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Profil

  • jeanlain
  • Ma vie sexuelle
  • sodomie soumission pute domination fellation
  • Je suis une tapette fasciné par la soie et le satin. Je porte toujours des bas et un porte jarretelles, des chemises en satin, des gilets en soie. J'aime m'exhiber en satin. Je suis soumis, j'aime sucer des bites et être dominé par des femmes
Jeudi 27 avril 4 27 /04 /Avr 17:59

Chapitre 1

Il y a plusieurs années, j’étais étudiant en fac de math et j’avais besoin
d’argent. J’ai donc mis une annonce dans un journal local en me proposant
pour faire des cours du soir à domicile niveau première ou bac. Après
plusieurs jours, une femme m’a appelé : sa fille était en première
littéraire mais était vraiment nulle en math, même au faible niveau demandé
dans cette filière. J’ai donc indiqué mon tarif de 15 euro de l’heure et le
premier rendez vous a été fixé pour la semaine suivant, le samedi
après-midi.
C’était en banlieue parisienne dans un quartier assez chic. Quand je vis la
maison, je regrettais de n’avoir proposé que 15 euro, si j’en avais demandé
le double cela aurait certainement été accepté. A mon coup de sonnette, une
femme, la quarantaine, vint m’ouvrir la porte. Elle portait des lunettes et
était habillée bon chic bon genre. Elle me répéta ce qu’elle m’avait dit au
téléphone puis elle appela sa fille, Hélène, dans les escaliers. « Hélène,
ma chérie, descends ton professeur est arrivé ». Après un « oui j’arrive »,
la jeune fille descendit lentement. Elle était mignonne, des cheveux longs,
les yeux marrons, assez grande. Après les présentations, je montais avec
elle dans sa chambre pour commencer le cours.
Sa chambre était très grande et bien rangée. Il y avait un bureau dans le
fond, on s’y installa cote à cote et je lui fis faire un exercice assez
simple de résolution d’une équation du premier degré. Elle ne comprenait en
effet vraiment rien au math. Je m’efforçais donc d’être très pédagogue.
Après une heure de cours environ, la mère entra dans la chambre avec un
plateau. « C’est l’heure du goûté » elle s’exclama en riant. Elle amenait
deux verres de jus d’orange et des petits gâteaux. Pendant cette petite
pause j’appris que Hélène était fille unique, elle avant 16 ans. Son père
était médecin, sans mère ne travaillait pas. Après le goûté, nous reprîmes
le travail pendant une autre heure. Quand ce fut fini, je sortis de la
chambre avec Hélène qui m’accompagnait. La mère m’attendait en bas de
l’escalier avec une enveloppe contenant 30 euro. Hélène dit à sa mère que ce
cours lui avait permis de mieux comprendre les problèmes posés. La mère
demanda si je pouvais revenir et à la fin on décida que je devais venir deux
fois par semaine, le mercredi soir vers 17H et le samedi après midi vers
14H. J’étais content car j’allais me faire de l’argent assez rapidement.



Chapitre 2

Je vins comme cela plusieurs semaines d’affilé faire mes cours de
mathématique. L’ambiance était assez cordiale. Hélène s’appliquait sur ses
exercices. On faisait toujours une pause à mi-temps pour parler de chose et
d’autre. Hélène allait dans un lycée privée. Elle était casanière et elle
n’avait pas beaucoup de sortie ou alors c’était avec ses parents.
Un samedi, on était au début du printemps, Hélène vint m’ouvrir la porte.
Elle avait mis une petite jupe d’été. Je ne pus m’empêcher dès mon arrivé de
regarder ses jambes, elles étaient vraiment superbes, très jolie et très
minces et longues. Elle dut s’apercevoir de mon regard car elle excisa un
petit sourire, comme une satisfaction. Elle passa devant moi pour monter les
escaliers. Sa jupe d’été était très légère et un peu transparente. Elle
m’expliqua dans l’escalier que sa mère n’était pas là car elle avait été
invitée chez une amie pour boire le thé. Nous entrâmes dans sa chambre et
comme d’habitude nous nous sommes mis cote à cote à son bureau. Pendant ma
leçon, je ne pouvais pas m’empêcher de  jeter des coups d’œil sur ses
jambes, sa jupe remontant jusqu’à mis-cuisse. Elle devait s’apercevoir de
mes regards car  elle était troublée, je le voyais bien, elle n’était pas
aussi concentrée que d’habitude sur les exercices. Elle était à ma gauche.
A la fin d’un exercice, elle me regarda en me disant « et que faisons nous
maintenant ». Je ne savais pas si il y avait un double sens dans sa
question. Mais je voyais bien dans son regard un peu malicieux qu’elle
attendait quelque chose. Hélène était très timide. Je la regardais dans les
yeux. On resta comme cela, les yeux dans les yeux, sans rien dire, plusieurs
minutes. Je m’approchais alors doucement, pour l’embrasser. Elle ne fis
aucune résistance, comme si elle attendais ce moment ; on s’embrassa sur la
bouche. Sa langue tournait sur la mienne. Nous nous embrassions à ne plus
finir, je crois que nous ne voulions jamais nous arrêter. Elle avait les
yeux fermés. Je la serrais contre moi avec mon bras gauche. Elle s’approcha
encore, en écartant un peu les jambes. Toujours en l’embrassant, je posais
ma main droite sur sa cuisse et je commençais à la caresser. Je sentais que
son souffle s’accélérait dans son baiser. J’osais alors passer main
doucement dans le creux de ses cuisses, sous sa jupe. Elle écarta encore les
jambes. J’étais très excité, je bandais très fort dans mon pantalon. Mes
doigts se chevauchaient lentement vers son entre-jambe. Je touchais enfin sa
culotte. On s’embrassait toujours mais elle ouvrit alors les yeux. Je la
caressais à travers la toile de sa culotte qui était complètement trempée. A
ce moment, elle arrêta de m’embrasser et commença à gémir un peu. Elle baisa
les yeux à la hauteur de mon pantalon. Elle devait voir la grosse bosse qui
le déformait. Je glissais alors ma main dans son slip, je touchais alors son
clitoris et ses lèvres. Que c’était bon ! Je caressais le sexe de cette
jeune adolescente qui haletait de plaisir ! Je sentais son petit sexe tout
mouillé et ses poils très doux.


