et souvent un petit gilet de satin. Un peu endimanché mais ça me plaisait et je prenais grand soin à tout ce que je portais, aucun détail n’était oublié.

 

 

Pour la première séance elle me demande de me déshabiller, je lui propose quand même de garder mon caleçon, elle sourit mais sans répondre directement à ma repartie un peu graveleuse. Je m’en excuse, elle se retourne vers moi avec un sourire affable pour me dire que cela n’a pas d’importance. Elle a de beaux yeux verts qui plongent directement dans les miens. Pas d’ambiguïté, elle est au premier degré, naturelle, elle me met à l’aise. Le déshabillage se fait dans un coin de la salle de travail, il n’y a pas vraiment de vestiaire et quand elle travaille à son bureau je suis pratiquement obligé de le faire devant elle. Cela ne me gène pas vraiment, au contraire, j’ai toujours eu un coté exhibitionniste. Je le fais lentement, en prenant soin de plier mes vêtements pour ne pas qu’ils se froissent. Elle m’attend patiemment, ; sans jamais montrer un signe d’impatience.

 

 

 

 

 

Je me sens un peu ridicule la première fois que me retrouve en caleçon devant elle. Je note qu’elle remarque mon caleçon en soie et qu’elle esquisse un petit sourire très discret mais ne fait aucune remarque. Avec mes habits un peu trop chic, mes manières méticuleuses de ranger mes affaires je crois qu’elle me prend pour une tapette. Ca ne me dérange pas, j’aime bien les tapettes  et même si je ne les fréquente pas trop je ne rate pas l’occasion d’une petite aventure avec un joli mignon, surtout bien monté !

 

 

 

 

 

Les séances se déroulent invariablement de la même façon. Elle me mets d’abord des sacs de boues très chaude sur les reins alors que je suis allongé sur le dos, puis elle me fait des massages du dos et des reins avec des crèmes, ensuite je m’assied, elle me masse les épaules et le haut du dos. C’est super et très relaxant, en plus elle est très douée.

 

 

 

 

 

Au fur et à mesure des séances nous lions un peu plus connaissance. Elle me parle beaucoup de son travail, de ses clients, puis de ses vacances, de sa voiture (elle a une superbe SAAB) de son mari aussi qu’elle voit peu à cause de son boulot. Elle n’a pas d’enfants. Elle me parle d’elle et notre intimité grandie peu à peu. Je prends de plus en plus de plaisir à ces rendez vous auxquels je me rends avec impatience.

 

 

 

 

 

Le malheur c’est que le plaisir quand on est en caleçon ça se voit ! D’autant que je m’évertue à mettre chaque fois  un caleçon différent. C’est pas facile car je n’en ai pas des tonnes mais ça me plait et je vais en acheter régulièrement pour  pouvoir m’exhiber chaque fois avec un caleçon nouveau et souvent neuf, bien repassé. C’est devenu un jeu pour moi, un jeu de séduction.

 

 

Elle remarque évidemment le manège d’autant que mon excitation est de plus en plus visible puisque je bande à moitié chaque fois que je me déshabille. Elle fait mine de ne rien remarquer.

 

 

 

 

 

Elle est très douce dans ses mouvements et ses mains sont très douces. Pour me mettre le sac de boue chaude et pour ne pas abîmer le caleçon, elle le descend un petit peu sur les fesses, très délicatement et j’ai l’impression chaque fois un peu plus. Ca l’amuse et moi ça me plait. J’aimerais qu’elle le baisse complètement, avoir les fesses à l’air et qu’elle me les masse….

 

 

 

 

 

Les massages sont si bons que rapidement je me mets à bander systématiquement pendant qu’elle me masse. Comme je suis sur le dos ce ne se voit pas mais quand je me retourne et  m’assied c’est moins évident à cacher !

 

 

 

 

 

Et ce qui devait arriver arriva.

 

 

 

 

 

Je portais ce jour là un caleçon en soie de couleur champagne, un peu juste pour ma taille avec une braguette sans boutons et mon sexe a jaillit de la soie au moment où je me suis redressé pour m’asseoir sur le bord de la table à masser. Elle le voit, sourit sans être choquée et d’une main experte, elle le remet dans le caleçon sans rien dire et commence à me masser les épaules. Le contact de ses doigts sur ma bite est si doux que j’en jouis presque.

 

 

 

 

 

« Allongez vous sur le dos maintenant » me dit elle. Je suis surpris car ce n’est pas habituel. Je m’exécute docilement même si je suis gêné par mon érection, et évidemment, comme je suis toujours bandé, ma bite sort à nouveau du caleçon !

 

 

Cette fois elle ne la remet pas en place mais la prend à pleine main et se met à me branler doucement. Je ne dit rien, ne bouge pas le reste de mon corps, je ferme les yeux et me laisse aller. Elle me masse très bien la bite, comme elle me masse très bien le dos. Je suis vraiment très raide, le gland bien dégagé. Elle se penche vers lui et le prend dans la bouche. Ses cheveux viennent caresser mon ventre.  Sa langue est chaude, véloce, ses lèvres baveuses, c’est délicieux et comme elle continue à me branler sévèrement je jouis très vite alors qu’elle commence à peine à me caresser les couilles. Comme souvent je suis trop bon client et une pipe m’excite tellement que je jouis toujours très vite. Elle prend tout dans la bouche comme une grande tout en continuant de me lécher. On dirait une pro (une pute je veux dire, pas une masseuse). Elle m’essuie avec une serviette qui traîne là et retourne à son bureau, sans un mot, si ce n’est : « C’est fini, vous pouvez vous rhabiller », sans même me regarder.

 

 

 

 

 

Je ne dit rien non plus, je suis un peu sonné et vais m’habiller dans mon coin, un peu gêné mais si bien… Je quitte le caleçon qui est un peu mouillé et je passe un slip qui me maintient bien les couilles et la verge. J’enfile le pantalon de mon costume, il me serre un peu, je le boutonne méticuleusement. je remets ma chemise et mon gilet. Tout ça boutonné serré, bien mis en place. Je fais un joli nœud de cravate, j’aime le contact de la soie sous les doigts quand on fait le nœud et je la fait ressortir un peu du gilet. Je me sens superbe, sanglé dans mon uniforme soyeux d’homme d’affaires. Nous nous quittons simplement, en nous serrant la main, les yeux dans les yeux, comme si rien ne s’était passé mais avec une petite jubilation intérieure

 

 

 

 

 

Je me demandais comment aller se passer la prochaine séance, j’étais impatient et avait un peu d’appréhension. En fait elle se déroula normalement. Ma belle masseuse ne fit aucune allusion à la séance précédente et se conduisit de manière totalement naturelle comme si rien ne s’était passé. Elle était en beauté dans un débardeur en soie verte sur un pantalon de cuir moulant. Cela  me surpris mais je trouvais ça bien. Je bandais toujours autant pendant les massages et j’en attendais la fin avec impatience mais cette fois ci, elle ne fit pas cas de mon érection pourtant bien visible. Elle n’en parut pas choquée non plus. J’étais un peu déçu mais d’autre part je gardais l’espoir que l’incident (comme je me plaisais de l’appeler)  puisse se reproduire.

 

 

 

 

 

Rien ne se passa non plus pendant plusieurs séances consécutives. Nous échangions des banalités, de manière très amicale mais sans aucune allusion lascive, sans jamais aucune allusion à ce qui c’était passé. Je bandais et j’attendais, confortablement au chaud pendant ses massages si doux. Je me disais que quelque chose finirait bien par se passer. Mais rien n’arriva jusqu’à la dernière séance.

 

 

 

 

 

Lorsqu’elle vint m’ouvrir ce jour-là je remarquais bien sur de suite le changement. Aujourd’hui, pas de pantalon sexy, de cavalière avec des bottes à talon mais juste une petite blouse d’infirmière en nylon blanc avec un liseré rouge, un peu trop courte, mais bien boutonnée jusqu’au cou avec de jolis petits boutons recouverts de satin rouge. Et des petites sandales à talon haut. Pas besoin d’être expert pour voir qu’elle ne portait rien en dessous, le nylon un peu transparent laisser deviner de belles formes et les bouts de ses seins pointaient sur le corsage.