Chapitre 3

« Viens » je lui dis et je la fis se lever. Je fis descendre son slip
jusqu’en bas et elle souleva ses deux pieds un par un pour que je retire
complètement sa culotte. Elle s’assit alors à califourchon en face de moi,
ses deux jambes étant bien écartée. Sa jupe remonta alors et je vis le duvet
de son triangle féminin. Elle appuya son sexe juste sur la bosse de mon
pantalon. On recommença à s’embrasser. Je passais mes deux mains derrière,
je caressais son dos, puis ses fesses en dessous de sa jupe Tout doucement
je repris de lui caressé sa vulve par derrière, avec mon majeur. J’entrais
légèrement mon doigt dans son orifice humide et bien ouvert. Elle s’arrêta
un moment me regarda et me dis « je suis encore vierge ». Oui ça je m’en
doutais. Ce qu’elle ne savait pas c’est que pour moi aussi c’était la
première fois que je touchais le sexe d’une fille, même si j’avais quelques
années de plus qu’elle. ! Je me contentais de lui répondre « Ne t’inquiète
pas » et je repris de la caresser tendrement. Mon doigt passait
alternativement de son clitoris aux bords de ses lèvres, la pénétrant un
petit peu plus à chaque fois. Avec mon pouce je sentais quelque fois que je
touchais son anus. Et ma verge toujours très dure était tout contre son sexe
à travers le tissus. Je croyais que j’allais éjaculer dans mon slip, mais
c’est elle qui, d’un seul coup, se mit à gémir assez fort les yeux fermées,
la tête un peu en arrière. Elle venait d’avoir un orgasme très fort.


Chapitre 4

Quand elle fut remise elle ouvra les yeux pour me regarder avec un très
grand sourire. Elle avait le visage très rouge et elle était en sueur. «
C’était merveilleux » me dit-elle. Elle m’embrassa encore puis me dit
timidement « je n’ai jamais vu le … d’un garçon ». Je lui répondis « sort le
». Elle se mit alors à genoux devant moi, j’étais toujours assis sur ma
chaise. Elle déboutonna mon pantalon et fit descendre délicatement la
fermeture éclair. Je me soulevais un peu pour qu’elle puisse dégager mon
pantalon. Après quelques secondes d’hésitation elle abaissa mon slip jusqu’à
mes pieds.  Mon sexe était raide, tendu, presque droit. Elle restait là
devant moi, sans pouvoir détacher son regard de mon sexe. Tentant le tout
pour le tout je lui dis alors « Prends le dans ta bouche, embrasses le » et
elle m’obéit. Elle commença a faire des petits bisous sur le gland puis elle
descendit jusqu’à embrasser mes couilles. Je la tenais par la tête,
caressant ses cheveux. Puis elle pris ma bite dans sa main et la dirigeant
vers sa bouche, elle fit entrer complètement le gland. Que c’était bon !
Avec l’excitation et la douceur de sa bouche chaude, sans prévenir je ne pus
m’empêcher, j’éjaculais plusieurs secousses. Je la tenais si bien qu’elle ne
put se dégager et tout mon sperme s’expulsa dans sa bouche. Et c’est à ce
moment qu’on entendit la voie de sa mère dans les escaliers qui cria,  « je
vous emmène le goûté ». Mince, sa mère était revenu et on ne l’avait pas
entendu !