 

 

Je n’hésitais pas et au lieu de me présenter en caleçon sur la table de massage je me déshabillais complètement et me présentais à elle entièrement nu, le dard en l’air. Elle m’attendait et nous nous enlacâmmes immédiatement. Elle me pris le sexe dans ses mains et je lui pris ses seins. Ils étaient durs et fermes et glissaient sous le nylon de sa blouse, exactement comme je l’imaginais. Je les palpais si fébrilement que je l’ai eu vite dégrafée. Elle se tenait nue devant moi, offerte. Je me suis mis à la lécher, à lécher ses seins, son ventre, son sexe presque entièrement rasé au goût de mer. Je caressais tout son corps, ses fesses haut perchées, le haut de ses cuisses tendues, son ventre dur et plat.  Elle m’offrit sa bouche, sa langue, ses lèvres et nous nous sommes dévoré l’un l’autre. Nous avons basculé dans l’étreinte et nous nous sommes roulés par terre avec frénésie et avons fait l’amour comme des bêtes déchaînées, comme si nous n’avions pas fait l’amour depuis des années, comme si nous ne devions jamais plus le refaire. Et ce à plusieurs reprises. Je me sentais inépuisable. Cela dura presque deux heures de débordements sexuels. Tout y passa. Devant derrière, dans la bouche partout j’éjaculais et elle me suçait à nouveau pour recommencer. Je m’offris à elle complètement, elle me baisa comme un homme, me défonça le cul avec assurance et dextérité. La jouissance était si forte que j’en pleurais.

 

 

 

 

 

Et tout cela sans un mot. Epuisés, nous avons tacitement décidé d’arrêter. Rassasiés.  Nous prîmes une douche ensemble en un long baiser sur la bouche comme un ultime au revoir. Elle  a disparue dans une pièce à coté et moi, séché, je me suis rhabillé, comme d’habitude dans mon coin, mais ce n’était pas vraiment comme d’habitude…

 

 

 

 

 

Je suis sorti sans la revoir et n’ai jamais cherché à revenir, elle ne m’a jamais contacté. Nous gardons ce moment unique et savoureux au plus profond de nous, comme une pierre précieuse.

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes expériences diverses
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Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 23:13

Ca ne marche pas toujours comme on voudrait avec les putes des fois c’est le fiasco !


Par exemple ce soir là il est 18h30 environ, je fais toute la route à la sortie de la ville à la recherche d'une pute pour me faire sucer et je n'en trouve pas sur mon coté, elles sont toutes de l'autre coté de la route.

 

 

 

Je suis très excité je porte le caleçon noir en soie avec des motifs blancs que j'ai acheté à Carrefour. C'est une taille 2, trop petite pour moi car je porte du  4 normalement, ainsi, il me serre bien les couilles. Il est très doux au toucher et je le le porte depuis 3 jours sans discontinuer. Pour bien mettre ma bite en évidence, j'ai mis sous le caleçon un string en Nylon noir avec des motifs dorés, acheté dans un sex-shop. Il n'a qu'une ficelle derrière qui me rentre bien dans la raie du cul. J'ai mis mon pantalon beige à braguette à boutons ce qui me permet de me caresser en défaisant un seul bouton. Ca m'excite beaucoup en voiture et je n'arrête pas de mettre ma main sur mon gland pour le caresser. Je porte un gilet sans manche en satin écossais dans les tons de rouge, qui me serre la taille de manière obscène: on a l'impression qu'il va éclater si j'éternue ! J'ai une cravate en soie assortie qui sort un peu du gilet, maintenu par une épingle à cravate. J'ai passé toute la journée dans cette tenue au travail et maintenant j'ai envie de concrétiser mon excitation

 

Avant d'arriver à l’endroit qu’on appelle le baisodrome,car il y a toujours plusieurs putes, je vois une fille qui me fait un signe de la tête sur le bord opposé. Elle a un teint un peu basané, des cheveux longs noirs et frisés, elle porte un bustier blanc en satin, très décolleté, qui  lui moule la taille et fait ressortir ces gros seins qu’elle a pratiquement à l’air, un short noir très court et très moulant avec une grosse fermeture éclair dorée en guise de braguette. Je continue jusqu'au prochain carrefour pour effectuer un demi-tour rapide car ma décision est prise: c'est avec elle que je vais aller. Tout en conduisant, je passe ma main dans la braguette ouverte de mon pantalon et je me caresse la bite et les couilles biens gainées dans la soie du caleçon. Mon cœur bat fort et mes mains tremblent.


Avant d’atteindre l’endroit où se trouve la fille, je quitte la route sur la droite et emprunte un chemin de terre qui me permet de la rejoindre par derrière un peu plus loin sans être vue de la nationale. Discrétion assurée. Je m'arrête à dix mètres d’elle. Elle m'a vu et vient vers moi lentement. Je baisse la vitre du coté passager et lui adresse le traditionnel :


- C'est combien?

- Cent francs la pipe ou deux cents francs l'amour. On va dans le petit chemin derrière, on est tranquille. On peut même sortir de la voiture et tu peux me sodomiser si ca te fait envie.


Elle a un accent très désagréable et très sûre d'elle. De  près elle est bien moins jolie et excitante que je ne l'imaginais. Elle est plutôt âgée, 55 ans, un visage ingrat et dur, mais elle a de gros seins qui tombent un peu et qui me font envie.


- Je peux te caresser les seins  pendant la pipe?

- Ah! il faut savoir, si tu touches: c'est 200 francs.


Comme elle voit que j'hésite, elle prend les devants en s'appuyant sur la portière


- Alors c'est bon ? Je monte ?


Je n'ai plus envie d'aller avec elle, elle ne me plaît pas, mais elle a pris l’ascendant et je n'ose pas partir. Elle l'  sentiset ouvre la portière en insistant:


- On y va ?


Je n'ose plus lui dire non, et puis je me suis tellement motivé pour venir que je la laisse monter, elle s'installe sur le siège passager avec son sac, elle se retourne pour m'indiquer le chemin:


- Tu recules et tu prend le chemin sur ta gauche. Alors qu'est ce que tu as décidé ? Tu touches ou pas ?


Je suis intimidé et ne sais pas que répondre. En tout cas je ne bande plus. Je m‘applique à manœuvrer comme elle me l'indique, et  pendant que je me range sur le côté, elle fouille dans son sac pour sortir un préservatif. Elle insiste :


- Alors, on fait l'amour ?

- Non juste une pipe, à 100 francs.

- OK, mais tu touches pas alors ?

- Juste un peu, tu me laisses caresser les seins.

- Comme tu veux, mais si tu touches c'est 200 francs.


Je ne peux lutter, elle a pris le dessus sur moi, j'ai envie de m'enfuir mais elle me domine et je lui obéis. Je lui donne un billet de cent francs qu’elle glisse dans son sac;


- Allez on y va. Défait ton pantalon et baisse ton siège.


Je me déboutonne rapidement et baisse caleçon et string d'un seul mouvement rapide; C’est tout le contraire de ce que j’avais envie de faire. Je voulais qu’elle me vois avec toutes mes soieries et qu’elle me caresse avant de mettre la capote, mais je n'ose pas le lui demander.


Elle me met la capote alors que je ne bande plus et me branle avec deux doigts pour me faire durcir et pouvoir me sucer. Elle est très habile mais je ne me sens pas disposé. Je passe mes mains autour de sa taille et lui caresse les seins. Elle se relève d'un coup:


-  Si tu touches je t’a dit que c’était plus cher. Il faut payer mon chou, sinon faut se contrôler ! Alles aboules 100balles de plus.

J’ai à peine touché mais je n’ose pas la contredire. Je me penche pour aller chercher le billet dans la poche de mon pantalon et je le lui tend

-          C’est bien mon chou.

 

 

Elle ouvre son corsage pour libérer ses seins qui tombent et  se remet à me branler, car je suis toujours mou, mais je me suis tellement excité auparavant, que je ne peux me retenir de jouir au bout de quelques secondes. Fiasco complet. Elle rigole:


- Mais qu'est ce que tu fais, tu vas trop vite !


Je suis honteux. D'un coup, elle m'enlève la capote et  m'essuie avec un sopalin. Je remonte mon pantalon maladoitement en m'arrangeant n'importe comment, je n’arrive pas à reboutonner ma braguette. Tant pis, je la laisse ouverte etje démarre aussitôt la voiture, je veux partir le plus vite possible. Je sens qu'elle me méprise complètement , qu’elle me prend pour un minable  Elle m'embobine pour que je la ramène en ville, à la gare, mais je refuse ce n’est pas mon chemin et je n’ai pas envie que l’on nous vois ensemble, d’ailleurs je ne  veux plus la voir. Mais elle insiste, presque en m'insultant, en me traitant d’impuissant, de pédé…et ne descend pas. Je fini par céder. "Tu es gentil quand même", elle se penche vers moi pour me faire un semblant de baiser sur la joue, mais je me recule, elle me  dégoutte. A peine parti, elle se met à fumer sans me demander la permission et utilise mon téléphone pour téléphoner à une copine à qui elle raconte l’histoire, en se moquant de moi, en m’appelant la tapette….  Elle lui décrit mon habillement avec de grands éclats de rire !

 Je finis par la laisser à la gare . Elle quitte la voiture sans un mot pour moi . Sur la route, j'ouvre toutes les fenêtres et roule à fonds la caisse. Ce n'est déjà plus qu'un mauvais souvenir.


Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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Mercredi 27 décembre 3 27 /12 /Déc 18:43

 

Quelques conseils pour ceux ou celles qui veulent améliorer leur pratique de la fellation.

Pour qu'une fellation soit réussie, le plus important est de penser qu'il s'agit de partager un contact agréable, excitant et que l'on va soi même y prendre du plaisir.

Ce n'est pas un acte auquel on doit se sentir forcé(e), sinon, il sera forcément raté ! Donner une caresse ou un baiser dont on n'a pas envie, cela se sent et ce n'est jamais agréable pour celui qui reçoit !

Aucun homme ou aucune femme ne peut être une "pro" de la fellation en une seule fois et plus de quarante ans de pratique peuvent vous le confirmer.

 

 

 

 

 D'ailleurs, ce n'est pas un but que de vouloir forcément être très au point techniquement car l'effet d'une caresse, quelle qu'elle soit, vient plus de l'émotion partagée que de l'acte lui-même. .. 

 

Alors, pas de complexes, une caresse, même un peu malhabile, mais prodiguée avec le désir de faire plaisir, de découvrir l'autre, sera toujours très appréciée ! Alors n'hésitez pas , lachez vous  et sucez!

 L'indispensable avant de se lancer, c'est une propreté irréprochable ! La plupart des hommes le savent. Sinon, il faut absolument l'y encourager.

 

Pour les premières fois  prendre une douche ensemble avant, et pourquoi pas, commencer par des caresses sous la douche pour le laver dans tous les petits recoins ! Je vous promet qu'il va aimer ca !

 

 

 

 

 

 Commence par y poser tes lèvres, l'embrasser, c'est déjà très excitant, car il réagit souvent à ces contacts par une érection plus affirmée. Vous devez le sentier se durcir dans la main et sous la langue...

 

 

 

Ce n'est pas forcément la peine d'aller plus loin pour un début si vous ne le sentez pas encore Bien sûr, il en désirera sans doute plus, mais l'attente de caresses plus poussées stimulera à la fois son désir et son plaisir.

 

 

 

Alors, pourquoi te forcer à aller vite si tu t' en sent pas capable ! Laisse les choses venir progressivement, et vos envies vous guider !

 Sur le pénis, les endroits à embrasser, câliner ou titiller, sont divers. Le plus réceptif est bien sûr le gland, zone de muqueuse rose et très riche

en capteurs de plaisir. Et l'hyper sensibilité se situe au niveau de la couronne du gland, ce pourtour qui le sépare de la tige du pénis, et sur le frein. C'est là que tu peux insister pour lui donner encore plus de plaisir. Une fellation mime un rapport sexuel de pénétration. Il s'agit donc de prendre le pénis dans la bouche, et de reproduire les mouvements de va-et-vient du rapport sexuel classique.

 

 

en capteurs de plaisir. Et l'hyper sensibilité se situe au niveau de la couronne du gland, ce pourtour qui le sépare de la tige du pénis, et sur le frein. C'est là que tu peux insister pour lui donner encore plus de plaisir. Une fellation mime un rapport sexuel de pénétration. Il s'agit donc de prendre le pénis dans la bouche, et de reproduire les mouvements de va-et-vient du rapport sexuel classique.
 L'essentiel est de ne pas se servir des dents  (aie), mais d'y mettre beaucoup de douceur (encore).

 Le mouvement peut être rapide ou lent, profond ou plus superficiel.

 Pour cela, l'idéal est de lui demander ce qu'il préfère. En effet, certains hommes préfèrent la lenteur, et d'autres la vitesse.

 Certains préfèrent les pressions appuyées d'autres la légèreté et même les dents… Cela dit, tu  peux aussi faire preuve d'inventivité et suivre votre inspiration du moment .

 

 

Serre bien la tige lorsque tu le branles, en général ils aiment bien ca et lèche la jusqu'aux couiles que tu caresseras doucement. La peau des couiles est très douce c'est agéable surtout s'il se rase. Tu peux les gober aussi en aspirant

 L'idée d'avoir du sperme dans la bouche peut faire rêver… ou cauchemarder ! Si cela ne te dit rien, ne te sent pas obligé. Cela aurait pour seule conséquence de vous faire fuir à l'idée d'une fellation.

 On peut toujours se retirer à temps, mais son plaisir sera moins fort. tu peux aussi très bien le laisser éjaculer et recracher… ou bien le laisser éjaculer sur ta figure, c'est pas très génat et souvent ca lui fait plaisir, tu peux même lui demander de te lecher ensuite !

Chaque sperme a un gout différent, n'avale que ceux que tu aimes et recrache les autres, il doit pas y avoir de loi.

 

 

 

 

 

Cela dit, le sperme n'est ni sale ni dangereux (attention au sida). En effet, il existe un risque de transmission du virus par un contact entre sperme et intérieur de la bouche. Quand tu n'est pas sur(e) la seule solution c'est le  préservatif. On s'y habitue très vite , y en a pour tous les gouts.

Et maintenant quelques figures

 

La  Gorge Profonde

 La notion de gorge profonde à été rendue populaire par le film du même nom, ou l'actrice avale un sexe entier sans avoir l'air incommodée.

 On est en droit de se dire: "il y a un truc". Il n'y a pas de truquage sur la vidéo mais il y a bel et bien un truc pour réussir à prendre un sexe en entier dans sa bouche.

 Rappelons avant de commencer que chacun a une morphologie différente, et qu'il sera ainsi impossible pour certain de réaliser cette prouesse technique. De la même façon, il sera plus facile et plus rapide de l'exécuter pour certain(e)s.

 

 

 

 

 

 

 


Le Principe de la Gorge Profonde est simple: il réside entièrement dans l'entraînement, ou plutôt dans la désensibilisation. En effet, on sait tous que quand on enfonce quelque chose trop profond dans notre gorge, on a comme un spasme de réflexe.

 Voici la méthode qui permet d'éviter ces spasmes:

 

 


Il vous faut tout d'abord bien saliver sur la verge de votre partenaire (pour qu'il soit bien lubrifié). Gardez un peu de salive en bouche.  Prenez une grande respiration (car une fois le sexe de votre partenaire au fond de votre gorge, vous ne pourrez plus de faire!), puis prenez le sexe dans votre bouche. Mettez-le assez profond, puis avalez la salive qui restait dans votre bouche.

 Ainsi, les spasmes seront évités, et le pénis sera comme aspiré. Ne l'enfoncez pas trop dés la première fois, faites le progressivement mais il est important de le faire plusieurs fois à chaque fellation car vous "progresserez" ainsi plus vite.

 A force d'entraînement, vous n'aurez plus besoin de suivre cette procédure, ça coulissera tout  seul et votre partnaire aura l'imression de faire l'amour dans votre bouche.         