Chapitre 5

Hélène eut juste le temps de s’asseoir sur sa chaise et moi de remonter mon
slip et mon pantalon. Je mis le bouton mais pas la fermeture éclair ,
j’avançais ma chaise au bureau pour me cacher un peu. Sa mère entra dans la
chambre. Je remarquais alors que Hélène avait toujours la bouche fermée.
Elle avait encore mon sperme dans la bouche et ne savait pas comment s‘en
débarrasser ! Je remarquais aussi que sur un coin de ses lèvres, il y avait
quelques gouttes de sperme. Je  lui fis alors un signe du doigt pour le lui
signaler mais elle ne comprit pas . Sa mère nous interrogea « alors pas trop
dur de travailler avec le temps qu’il fait dehors ».  Je répondis comme si
de rien n’était. Puis la mère s’adressa à Hélène et lui dit « Tu as l’air un
peu malade non ? » Hélène se devait de répondre. Je la vis alors avaler sa
salive, avec toute ma liqueur qui l’accompagnait. Elle fit une petite
grimace quand le sperme passa dans sa gorge puis elle se leva pour prendre
le verre de jus d’orange qui était sur le plateau que portait sa mère. Elle
le bu en entier, d’un seul coup. Elle répondis enfin à la question de sa
mère « c’est que j’avais très soif ». La mère semblait un peu stupéfaite.
Puis je vis que son regard se porta par terre au pied de la table. Je
regardais au même endroit et je vis la culotte blanche de Hélène qui y
était. La mère regarda alors sa fille qui était en face d’elle et elle ne
put que s’apercevoir de la petite goutte de sperme qu’Hélène avait encore au
coin des lèvres. Dans son regard, je sus que la mère avait tout compris.
Elle resta la plantée quelques secondes, puis dit « Bon je vous laisse
travailler ». Elle repartit alors de la chambre. Je repris immédiatement la
culotte qui était rester par terre et je me mis à genoux pour l’enfiler à
Hélène. Elle souleva les jambe et je profitais encore un fois de la vue de
son minou. On se rassit puis on parla tout bas. « Tu crois qu’elle a vu
quelque chose ? » me demanda Hélène. Je lui répondis « Je pense pas ». Puis
nous fîmes semblant de travailler encore une demi-heure. A la fin je
redescendis et la mère m’attendait comme d’habitude avec une enveloppe.
Après avoir saluer, avec un petit clin d’œil pour Hélène qu’elle me rendit
avec un sourire je sortis. J’ouvris en chemin l’enveloppe. Il y avait les 30
euro mais aussi un mot de la mère qui écrivait « Merci de ne plus revenir,
ma fille n’a plus besoin de vos leçons ».J’en étais sûr elle avait compris
ce qui s’était passé. Mais je ne voulais pas en rester la….


A suivre

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : les histoires de dédé du Nord
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Lundi 24 avril 1 24 /04 /Avr 12:44

Une pipe au bord de la route, c'est souvent comme ca que ca se passe .

Même si la pute n'est pas toujours aussi jolie, le plaisir est là !

 

 

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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Mardi 21 mars 2 21 /03 /Mars 00:59

 

 

Sur le bord de la route, entre 15h et 16h, je vais en rendez vous chez un client, mais je me sens un peu chaud.


Elle est assise en travers sur le siège avant de sa voiture, la portière ouverte, tournée vers la route. Elle fume.  Elle porte une minijupe noire en skai et un corsage assorti, très ouvert, on voit les bretelles en satin rouges de son soutien - gorge. Elle a plutôt un style gitane avec des cheveux courts et bruns, la peau très bronzée.  Lorsque je lui parle, elle décroise ses jambes et les remonte pour mieux me laisser voir ses bas noirs, son porte jarretelle et son string rouges. C'est ce qui me décide. Elle a l'air très douce et très gentille avec un fort accent du midi. En se levant, son corsage s'ouvre entièrement  et je peux admirer ses petits seins ronds et menus, aux bouts pointés, qu'elle arbore sans complexe, bien mis en valeur par le soutien - gorge sans bonnets.


Moi, je porte un costume noir en trois pièces, dont le pantalon et  la veste sont un peu trop serrés, un caleçon en soie champagne, taille 2, une chemise en popeline col montant et  une cravate en soie marron qui me serre le cou. Je me sens  un peu étriqué et j'ai chaud, mais suis très excité d'être en contact avec elle.


"  - C'est 100 balles la pipe ou 200 balles l'amour ". J'opte pour la pipe, du moins pour commencer.


 Elle monte dans ma voiture par la porte passager et elle m'indique la direction dans laquelle nous devons aller: au bout d'un chemin de terre, derrière une sorte de talus. Le temps que je manoeuvre, une voiture arrive derrière nous. Elle redescend et me laisse seul quelques instants pour aller discuter avec le gars qui a baissé la vitre de sa portière, puis reviens s’asseoir près de moi. Sa jupe est presque entièrement dégrafée sur le devant et laisse voir ses jambes gainées de nylon et son petit slip de satin rouge. Je commence à bander fortement..


Voulant faire le malin je lui dit:

  " - Tu m'as fais peur, j'ai cru que tu voulais prendre deux clients en même temps !"

Elle rit:

" - Ne t'inquiète pas, c’est un habitué, je lui ai simplement demandé d'attendre que nous ayons finis".

 

Je reste au volant de la voiture, elle se tourne vers moi.  Je lui tend le billet de 100 F qu'elle mets dans son sac et sort un préservatif. Je défais mon pantalon et ouvre ma braguette. Mon sexe est bien bandé dans la soie du caleçon. Je trouve ça très excitant, mais ça n'a pas l'air de l'émouvoir outre mesure.

J

e lui demande:

" Tu veux bien me caresser avant de me mettre la capote?"


A mon grand étonnement, elle accepte. Elle me caresse un instant la bite à travers la soie du caleçon du bout de ses doigts très fins. J'en profite pour lui caresser les seins et les fesses, elle se laisse faire en hochant la tête

 

:" Normalement, pour une pipe, je laisse pas faire.."

puis rapidement me dit:

"Allez ça suffit, maintenant déshabille toi".

 

Je baisse d'un coup pantalon et caleçon jusqu'aux genoux. Elle m'encapuchonne habillement le bout avec un préservatif car je commence à mouiller et se met à me sucer consciencieusement. Elle a des gestes doux, caresse bien les couilles, me mordille le gland avec beaucoup d’expertise. Elle accepte "exceptionnellement" dit-elle de se laisser caresser les fesses mais quand j'essaie d'aller plus loin et de mettre un doigt dans le trou de son cul, elle se rebiffe:

 

"Non, arrête, tu exagères"

 

.Mais je continue quand même à la caresser car elle a la peau très douce. Elle a de petits seins aux bouts bien durs que je trouve très excitants. Je vais habituellement avec des femmes qui ont de gros seins et ces petites pommes me dépaysent.  

 

« Si tu veux continuer, donne moi 100 balles de plus et on fais l’amour ».

 

Je me contorsionne pour atteindre la poche de mon pantalon qui est à mes pieds et je lui donne un autre billet qu’elle range précautionneusement avec les autres.

 

 Elle dégrafe complètement sa petit jupe, la pose sur le siège et viens s’asseoir face à moi. J’ai ses petits seins juste en face de mon visage. Je ne résiste pas à les embrasser, à sucer avidement ses tétons qui s’allongent. Manifestement ça ne la dérange pas, j’ai même l’impression qu’elle apprécie. Lorsque je me mets à les mordiller elle me dit :

« Doucement ! »

et se retire un peu. D’un geste habille, elle écarte un peu sa culotte et s’enfile ma bite dans le con jusqu’à la garde.

 

Bien assise sur mes couilles elle se met à remuer lentement.  J’ai très chaud, elle le voit,  et pendant que je déboutonne le gilet de mon costume, elle desserre un peu ma cravate :

 

 « Mets toi à l’aise mon chou, tu à l’air trop guindé ».  

 

Elle se caresse les bout des seins avec ma cravate en soie :

 

« C’est doux ».

 

Je me remets à lui sucer les seins. Ils sont si petits et si fermes qu’il me semble que je pourrais les prendre entiers dans ma bouche. Elle se remet à se tortiller savamment ce qui me fait décharger très rapidement alors que je n’ai presque pas bougé. Elle s'étonne presque de me voir jouir si vite.

 

" Eh bien, dis donc, tu avais envie on dirait "me dit-elle en riant, « ou bien c’est que je te plais vraiment ! ».

 

Je vois qu'elle se moque un peu de moi, mais je suis troublé et je ne sais que lui répondre. Elle s'en rends compte et arrête de se moquer. Je donne de petits coups de bassin pour finir de me vider. Elle attend sagement, toujours en jouant avec ma cravate.


 

 Elle a des gestes  très doux pour se retirer, elle m'enlève délicatement le préservatif et m'essuie le gland avec un morceau de Sopalin qu'elle fourre dans un sac en plastique Elle se rajuste tant bien que mal, remets sa jupe qu’elle ferme consciencieusement mais elle ne cache rien de ses jambes, essaye, sans tant bien que mal de refermer son corsage, ouvre la portière et sort en souplesse de la voiture. Elle se penche à l'intérieur pendant que je me rhabille maladroitement, pour me faire un gentil baiser sur la joue et lâche un joyeux

 

"Salut!".

 

Elle part gaiement vers le client suivant.


Je l’observe par le rétroviseur. Le gars l’attend debout près de sa voiture. Manifestement ils se connaissent car elle va vers lui et l’embrasse amicalement. Lui sans vergogne, passe ses mains sous la jupe et lui pelote les fesses. Elle rie et se laisse faire. D’un coup de main, il dégrafe les pressions de la jupe et qui tombe à ses pieds, elle se retrouve, en string, cul nul. Ca commence à devenir intéressant, je me demande s’ils vont faire l’amour dehors devant moi. Le spectacle m’intéresse, et bien que débandé je suis preneur.  Mais là c’est un peu trop pour elle, elle sait que je suis encore là et ne veut pas se donner en spectacle.

Elle revient vers moi, dans cette tenue très érotique avec ses hauts talons, en string et son corsage ouvert :

 

« C’est fini mon chéri, faut y aller, j’aime pas les voyeurs et j’ai du travail ! Reviens me voir dès que tu veux, mais reste pas là maintenant »


Je suis un peu honteux de m’être incrusté et d’avoir volé cette scène, mais après tout j’en garde un joli souvenir.


J’ai essayé de retourner la voir, mais je ne l’ai plus vue dans ce coin, ma belle gitane.

Peut être a-t-elle arrêté le tapin après avoir rencontré un beau prince charmant. J’en doute un peu mais je l’espère pour elle.

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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Jeudi 9 février 4 09 /02 /Fév 22:12

C’est le 18 janvier dernier que l’ai rencontré.

 Comme a son habitude, elle portait un costume deux pièces d’homme à fines rayures grises, très seyant sur un chemisier en soie beige trop déboutonné, un pantalon moulant haut sur ses hanches qui comprimait son petit ventre rond. Elle portait des souliers noirs vernis à hauts talons. Un gilet en satin lui serrait fortement la taille et ne pouvait contenir sa grosse poitrine mise en valeur par un soutien-gorge à balconnet. Elle avait vraiment l’air d’une pute mais ne semblait pas s’en rendre compte. Elle posa tous ses sacs  sur la chaise à coté de moi, et se pencha pour m’embrasser sur la joue. J’en profitais pour passer ma main sur ses reins et lui peloter les fesses. Elle me laissa faire en riant ce qui provoqua en moi un début d’érection. Je lui fis remarquer que son chemisier était un peu trop ouvert pour l’endroit, que l’on voyait son soutien - gorge et qu’elle risquait de provoquer une émeute . Elle éclata de rire mais suivi mon conseil et reboutonna son chemisier. Elle vint s’asseoir sur la banquette à ma droite, très près de moi, mis sa main sur ma cuisse et commanda un whisky perrier, comme moi. Son parfum m’éxitait au plus haut point.