 

 

 

 

 L'Imaugutation

 

 La main saisit la verge et les lèvres ouvertes la frôlent . Il y a un minimum de contact, juste un frolement. On peut arriver à faire jouir ainsi son partenaire

 

 

 

 

 

 

Le mordillage

 les baisers et les dents (attention pas trop fort !!!) courent le long de la verge et sur les couilles, la main couvre le gland et le serre bien fort.

 

 

La pression exterieure

 les lèvres remontent sur le gland et aspirent légèrement sans l'absorber entièrement

 

 

La pression interieure

 les lèvres descendent, gardant la verge entre elles pour l'absorber entièrement et commencent le mouvement de va et vient. Les lèvres comme un vagin.

 

 

 Le baiser

 la verge dans la main, les lèvres embrassent l’extrémité du gland comme une lèvre inférieure, par petites succions

 

 

 

 

La langue habile  

 la langue lèche la verge sur toute sa surface en insistant sur le gland tandis que la main fait les mouvements de va et vient sur la berge, les couilles , le bas du ventre et le bas des fesses

 

 

 

La succion de la mangue

  la bouche aspire la moitié de la verge et la serre très fort.

 

 

La caresse peut être doublée par un doigt dans l'anus.

La promesse

 la bouche avale la verge en descendant le plus bas possible et le va-et-vient va et vient jusqu’à l’orgasme.

 

Voila c'est quelques suggestions mais j'attends vos avis 

 

 

 

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Introduction et généralités
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Lundi 16 octobre 1 16 /10 /Oct 17:03

Cette fois c’est elle qui avait décidé du jour de l’heure et de  mon habillement.

 

 

 

Je devais y être à 14h avec un pantalon et un gilet de cuir. 

Evidemment je n’avais pas ça chez moi, on est plutôt BCBG dans la famille. Moi je suis toujours en costard trois pièces et ma femme en tailleur et chemisier de soie. Les quelques fantaisies que je me permettais à l’époque c’était de jolis gilets en soie que je mettais pour travailler, quelques chemises aussi, je gardais les chemises en satin pour aller voir les putes ou pour sortir en boite avec ma femme ou une amie. Et puis je piquais les dessous à ma femmes  qui me laissait faire, mais je m’en achetais spécialement aussi pour moi. Comme nous faisions chambre à part nous avions chacun notre penderie et ne mélangions pas nos affaires. 

 

Je suis donc allé m’acheter un pantalon en cuir. C’était très excitant, j’avais l’impression de m’encanailler.  j’avais mis un string minuscule pour les essayages. Et des essayages il y a en eu ! J’aurais essayé tout le magasin si j’avais pu ! Chaque pantalon que j’enfile me fait bander un peu plus et cela se voit de plus en plus. Cela amuse la vendeuse qui a repéré le manège, mais peu lui importe puisqu’elle veut faire la vente. Elle a compris ce que je cherche : un pantalon qui me moule bien même s’il n’est pas très confortable. Elle a compris que ce n’est pas pour faire de la moto mais uniquement pour des jeux sexuels. Elle me trouve exactement ce qu’il me faut un modèle en veau très fin, marron foncé qui monte très haut à la taille, avec un triple boutonnage à la taille et une braguette zippée. En fait c’est un modèle pour femme mais il me va très bien. Ma bite et mes couilles sont bien mises en valeur, c’est très indécent. Le bas du pantalon est serré, elle me marque l’ourlet, il sera prêt pour le mardi soir, c’est parfait pour mon rendez vous. Pour le gilet on va plus vite on en trouve un , avec 7 petits boutons nacrés,  dans les mêmes tons avec un dos satiné, il est un peu trop court pour être bien serré, mais ce n’est pas grave car le pantalon monte haut. La vendeuse me prend pour un tordu total mais je m’en branle (au propre comme au figuré). 


  Le mercredi je suis prêt. Je me change dans la voiture, ce n’est pas commode mais j’ai l’habitude. Je ne mets pas de slip comme elle me l’a demandé ce qui n’est pas très facile avec ce pantalon très moulant , en fermant la fermeture éclair de la braguette, j'ai peur de me faire mal... Ca serait bête à cet instant ! Je complète le déguisement avec un chemise en satin noir aux manches bouffantes et comme chaussure une paire de bottes en cuir que j’ai retrouvée . J'enfile enfin, par dessus tout ça, le petit gilet en cuir qui m'emprisonne délicieusement. Le seul fait de le mettre commence à me faire bander

Sans culotte j’ai du mal a positionner mon sexe dans le pantalon je fini par le mettre sur le coté comme les toreros, ce qui le fait durcir encore plus.


Je sonne à la porte dans cet accoutrement, à 14H précises. Elle prend mon nom à l’interphone et met un moment à venir m’ouvrir. C’est pas dans son habitude, je plante devants la porte d’entrée dans la rue avec des gens qui me regardent un peu intrigué. Je comprends qu’elle le fait exprès, comme une épreuve supplémentaire. Tant pis je tiendrais le coup et a vrai dire ça m'excite un peu plus! 

Elle finit par venir m’ouvrir, elle porte une mini combinaison en latex rouge , très courte, zippée sur le devant, les seins comprimés et pratiquement à l’air et des bottes noires à hauts talons 

 

« Tu as 2 minutes de retard ce n’est pas bien, excuses toi » . C’est la première chose qu’elle me dit en fermant la porte  

« Je m’excuse maîtresse »  

« C’est pas suffisant, mets toi à genoux et embrasse moi le petit minou » 

Je me mets à genoux devant elle, elle remonte la fermeture éclair de sa robe juste assez pour dévoiler son sexe, mais la robe est si courte que cela ne serait pas necessaire. Elles est parfaitement rasée et sent très bon. J’embrasse doucement ses lèvres et son clitoris puis je le lèche, à petits coups de langue . Elle me presse le visage dessus en m'appuyant sur la nuque 

 

« Promet moi de ne plus jamais être en retard quand je te donne un rendez vous »  et elle me tire violemment les cheveux, j'en ai les larmes aux yeux

« C’est promis »  j'arrive à marmonner en me remettantr à la sucer.

 « C’est promis qui ? » elle me dit en me tiant de nouveau par les cheveux et en me mettant une gifle de son autre main

« C’est promis maîtresse » et vlan une autre gifle

« C’est bien ,relève toi et montre moi un peu ce beau pantalon. Tu l’as bien choisi, il te serre bien, mon salaud !» Elle me caresse les fesses et la bite à travers le cuir. Je bande encore plus. 

« Tu m’as l’air en forme aujourd’hui, c’est le cuir, c’est normal je savais que tu aimerais ça, c’est pour ça que je te l’ai fais acheter. Tu es maso, tu aimes être contraint, par les habits par les femmes, avec moi tu vas te régaler ! C’est pas ta femme qui te donnerais de tels conseils, hein ? Qu’est ce qu’on dit à Martine ? »

  « Merci maîtresse Martine ».  Bang une autre gifle.  

« J’ai dit qu’on m‘appelai maîtresse, pas maîtresse Martine «  

« Bien maîtresse »  

« Assied toi sur le lit  et lèche moi encore, petit salaud «   

Je m’assied et elle se met devant moi en me tournant le dos pour me présenter ses fesses que je me mets immédiatement à sucer et a embrasser.  

  "Pas que les fesses!  le trou du cul aussi »

Elle se penche en avant, écarte les jambes et recule vers moi pour bien me présenter son petit trou rosé. Je suis un peu étonné je n’ai pas trop l’habitude de faire une telle chose mais je n’ai pas le choix. Ca ne sens pas mauvais, elle est très propre et a du se parfumer avant. J’y vais de bon cœur et y prend vite plaisir. Elle a des fesses dodues et fermes avec une raie bien marquée. Je fourre mon nez, ma langue, elle a l’air de beaucoup s’amuser !  

Pourtant elle me dit:« Allez, fini de s’amuser on passe aux choses sérieuses »

Elle se relève, ouvre entièrement sa robe pour libérer ses seins et elle me les passe sur la figure, en se caressant le bout sur le cuir de mon gilet. Je comprend qu’elle est fétichiste du cuir comme moi je le suis de la soie et du satin.