 

 

 Tout en débitant des banalités d’usage comme il est coutume lorsque deux amis se rencontrent, elle posa sa main sur ma jambe . Elle la fit lentement remonter vers le haut de ma cuisse et commença à jouer avec les boutons de ma braguette. Ses intentions étaient claires et je me réjouissais à l’avance de la soirée que nous allions passer ensemble. Je passais ma main droite sous sa veste pour lui caresser le dos. Le satin de son gilet était chaud et tendu. D’une main habile, elle défit les trois derniers boutons de ma braguette, glissa sa main dans mon pantalon pour mieux me caresser. Ma pine était tendue au maximum sous la soie de mon caleçon .  

- Tu veux que je te suce ?  me demanda-t-elle ingénument. 

- Je ne crois pas que se soit vraiment l’endroit. Mais je n’avais pas fini de répondre qu’elle avait ouvert la braguette du caleçon, sorti ma pine et s'était penché pour engloutir mon gland dans sa bouche . J’étais très gêné .Cependant comme nous étions dans un coin, au fond du café et qu’il n’y avait pas grand monde, cela pouvait passer inaperçu. Tout en ma laissant aller à sa succion voluptueuse, je profitais de sa position pour glisser ma main dans l’échancrure de son chemisier , le déboutonner et lui caresser les seins. Ils débordaient de son soutien - gorge , j’en avais plein les mains et les malaxaient avec ravissement. Sa main droite me caressait tendrement les couilles, sa langue courrait le long de ma bite et sur mon gland qu’elle faisait sans cesse entrer et sortir de sa bouche. Mon dieu quelle pipe ! Il s’en fallait de peu que je lui décharge mon foutre dans la bouche, elle du le sentir, car elle se redressa d’un coup et remit tendrement mes affaires dans le caleçon. Elle souriait : - Ca te plaît , n’est ce pas ?

Ses yeux brillaient de malice. Je l'embrassais sur la bouche, ma langue léchait ses lèvres. Elles avaient le goût de mon sexe et ca me plaisait. Dans le mouvement qu’elle fit en se redressant, un de ses seins sorti du soutien-gorge et se retrouva à l’air libre, son chemisier étant presque entièrement ouvert. Pour le coup sa tenue devenait obscène. Nous cessâmes notre baiser afin qu'elle puisse se rajuster une nouvelle fois. J’avais le rouge aux joues, elle aussi d’ailleurs, et nous étions dans un état d’excitation tel que nous ne pouvions parler. Le garçon nous avait repéré depuis le début, il s’était rapproché pendant qu’elle me suçait, pour mieux nous regarder et maintenant il se rinçait l’œil en la voyant reboutonner son chemisier et son gilet . Ca me plaisait de nous savoir regardé et je pris tout mon temps pour reboutonner les braguettes de mon caleçon et de mon pantalon, sous son œil connaisseur.  

-"Je crois que nous ferions mieux d’aller prendre un peu d’air frais . Elle opina de la tête, se leva en fermant sa veste, reprit ses sacs et se dirigea vers la sortie. Le garçon vint vers moi , il souriait en regardant ma braguette mal reboutonnée..  

-  Qu’est-ce que je vous dois ?   

- Quatre-vingt francs. Je crois que vous allez passer un bon moment !  me répondit-il.  

Il portait une chemise en soie très seyante et un pantalon noir si moulant que je n'avais pas de doute sur son érection et pouvais apprécier la taille de son pénis. J’eus soudain l’envie de mettre la main à sa braguette, de l’ouvrir, de sortir son engin et le sucer, mais Monica m’attendait et ne pouvais courir après plusieurs lièvres à la fois. Je vis qu’il le comprit quand il me rendit la monnaie. Je mis les pièces dans la poche de mon pantalon et me levais pour sortir à mon tour. Je ne pus m’empêcher d’effleurer son sexe avec le dos de ma main en passant devant lui. Comme je m’en doutais , il se laissa faire avec complaisance et me rendis la caresse en me mettant la main au cul . Je lui laissais le temps de me peloter les fesses, ce qu’il fit avec habileté d'ailleurs, mais comme sa main commençait à s'attaquer à mon entrejambe, je me dégageais.  

Il ne fallait pas aller trop loin maintenant ...

 - A bientôt j'espère,   dit-il avec un clin d’œil coquin et sur de sa conquête . 

- Avec plaisir,  je lui répondis en souriant et en passant ma main sur ces petites fesses dures. Et c’ est vrai que j’en avais envie. 

 

 

 

Elle était sur le trottoir à m’attendre. Elle avait vu notre manège : - Alors, tu veux te faire le garçon maintenant ?  

- Non pas maintenant ma chatte, pour l’heure c’ est toi qui m’intéresse, lui, on verra plus tard.  