« Mets toi debout et penche toi en avant que je puisse fesser ce  joli cul en cuir »

Elle sort une verge et commence à frapper. Les coups sont amortis par le cuir mais la douleur est quand même forte. J’accuse le coup, elle le voit, mais continue et frappe de plus belle. 

« Mais dis donc tu vas pas pleurer  pour une fessée petit salaud, dis plutôt merci ! ».

« Merci maîtresse »

Ca a du mal à sortir mais quand ça sort quand même. C’est jouissif. Elle continue un peu plus fort encore, un peu plus vite. Je ne sens plus mes fesses. C’est ça le masochisme : prendre plaisir alors qu’on a mal et qu’on voudrait arrêter et dire encore .

« Encore maîtresse, s’il te plait »

« Tu n’as pas droit de demander c’est moi qui décide ici, retourne toi »  

Elle a sorti le martinet maintenant et me flagelle les cuisses et les flancs et le sexe en érection. Ca fait très mal, c’est cuisant. Je me protège en tombant à genoux, ça l’énerve, elle se met à me flageller violemment le dos, je finis par m’étaler sur le ventre, elle me donne des coups de talons sur les fesses et dans les reins, elle semble prise d’une cris d’hystérie je prends peur et me recroqueville  

D’un coup elle s’arrête, elle s’accroupie à coté de moi, me prend dans ses bras  et me retourne.

  « Voilà c’est fini ma petite lopette, ça fait mal mais tu aimes ça quand meme . Tu verras, bientôt tu ne pourras plus t'en passer et tu en redemanderas.  Tiens, pour l'nstant, tête ces belles mamelles » et je me mets avidemment à lui sucer les seins. Elle s’allonge à l’envers de moi et défait mon pantalon. Elle a du mal tant il est serré. Elle prend son temps avec les boutons,  elle en profite pour me caresser, manifestement ça lui plait le cuir ! et c’est tant mieux pour moi, j’ai un peu de repis. Quand elle y arrive enfin mon sexe jaillit comme un guignol de sa boite.

  « Olé ! en voilà un bien en forme », elle l’encapuchonne d’une capote qu’elle sort de je ne sais où et commence a me sucer. En même temps elle a bien pris position sur moi pour mettre son sexe sur ma figure et comme la semaine dernière je me mets à la sucer comme un goulu. Elle y prend assez de plaisir pour me laisser faire alors qu’elle arrête de me sucer. Elle est rrès mouillée et elle m'inonde le visage. 

« Allez à quatre pattes maintenant ! On va prendre dans le cul ! Baisse ton pantalon que je prenne un godmichet !" . elle me donne des tapes sur la queue puis sur les fesses

 Elle se relève pendant que je me mets à quatre pattes et sort d'un tiroir de sa commode un gode ceinture en latex bleu foncé. Il me semble énorme mais je ne dis rien. Elle le fixe rapidement autour de sa taille et vient fièrement de planter devant moi en me tendant une capote.

« Allez enfile la capote et suce le gode avant que je t’enfile moi »

J’obéis fébrilement, le contact du gode sur mes doigts m’excite, j'en tremble mais j’y arrive quand même rapidement. Elle le relève « Bravo, mon petit enculé, on voit que tu as l’habitude d'encapuhoner des bites, allez lèche maintenant ! ». Elle enfonce le gode dans ma bouche, avec douceur, et je me mets à le pomper comme si c’était une vraie .

-"Tu aimes ca, petit salaud !"

C’est vrai j’aime ça, je lui caresse les fesses en même temps  , elles sont douces et fermes je me remets à bander. Elle s'ennuie rapidement… 

- " Allez, on passe aux choses sérieuses  maintenant."

Elle m’enlève brutalement le gode de la bouche et me dit :

- "Mets-toi à quatre pattes sur le lit pour être à la hauteur et cambre toi bien que je puisse t'enfiler facilement"

Je m’exécute immédiatement. J’ai encore le pantalon en cuir aux chevilles qui me gêne mais je n’aie pas le temps de l’enlever. Elle m’enduit le trou du cul de lubrifiant et d’un coup, à la hussarde, m’encule avec cet énorme gode.  Je ne peux retenir un cri de douleur mais en même temps une onde de plaisir part de mes couilles jusqu’au bas des reins. Elle est couchée sur moi, elle me ramone violemment, comme si c’était un mec, tout en en me branlant la bite et me serrant les couilles. Cela ne dure que quelques minutes mais j’ai l’impression que cela dures des heures. Je jouis longuement, en gémissant, entre douleur et plaisir intense. J’en pleure.

Elle s’arrête aux derniers soubresauts de mon orgasme et sort d’un coup le gode. Je m’affale sur le lit, le satin des draps est frais. Je m’abandonne. Elle ne dit rien pendant un moment, je ne bouge pas, j’ai mal au cul mais suis parfaitement rassasié.

Je l’entends qui va et vient, ranger son matériel. Elle revient avec un linge humide pour m’essuyer le cul.

- " Tu saignes un peu, c’est normal tu n’a pas l’habitude d’aussi gros engins, les petites tapettes ou les travelos avec qui tu vas ne sont pas aussi bien montés ! Mais tu verras tu t’y feras !"

Je me retourne sur le dos, les jambes biens écartées pour qu’elle puisse bien m’essuyer. Je suis épuisé, endolori de partout sans aucune initiative. Elle s’en aperçoit. Elle a revêtue un petit déshabillé en satin vert amande, elle est toute douce. Elle me fais m’asseoir sur le bord du lit et se tient droite devant moi, le sexe à hauteur de ma tête.

-" Tu as pris beaucoup de plaisir, alors lèches moi maintenant, il faut que tu me fasses jouir avec ta langue."

Ce que je fais sans rechigner, longuement, en m'appliquant pour la faire jouir, ce qui ne tarde pas. E lle presse sons sexe contre ma figure, j'enfonce ma langue dans son étui humide.. Elle est à nouveau très mouillée et brulante, elle ruisselle dans ma bouche et sur ma figure. Elle sent bon, c'est délicieux. Elle a un long orgasme pendant lequel je n'arrete pas de la lecher. Elle fini par me repouss et s'éloigner de moi

-"Allez , ca suffit, va te laver"

Je vais dans la salle de bain faire un brin de tilette et me rhabiller. A mon retour dans la chambre, elle est redevenue la maitresse. Elle a remis sa robe en cuir et ses bottes. Elle a le regard dur. Elle s'approche de  moi et me gifle violemment à plusieurs reprises.

-"je ne t'ai pas entendueme dire merci!"

-"Merci maitresse" ?"

- "merci de quoi?" et je prends deux autres aller  retour, j'ai les joues en feu et la bite qui durci.

-"Merci maitresse de m'avoir laissé te lècher et te faire jouir"

-"c'est bien, tu vas devir un bon soumis. Reviens jeudi prochain à la même heure, avec tes habits de tapette mais je veux que tu portes aussi des sous-vêtements de ta femme.. Un soutien gorge, une culotte et un porte jarretelles avec des bas noits. je te donnerai une vraie bite à sucer pendant que je t'enculre. maintenant dépêche toi de partir , j'ai un autre client que je veux pas que tu ren contres encore.

Je suis parti sans voir personne, complètementretournée par cette seance. autant dire que je ne suis pas retourné travailler dans cet état.Je suis allé faire un tour en voiture puis suis rentré tranquillmeent chez moi

 C’e était la première fois que je faisais jouir une pute. Mais à partir de ce jour là, ce n’était plus une pute, c’était devenue ma maitresse à laquelle, pendant des mois, j’allais être  totalement dévoué.

  Mais ceci est une autre histoire qui ne fait que commencer...

 

( A suivre )

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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Mercredi 16 août 3 16 /08 /Août 16:02

La troisième fois que suis allé chez elle, je lui ai amené une guêpière, moitié dentelle, moitié satin noir que j’avais acheté spécialement pour elle. J’avais pris beaucoup de soin à la choisir et j’espérais avoir pris la bonne taille. Je m’étais habillé comme d’habitude pour aller voir une pute, un peu tapette, avec porte jarretelles et bas, string en soie, chemise en satin et gilet en soie. J’avais laissé ma braguette ouverte avec le paquet bien en valeur, pour qu’elle puisse y mettre la main quand je rentrerais.


Elle est venue m’ouvrir à peine j’avais sonné. Elle m’attendait, j’avais annoncé ma venue par téléphone.  En entrant dans le vestibule, elle ne me mis la main dans la braguette  que furtivement, sans trop appuyer sa caresse comme je l’aurais souhaité, mais elle l’a fait quand même ce qui montrait qu’elle avait bien intégré mes habitudes et mes manies. Une vrai pro. (Il y a des filles qui notent tout sur leur client à chaque passe  ce qui leur permet  d’être en phase avec eux à chaque coup, j’ai eu l ’occasion de lire une de ces carnets. J’aime assez cette idée. Mais à vrai dire ce n’est pas du tout son cas, elle le faisait sans note, preuve peut être qu’elle n’avait pas trop de clients). Comme j’insiste, elle remet la main et sa caresse plus insistante me fait déjà bander. Ca l’amuse.

" - Tu as mis une belle culotte aujourd’hui  ! C’est pour venir me voir que tu t’es fait beau ? " 

" - Bien sur, mais c’est pas une culotte, c’est un string ! "

" - C’est vrai que tu aimes porter des strings, moi ça m’énerve, ça me gène dans la raie du cul, je préfère ne rien porter ! "

Elle retire sa main de la braguette, me donne une tape appuyée sur les fesses et remonte sa jupe pour bien me montrer qu’elle ne porte rien. Elle a toujours sa petite jupe en latex et un haut moulant assorti, très décolleté. Elle est fier de ses seins et aimes les montrer aux clients. C’est bien. Ils ne sont pas très gros mais bien  fermes. J’aime les caresser. A peine entrés dans la chambre, je lui donne le paquet contenant la guêpière que je lui ai acheté  et les billets de notre passe.

" - Super un cadeau supplémentaire aujourd’hui ! " 

 Elle sort  la guêpière du sac. Elle a l’air de lui plaire…

 " - Tu veux que je la mette de suite ? "

 

 

 

 

" - Bien sur "

Elle se déshabille rapidement : dégrafe son haut et laisse tombe sa jupe, elle est toute nue.  

" - Tu veux que je mette des bas aussi ? " 

"  - Oui ".

Je ne suis pas très loquace car je suis intimidé. Je pose ma veste sur une chaise,  reste en gilet pour l’aider à agrafer la guêpière.

 " -  Ah! tu veux le faire !....."

 

" - Oui " je suis un peu fébrile et j’ai du mal à attacher toutes les agrafes. Elle s’impatiente un peu .  

" - Tu n’es pas trop habile " 

" - C’est surtout que je suis trop excité ! " 

Elle rigole! La guêpière lui va à merveille , elle lui serre bien la taille et les reins dans un fourreau de satin et ses seins sont bien mis en valeur. Elle lui plait et me le dit :  

"  - Déshabille toi pendant que je passe mes bas " 

Je baisse mon pantalon et je reste comme ça. Je lui demande de ma caresser dans cette tenue dès qu’elle a fini de passer ses bas. Elle le fait pendant deux ou trois minutes mais ça ne lui plait pas trop et me demande rapidement de l’enlever.  

Pendant quelle me mets la capote, je la caresse dans sa belle guêpière et ça me fait de l’effet. Elle a juste à me caresser un peu les couilles pour que je bande fort. Elle s’amuse prend ma bite à pleine main et la tire vers elle je suis déséquilibre et je tombe sur elle  sur le lit elle me fait me retourner sur le dos et commence a me sucer avec application.  

«  - Pas si vite je veux pouvoir te caresser encore « 

  Elle me laisse me redresser elle est debout entre mes jambes et je lui embrasse les seins à travers le fin tissus de la guêpière .

 

"  - Tu veux un doigt ou le gode ? " 

" - Je préfère que tu commences par un doigt «  

J’ai a peine dit ça qu’elle m’enfonce  son majeur dans le cul. Je ne peux réprimer un petit gémissement de douleur .  

" - Tu n’aimes pas comme ça ? " 

Elle insiste encore un peu.  

« -  Non, mets du lubrifiant s'il te plait! »  

Elle le retire, enfile une capote au bout du doigt, met une grosse larme de vaseline et recommence. C’est mieux. Elle bouge son doigt dans mon anus et je suis presque prêt à jouir.  

" - Doucement ça va trop vite "  

Elle continue quand même.  

" -  Il faut arrêter de me donner des ordres, ici c’est moi qui commande. Mets toi à quatre pattes sur le lit"  . 

Je m’exécute .  

" - Baisse la tête, appuie toi sur les coudes, remonte bien ton cul "   

Je fais exactement ce qu’elle me dit. Elle a sorti son martinet et commence à me donner la fessée. Ca fait mal, j’ai la tête dans le dessus de lit en satin, mon petit gilet me serre et j’ai chaud. Je ne le lui dît pas car la fessée est délicieuse mais elle le voit . Elle s’arrête.  

"  - Ca va ? Tu as bien pris cette fois ! Respire ! "

 Je me redresse échevelé. J’ai les fesses en feu. Elle me passe une pommade rafraîchissante . C’est délicieux. Quand elle a fini, je m’assied sur le lit. Elle me pousse d’un coup d’épaule pour que je m’allonge sur le dos. D’un mouvement leste elle grimpe sur le lit, a l’envers de moi et s’accroupit à la hauteur de mon visage comme si elle allait pisser.

 

 «  - Tiens pour te rafraîchir, lèche l'abricot maintenant. " 

Et elle s’assied sur mon visage. J’ai les lèvres de son con sur ma bouche. Elle sont humides que les suce goulûment . 

" -  Allez va y mets la langue »

 Je sors la langue et l’engonce au maximum dans son con. J’’aime le goût de son suc qui me dégouline sur tout le visage. Pendant ce temps, lentement elle m’a saisie la bite et la branle . Elle se tortille sur mon visage, j’ai du mal à respirer et plus elle bouge plus elle me branle. Elle s’allonge sur moi, en 69 et se remet à me sucer. Et à me branler le cul avec son doigt. Elle me serre maintenant la tête entre ses cuisses.

 C’est trop , je jouis longuement, elle se trémousse toujours, je comprends qu'elle aussi elle est en train de prendre son pied . Mais elle n’en dit rien, bien sur.  

 

 

«  - Tu as aimé mon chou ? En tout cas c’est bien, tu as été docile. La prochaine fois je t’enculerais avec le gode ceinture , OK ? Pour l’instant va sous la douche.» 

 

Je suis trempé de sueur, ma chemise en satin et mon petit gilet sont dans un drôle d’état. J’enlève tout ça avec plaisir ainsi que ma capote pleine de sperme et vais rapidement prendre une douche comme elle me le propose.

 

«  - Et n’y reste pas une heure, j’ai un rendez vous qui arrive. Faut que je me prépare , Je dois me déguiser en infirmière pour jouer au docteur avec lui tu vois le genre ! »  

Je vois le genre.. .

  

Quand je sors, je vois qu’elle a déjà quitté et rangé la guêpière et enfilé un peignoir en soie.. . 

« - Rhabille toi vite pendant que je prend la douche. »  

Je m’habille tant bien que mal, mais je suis un peu fripé, moins fringuant qu’en arrivant. Je met ma veste sur une chaise et je l’attend dans le salon.  

Elle revient très vite, elle est nue avec des babouches à hauts talons. Elle porte les habits de l’infirmière dans ses mains : une petite blouse en nylon très fine et courte, boutonnée sur le devant avec une petit ceinture. Tout ne me parlant elle s’habille.  

« -J'ai compris que tu était maso et un vrai soumis. Tu vas oprendre ton pied de cette façon.Tu es prêt à devenir une vrai lopette, c’est bien. C’était une première séance de domination et tu as bien réagit. Tu aimes ça,  ca se vois! Je vais devenir ta maîtresse et tu sera mon esclave.  A partir de la prochaine fois on commence le dressage. OK ? »  

« - OK, ça marche. »  

Je suis un peu surpris du ton mais la sensation de domination est plaisante. Tout en finissant de passer sa blouse, s’est approché de moi. A peine ai-je fini de répondre qu’elle me flanque un aller retour cuisant qui me surprend.  