- Je ne savais pas que tu t’étais mis aux mecs , tu as viré ta cutie ?   

- Non pas du tout, mais de temps en temps ca ne me dérange pas de sucer une belle bite moi aussi et il avait l’air bien monté celui-là.    

- Oh oui j’ai vu, tu veux qu’on l’invite , on se le fera tout les deux ?   

- Non pas ce soir, je ne veux que toi , pour moi tout seul.   

- Et si je refuse ?    

-  Je te viole ma grosse !   

- Pas si grosse que ca, j’ai perdue trois kilos en un mois en faisant de la gym !   

- N’en perds pas trop, C’est bien enveloppée que je te préfère.   

- Tu dis ça, mais vous bandez tous devant ces mannequins filiformes qui s’affichent partout.   

-  Peut être, mais quand on veut tirer un bon coup c’est vers des salopes comme toi, bien en chair, qu’on se retourne.  

 - Ah très bien, je suis une salope !   elle fit mine de me boxer.  

- Mais bien sûr tu le sais, tu aimes ca et moi aussi. 

 

 Tout en lui disant ca, je lui mis la main au cul et lui caressais la raie. Elle se laissa faire et rit en serrant contre moi. Je savais que si elle n’avait pas eu les mains prises par les paquets, elle m’aurait rendu la caresse. Elle me murmura à l’oreille : 

- Viens, on va chez moi, on va se donner tout le plaisir qu’on peut.. 

 Ses lèvres étaient chaudes sur mon oreille et me chatouillaient. Elle se tourna vers moi et mis sa langue dans ma bouche, profondément. Je fus obligé de m’arrêter pour lui rendre son baiser, je passais une main autour de sa taille et de l’autre main recommençais à lui malaxer les seins. Elle était tendue comme un arc, ma bite aussi , sa langue explorait tous les recoins de ma bouche à me faire étouffer et je bandais si fort que j’étais encore à deux doigts de décharger dans mon caleçon. Je repris mon souffle : 

- Dépêchons-nous d’aller chez toi, sinon je te baise dans la rue. 

- Chiche !   

- Arrête tes conneries.   

 D’une main, je lui pris ses paquets , passais mon bras sur ses épaules et l’entraînait sur le trottoir. Je n’avais plus envie d’attendre, les préliminaires étaient trop longs, j’en avais mal aux couilles. La suite n’allait pas me décevoir.

 Nous fûmes rendus chez elle en moins de dix minutes. Durant le trajet, nous ne parlâmes pas, juste nos mains se serraient ou osaient des caresses hâtives et maladroites. Elle monta l’escalier la première et j’en profitais bien sûr pour lui caresser le cul regrettant qu’elle soit en pantalon. C’est toujours un moment très excitant lorsque l’on monte avec une fille pour baiser. Quand je monte avec une pute c’ est souvent le meilleur moment, le moment le plus érotique : tout est en devenir et le rêve est devant soi. Après on est vite déçu, la fille se déshabille machinalement en rangeant bien ses affaires pour ne pas qu’elles s’abîment, elle est habile à t’enfiler la capote, te suce avec application et fait l’amour en s’ennuyant, comme une mécanique : pas vraiment bandant. Ca pue et tu as du mal à jouir, alors tu te forces et il y a peu de joie qui sort de ton orgasme. Un coup de Sopalin pour te nettoyer le bout, tu remontes le falzar, maladroit et suant.  

 

 - Voilà deux cents balles ,  et je me tire.

- Ca t'a plu mon chou ?

- Oui, c'était très bien.  

- Tant mieux, j’aime que le client soit content et qu’il en ait pour son argent.

 Tu quittes la chambre, honteux et sans répondre, il n’y a vraiment rien à dire. Dehors, il fait encore plus triste et l’air te semble sale.

 

 

 

Ce soir-là, heureusement, ce n’était pas le cas, l’air était doux et sentait le lilas.

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes expériences diverses
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Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 00:11

Finalement je n’ai pas trop tardé à retourner la voir. La semaine suivante j’ai repris

Rendez-vous,. J’ai pris soin à mon habillement comme d’habitude. J’ai mis un costume gris, assez chic de cher Cardin dont le pantalon a la particularité d’avoir une braguette à boutons sans boutons (ils sont tombés et je ne les ai pas fais remettre, cela ne se voit pas quand je suis debout, mais m’oblige à faire attention lorsque je m’assied, mais qui est très pratique pour se caresser). J’ai remis la même  chemise en soie noire avec le petit gilet en satin brillant écossais vert très serré de la dernière fois puisque ça lui avait plu et une cravate en soie bleue clair  avec laquelle j’ai fait un gros nœud. En dessous je me suis bien préparé en mettant un caleçon en soie de couleur champagne, un porte jarretelles en satin noir avec des dentelles blanches et des bas noirs.

Dans le couloir, elle me met furtivement la main à la braguette, comme je le lui avais demandé, mais ce n'est pas suffisant. J’aime ces caresses indécentes et furtives, elle n’a pas l’air d’apprécier, cane fait rien j’insisterai. Elle porte la même robe en latex de la dernière fois, sans rien dessous,je m’en assure en passant la main entre ses jambes. Elle la retire énergiquement . « Doucement, faut d’abord payer et c’est moi qui commande ». Je n’ose la contredire.