«  A partir de maintenant tu dis oui maîtresse, pas Ok, Ok ?. Elle me re-flanque un aller retour. Ca fait mal, mais j’ai la bite qui se durcit quand je lui dis :  

« - Oui maîtresse !»  

« -Voila c’est mieux, et ferme ta braguette avant de partir , tu ne l’ouvriras que quand je te le dirais ». Elle joint le geste à la parole et reboutonne habillement ma braguette.

"  - Bien tu reviens mercredi prochain, à 14H. Je veux que tu portes un pantalon et un gilet en cuir . Pas besoin de culotte et de tout le tralala, je vais te défoncer le cul. "

 « Oui maîtresse »

 « - Maintenant il faut que tu files avant que l’autre pignouf arrive, mais avant fais un bisou au petit jésus"  Elle m’attrape par les cheveux , m’oblige à me baisser et appuie ma tête contre son sexe pour que je l’embrasse. Ce que je fais à pleines lèvres. Elle me repousse rapidement, me donne une grande tape sur les fesses : « Brave petit, mais c'est qu'il serait prêt à remettre ça, la petite salope! »  

 

 

On sonne à la porte. Je vais dans la chambre le temps qu’elle aille ouvrir et qu'elle fasse entrer le client dans le salon, puis elle revient me chercher pour me faire sortir. Je lui demande si je peux rester, en me cachant, pendant qu’elle fait sa passe pour regarder. Elle hésite, ça l’amuse un peu, mais elle juge que c’est trop risqué si le cleint s’en aperçoit, elle me dit qu'on verra ça une autre fois et qu'elle pourra organiser des trrucs avec certains de ses clients.

Je me retrouve dehors en ayant oubié ma veste, avec ma chemise en soie toute trempée et mon gilet tout fripé. J’ai un peu honte, je me dépêche de rejoindre ma voiture.  

J’ai hâte d’être à la semaine prochaine

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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Lundi 7 août 1 07 /08 /Août 19:33

...

 

 

C’était pas du tout mon genre, la femme de mon beau-frère mais tout arrive quand on en a envie. Elle était plutôt du genre maigrichonne, la quarantaine, avec une toute petite poitrine, blonde avec des cheveux courts un fort accent de Toulouse, assez vulgaire en fait toujours a faire attention a ce qu’elle se mettait pour s’habiller des trucs à la mode qui ne lui allient pas très bien, mais assez sexy quand même car elle avait de grandes jambes assez jolies. Elle avait surtout une sacrée habitude de se balader toujours dans la maison en culotte et soutien gorge, été com me hiver pour ne pas abîmer ses fringues et surtout pour montrer sa belle lingerie elle avait toujours des coordonnées charmants et qui ne me laissaient pas indifférent moi alors que tout le monde semblait s’en foutre car il y était habitué. Par tout le monde j’entends son mari, un gros beau de gauche qui se croyait psy, son fils, un ado de15 ans un peu efféminé, sa belle mère et ma femme. Ils venaient tous les 3 passer les week-end chez ma belle mère et nous vivions les uns sur les autres lorsque nous y étions ce qui était assez fréquent car on avait pas un sou et c’est elle, ma belle mère, qui nous entretenait.

 


  Moi je suis un fou de lingerie fine, je l’ai déjà dit, et j’obligeais ma femme à en porter tout le temps bien que ça ne soit pas son genre et j’étais ravi de trouver une femme qui s’exhibait ainsi en toute simplicité. J’avais vingt ans et une pêche pas possible pour toutes les affaires du sexe. Ma femme ne me suffisait pas j’étais toujours à la recherche d’aventures avec des femmes ou même des hommes, souvent des prostituées déjà. Pour s’exhiber elle n’avait pas peur, l’été ils allaient à la plage naturiste. elle s’épilait entièrement ce qui dans la famille était extraordinaire mais ce que j’appréciais fort. Elle passait la moitié de son week-end à s’occuper d’elle dans la chambre, dans la salle de bain, dans le séjour. On tombait toujours sur elle en culotte entrain de faire un traitement sur une partie de son corps.

 

Je me suis mis à la draguer en douceur  par exemple en prenant régulièrement sa défense  quand elle était critiquée ce qui était tout le temps le cas car elle était un peu bête et son mari et ma belle mère n’arrêtaient de la mettre en boite ou de se foutre d’elle. Du coup elle était contente d’avoir quelqu’un qui pouvait l’aider et moi j’en rajoutais tout en finesse pour pas que cela soit trop voyant.


 Je me suis intéressé peu à peu à ce qu’elle faisait au boulot, à ce qu’elle portait et nous avons ainsi acquis un peu d’intimité.  Nous parlions chiffons, je lui racontais ma passion de la lingerie et je lui montrait que j’en portais, ce qui l’étonna dans un premier temps puis  l’amusa à tel point qu’elle me faisait cadeau discrètement de culottes en satin qu’elle achetait spécialement pour moi et qu'elle portait quelques jours avant de me les donner. Chaque fois qu’il m’était possible je la frôlais ou faisait des allusions un peu coquine qui parfois la troublait un peu et ça se voyait.

 

 

Avec ma femme j’avais un comportement très machiste et provocateur. Je la caressais sans vergogne devant tout le monde, lui mettais la main au fesse ou lui caressais les seins. Elle se laissait faire mais j’étais particulièrement entreprenant lorsque nous n’étions que tous les trois.  Au début elle était gênée, puis  peu à peu j’ai compris que ça l’excitait. Mon but était atteint.

 

 

  Je bande facilement et ça ne me gène pas de le montrer. J’aime m’exhiber dans des jeans très serrés ou de me balader en culotte trop petite pour tout contenir (souvent je mettais les culottes de ma femme ). Nous habitions tous dans un petit appartement très cosy  et je faisait en sorte  de la croiser lorsque je sortais en peignoir de la salle de bain par exemple et de le laisser s’entrouvrir. Je m’aperçu qu’elle le guettait et n’en perdait pas une miette tout en faisant emblant de ne pas y toucher.


Ce petit jeu ne faisait que s’accentuer et ce qui devait arriver arriva.

 

 

Un jour nous ne sommes que tous les deux dans l’appartement, le reste de la famille est allé faire des courses.  Elle fait sont lit, en culotte et soutien gorge de satin violet, très impudique comme d’habitude, mais plus que d’habitude puisque nous ne sommes que tous les deux. Je sors de la salle de bain à poil je  bande comme un âne. Je rentre dans la chambre, elle ne m’entend pas. Je mets ma queue entre ses cuisses et ma mains dans sa culotte. Elle est mouillée, ce qui veut dire qu’elle attendait ce moment , m’avait peut-être entendu et qu’elle était consentante. Effectivement elle se laisse faire et pour mieux se présenter, elle se baisse et prend appui avec ses bras sur le lit. Elle ne s’est toujours pas retournée. Je caresse sa chatte rasée et toute gluante. ‘est sacrément érotique une chatte rasée de frais J’écarte le petit bout de satin de son slip et la pénètre profondément, d’un coup sec comme un beau sabreur que je m’imagine être. Je me mets immédiatement à la limer, avec force, presque sauvagement tant j’ai les couilles pleines. Elle jouit après quatre ou cinq aller retours, en poussant comme une sorte de râle. C’est étonnant et ça ne me satisfait pas car maintenant elle est trop mouillée et je ne sens plus rien. Aussi, je me retire, la fait asseoir sur le lit et lui mets ma queue dans la bouche pour qu’elle me pompe. Elle ne rechigne pas,  elle le fait  même avec application mais sans brio, c’est le moins que l’on puisse dire ! Ce n’est pas une professionnelle de la pipe malgré sa bonne volonté ! Je lui demande de bien me serrer le plus fort possible et de bien me caresser les couilles. Je la sens fébrile, elle a du mal, et moi je bande de plus en plus, cela devient douloureux. Je préfère prendre les choses en mains, (si l’on peut dire !). Je passe ma main derrièr e sa tête, je la presse fortement vers moi pour que ma queue rentre au fond de sa gorge et je bouge comme si je la baisais. Elle étouffe mais la violence du mouvement me fait jouir presque instantanément. Je la relâche et elle recule la tête, toute cramoisie.  Ma queue sort de sa bouche d’un coup , je la prends dans ma main car elle m’a lâché et je serre fortement mon gland pendant que je jouis pour bien lui asperger le visage de sperme. Elle en prend plein la figure et le cou. Je frotte mon gland sur ses joues, sur son nez, sur ses lèvres. Elle est surprise et veut se libérer mais je la tiens fermement jusqu’à la fin de mon éjaculation. En fait, elle se débat mollement car je sens que la violence de l’ébat l’excite terriblement. Je suis sur qu’elle joui à nouveau. La tension est retombée, j’appuie son visage maculée de sperme sur mon ventre et la berce. Nous sommes en sueur.