 Elle me fait entrer dans sa chambre et je pose uniquement ma veste pour qu'elle puisse me caresser habillé, A nouveau ,elle me dit qu’elle me trouve très beau avec mon gilet en satin. J'enlève mes chaussures et baisse mon pantalon rapidement en ne dégrafant que la ceinture. Elle apprécie mon porte-jarretelles et mon caleçon. Elle me caresse bien la bite à travers la soie J'ai très chaud. Je déboutonne mon gilet, elle enlève sa robe. Elle est presque entièrement nue, elle n’a plus que ses bas et son porte-jarretelles. Je lui fais mettre mon gilet en satin que je viens de quitter. Elle a de petits seins agréables à caresser mais à travers le tissus du gilet ce n’est pas assez doux. Je lui propose d’échanger. J’enlève ma cravate et ma chemise en soie, je remets le gilet, le boutonne pendant qu’elle enfile ma chemise. C’est beaucoup plus agréable ainsi de lui caresser le dos et les seins, et ça m’excite de me sentir serré dans le satin du gilet.

 Elle baisse mon caleçon et me mets un préservatif. Je bande très fort, elle m’allonge sur le lit pour me caresser le ventre et les cuisses. Je lui demande de se branler devant moi avec un godemiché comme elle me l’avait proposé la dernière fois. Elle sort un joli gode du tiroir de la table de nuit et se l’enfonce dans le con, tout doucement  en poussant de petits soupirs. Je comprends bien qu’elle fait semblant mais peu m’importe ça me plait.. Je prend le gode dans ma main et la branle à mon tour. Elle fait de même avec ma queue. Nous sommes trè spr^ets l’un de l’auter j’essaye de l’embrasser, elle s’écarte, et refuse les basers. C’est normal pour une pute, je n’insiste pas.

 Je lui demande de  m’enculer avec ses doigts comme la dernier fois. Elle accepte et pour ce faire, prend un autre préservatif qu’elle enfile à son doigt comme un gant. Je m’assied sur le bord du lit. Elle me met le doigt dans le cul assez profond, elle le bouge et me dit «ca te plaît, mon salaud, de te faire enculer. Tu le sens bien ». Ses mots m’excitent, je me redresse un peu et son doigt rentre pus profond. Elle est penchée sur moi et je caresse son dos bien moulé dans la soie de ma chemise.Je lui lèche ses tétons, elle se laisse faire. Puis elle se baisse et mets ma bite dans sa bouche Elle se met à me sucer, à me pomper même, énergiquement et bien que je ne sois pas très dur, je finis par jouir assez violemment dans sa bouche. Elle continue à me sucer pendant que j’éjacule et bouge son doigts dans mon cul avec frénésie. Je lui demande d’arrêter  de bouger son doigt aussi fort mais elle continue un petit moment supplémentaire, je sens que ça lui plait de me faire mal, je n’ose plus me plaindre. Notre relation de domination est en train de se mettre en place.

 En me rhabillant, j’enlève mon porte jarretelles et je lui en fait cadeau. Elle à l’air ravie,elle le trouve très joli mais en définitive je ne sais pas si elle ne dis pas ça pour me faire plaisir. Je lui dit que j’aimerais qu’elle le mette quand elle est avec d’autres clients. Elle me le promet.  Lorsque je m’en vais elle me fais une bise très gentille et me tape sur les fesses.  « A la semaine prochaine mon con chou, n e m’oublies pas. Si tu le veux je te donnerais une belle fessée.. je crois que tu vas aimer … ! ». C’est vrai que lorsque je me retrouve dans la voiture j’y pense déjà.

 Je l’appelle quelques jours après au téléphone pour parler avec elle. Je lui demande si elle mets mon porte jarretelles avec des clients. Elle me dit que bien sur et qu’il plaît beaucoup. Elle dit que c’est un client qui le lui a offert. Je lui demande si elle dit que c’est moi. Elle me dit que non bien sur qu’elle est très discrète sur ses clients. Je lui dit que ça ne me dérangerait pas qu’elle parle de moi, mais elle ne se laisse pas entraîner  sur ce sujet. Elle me rappelle qu’elle m’attend pour la fessée. Je raccroche avec la bite bandée et vais me finir, discrètement, dans les toilettes du bureau. En espérant que personne ne remarquera mon manège.

 

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 16:14

Martine, de son vrai nom Linda. C’est une prostituée qui reçoit chez elle. Voici le récit de notre première rencontre. J’ai pris ensuite l’habitude d’y aller régulièrement. Elle est petite, blonde, des cheveux courts, assez jeune, elle fait ce métier depuis longtemps pourtant . Elle a de petits seins (85B) et se rase entierement le sexe,

 Cela fait plusieurs fois que je l’appelle au téléphone, en me caressant, en jouant plusieurs personnages pour la faire parler et voir ce qu’elle propose, mais je n’ai jamais encore pris le décision d’aller chez elle. Je ne sais ce qui me décide ce jour là. Je viens d’acheter une chemise en soie noire au centre commercial , chez C&A. Je suis allé la passer dans les toilettes du centre, ce qui me mets dans un état d’excitation considérable. Je porte un  pantalon marron en Tergal très doux, une veste en laine bleue, chemise en soie noire avec petit gilet en satin brillant écossais vert, très serré lui aussi, cravate en soie jaune . La chemise m’est un peu trop grande mai très agréable à porter.