 

Je la relève tendrement en passant mon bras sur ses épaules et je l’embrasse sur la bouche longuement. Elle est toute abandonnée. Le baiser dure longtemps, elle ne bouge plus, je caresse ses fesses à travers le satin de sa culotte, elles sont dures et musclées. C’est chaud, c’est doux, elle sent bon et ça sent bon le foutre J’aurais des envies de recommencer. Un bruit de porte sur le pallier, elle tressaille, elle croit que se sont les autres qui rentrent mais ce ne sont que les voisins. On se regarde dans les yeux, pour la première fois,  elle sourie. On est dans un drôle d‘état. Je lui propose de venir prendre la douche, je ne suis pas encore pleinement repu. Nous nous installons dans la baignoire qui se remplit et nous nous savonnons l’un l’autre. Les traces de sperme disparaissent vite, je lui lave les cheveux. Je me remets à bander. Je lui passe le jet de la douche sur tout le corps, il est assez fort, elle aime ça. Je le lui mets dans le con, dans le cul, elle rit. On fout de l’eau partout mais c’est pas grave. Je lui demande de se relever et de se tourner, je veux la prendre à nouveau par derrière mais cette fois je voudrais l’enculer. Elle ne veut pas, elle n’a pas l’habitude mais promet qu’une autre fois elle se laissera faire. Je lui dit que moi j’aime bien ça et qu’elle pourra me le f aire avec un gode. Ca la fait rire. Je lui demande de me mettre le doigt dans le cul, elle le fait maladroitement, elle n’ose pas trop. Je lui propose de lui montrer comment faire. Elle fini pat accepter. J’ai le doigt plein de savon et de crème pour adoucir la peau à base de vaseline, j’en rajoute un bon peu, du coup il rentre facilement, elle est maintenant bien ouverte, je la sens prête malgré ce qu’elle dit. Je ne résiste pas. Je remplace mon doigt par ma queue bien huilée en la faisant rentrer par petits coups pour ne pas lui faire mal. Elle tortille un peu du cul mais fais les mouvements qu’il faut, instinctivement, pour faciliter la pénétration Cette fois j’ai la queue bien serrée et avec de petits mouvements je jouis très vite . Elle non car elle a déjà joui deux fois et ça lui a fais un peu mal . Elle saigne un peu, je la lave tendrement avec une éponge et nous sortons de la baignoire. Je la sèche en l’entortillant dans une grande serviette. Elle se laisse faire, soumise. Il y a un tube de pommade adoucissante sur l’étagère du lavabo. Je lui en passe abondamment dans son petit trou et tout autour, elle apprécie et m’embrasse dans le cou.

 Du bruit à la porte d’entrée. Cette fois ce sont bien eux. Je sors précipitamment pour aller dans ma chambre, elle s’enferme dans la salle de bain.

 

Ma femme rentre presque immédiatement alors que j’enfile uneculotte. Je n’ai pas complètement débandé tant la séquence a été forte. Elle me tend un paquet : c ‘est de la lingerie qu’elle vient d’acheter. Un ensemble culotte, soutien gorge et porte jarretelles en soie très fine, couleur champagne. Je la sens d’humeur coquine, elle veut à tout prix l’essayer. Je vois qu’elle a soigneusement fermé la porte, ses intentions sont claires, je pose maculotte à coté de moi, je ne vais pas en avoir besoin de suite et j’attend. Va falloir assurer

 

 

Elle se déshabille en un rien de temps, ses gros seins jaillissent de sous son pull, évidemment elle ne portait pas de soutien gorge, ils ballottent de droite à  gauche pendant qu’elle baisse son pantalon avec difficulté, elle est un peu rondelette et il lui colle à la peu. Elle n’avait même pas mis de culotte, son coup était bien préparée Elle est toute nue en deux secondes et le contraste est frappant avec sa belle sœur. Je me dit que j’ai bien de la chance de pouvoir profiter d’autant de choix. Elle est tout le contraire, bien en chair, un peu de ventre, de belles cuisses biens fermes et ses gros nichons qui sont bien en place, tendus comme s’ils étaient plein de lait avec leurs petits bouts bien durs. C’est sur qu’ils n’ont pas besoin de soutifs eux ! Pourtant elle commence à mettre sa nouvelle tenue avec le soutien gorge. Il est un peu petit, il a du mal à contenir toute cette belle chair mais cela fait ressortir d’autant mieux sa poitrine. Elle sait que j’aime ça, elle a a ppris à acheter comme il faut. Tout en donnant un coup de main, je vérifie la taille. C’est pourtant du 95D, bientôt il lui faudra des bonnets E ou F ! c’est superbe ! Mazette cette soie  tendue qui compresse les nichons c’est vraiment beau, je ne peux résister au plaisir des les caresser. Elle continue pourtant son essayage malgré mes caresses de plus en plus pressantes. En fait de porte jarretelles, c’est une sorte de gaine, en soie transparente devant et derrière, satinée sur les cotés, qui lui moule les reins à merveille et lui compresse le ventre. Je me suis remis à bander malgré tout ce que j’ai fait ce matin. Elle prend ma bite dans la main, se baisse pour la sucer longuement puis se redresse, je la bascule sur le lit. Je n’arrête pas de malaxer ces formes pleines gainée dans cette soie, c’est d’une grande douceur. Nous faisons l’amour rapidement comme si il y avait urgence.

 

 

Je suis complètement épuisé. Je viens de tirer trois coups en moins de deux heures. Elle est fière de m’avoir fait cette surprise, elle se rhabille en gardant les sous vêtements qu’elle portait pour faire l’amour et sans se laver. Elle sent bon. Je m’habille à mon tour, en mettant une de ses culottes qui me serrent bien les couilles douloureuses. Je sors de la chambre et tombe presque de suite sur ma belle sœur. A son regard je vois qu’elle a compris ce que nous venons de faire et ça la fait sourire. Elle m’avouera plus tard qu’elle nous avais épié en se caressant. Elle me fait une petit pression de la main sur le bras et me chuchote que c’était très bien et qu’il faudrait recommencer bientôt. J’acquiesce avec envie.

 

Effectivement nous serons amenés à recommencer de nombreuses fois, toujours de manière furtive et en cachette, mais avec toujours autant de plaisir.

  

Notre liaison à duré tout le temps de mon mariage, nous baisions pratiquement tous les week-end et presque tous les jours pendant les vacances. Elle a appris rapidement beaucoup de choses du sexe et est devinue experte. Notre liaison l’a libéré,  elle n’a plus eu peur de cocufier son connard (cornard) de mari en se payant des jeunes amants au travail. Après mon divorce et la séparation définitive d’avec ma femme je ne l’ai plus revue. Je n’ai jamais osé retourner vers elle, je crois qu’elle aurait apprécié mais c’était trop compliqué.  J’espère qu’elle a trouvé un autre amant avec qui elle aura pris tout son plaisir. Je la regrette un peu maintenant

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes divers mariages
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Jeudi 27 avril 4 27 /04 /Avr 23:51

J'ai mis quelques photos de moi en culotte de satin , porte jarretelles et gilet de soie sur le site :www.dessous.free.fr sous le pseudo satinlove.

N'hesitez pas à aller les voir , c'est un site où il y des photos d'hommes en ligerie féminine. Et merci de les noter . (attention il est necessaire de s'incrire pour les noter, mais c'est absolument anonyme).

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Introduction et généralités
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