C’est à ce moment là que je me décide.

 Je lui téléphone pour prendre rendez vous. C’est OK, elle m’indique à nouveau son adresse et me demande mon petit nom pour qu’elle puisse me reconnaître lorsque je sonnerai. Je vais dans un chemin de vigne pour finir de me préparer en enfilant mon caleçon en soie noir, taille 2, qui me serre bien les couilles. Je bande comme un cheval.

 Je me gare assez loin. Je m’arrête dans un bistrot pour boire un Vichy menthe car j’ai le gorge sèche , je ne sais pas pourquoi mais j’ai le le trac. J’ai du mal a trouver l’adresse  qu’elle m’a indiqué. Je suis obligé de demander le bâtiment . J’ai les mains qui tremblent un peu lorsque je sonne à sa porte et la voix nouée lorsque je lui donne mon nom.

 Elle m’ouvre la porte rapidement, comme si elle avait peur que quelqu’un nous surprenne. Je suis étonné de la voir aussi jeune , je m’attendais à la voir plus vieille par rapport à sa voix au téléphone. Elle porte une robe en latex noire très collante.  Elle me fait entrer dans sa chambre et je me déshabille entièrement pendant qu'elle retire sa robe, elle ne porte que ca met ses porte - jarretelles et ses bas, car je lui ai demandé d’en porter. Je n'ose pas lui dire que j'aimerais qu'elle me caresse habillé. J'ai très chaud. Je n'arrive pas à bander bien qu'elle me suce et me caresse avec application. Elle me propose de se branler avec un godemiché devant moi, mais je ne veux pas (je le regrette immédiatement car je pense que cela m'aurait excité, elle le fera d’ailleurs plusieurs fois par la suite et j’apprécie beaucoup). Elle propose de m'enculer avec ses doigts ou avec le godemiché. J'accepte qu’elle me fasse un doigt. Elle met un préservatif à son index, un peu de lubrifiant et me l'enfonce d’un coup  dans le trou du cul. J'ai un peu mal car elle va profond mais c’est très agréable quand même et même si je ne bande toujours pas , je sens le plaisir qui vient et mes couilles qui se remplissent.

 

 

 

 Elle parle sans arrêt de tout un tas de choses qui n’ont rien de très sexy, de s avie, de ses voisins, de sa mère et ça me déconcerte. J’ai plus du tout la tête à ça, et  j‘ai envie de m’en aller. Je lui demande d’arrêter un peu de parler et de se concentrer sur moi .Elle se remet à me branler énergiquement, je lui caresse les seins et le plaisir vient très vite. Je finis par décharger dans sa bouche bien que je sois encore un peu  mou. De ça, elle a l’air de s’en foutre bien que je sens que ça l’embête car elle comprend que si je ne bande pas je ne reviendrais pas. Alors elle se remet à me parler, me poser des questions. Elle voit que j’ai très chaud, que je suis mal et me propose un verre d’eau. Je vais dans la salle de bain pour me nettoyer ; elle me suis tout en continuant de me parler et comme j’ai du mal à enlever la capote, c’est elle qui le fait . Je me rhabille rapidement car j’ai honte.

 Je suis en sueur, mais je remet quand même mon petit gilet en satin et  ma cravate pour me donner une consistance. Elle apprécie mon habillement , me trouve très élégant et passe un peignoir en soie pour me raccompagner à la porte.  Elle me demande  si ça m’a plu et quand est ce que je compte revenir. Je sais que lui dire. Elle me fais une petite bise coquine dans l’ouverture de la porte etje m’en vais très rapidement, comme si je m’enfuyais.

 Dehors je me dis que je n’aurai jamais du venir et que je ne reviendrais pas...

 Pourtant quelque temps après, je la rappelle et nous discutons. Je lui raconte l’histoire impossible dans laquelle je me trouve où je suis harcelé par mon patron qui me fait des avances, qui veut à tout prix que je le suce. Elle me dit que je ne doit pas me laisser faire. Je la rappelle après pour lui dire que j’ai suivi ses conseils. Elle m’avoue que c’est bien la première fois qu’elle sert à quelque chose.

 Un autre jour , je la rappelle pour lui dire que ça empire, qu’il m’a refait des avances et que l’on s’est battu. On est roulé par terre, qu’il me serait très fort et que je sentais sa grosse bite bandé contre moi et que j’en étais troublé. On s’est ensuite redressé, il m’a filé des baffes et il m’a déchiré un très joli gilet en soie que je venais d’acheter chez Cacharel.. Elle rigole, elle me dit que je n’ai qu’a en faire un string de mon gilet. Je lui dit que je n’ai pas envie de plaisanter, qu’il m’a donné des coups et que ça m’a fait mal. Elle me demande si je suis pas un peu maso. Je lui demande pourquoi elle dit ça. Elle me dit que c’est parce que je ne sais pas trop ce que je veux. Je lui dit que peut-être elle a raison et que je vais lui céder. C’est ce que je ferais par la suite d’ailleurs mais c’est une autre histoire. Toujours quand je lui téléphone, je fait en sorte d’être bien seul, je déboutonne ma braguette et je me caresse en ayant bien pris soin de mettre un caleçon ou un slip en soie.

  Une longue histoire commence avec elle, je retournerais la voir plusieurs fois , elle acceptera de jouer une rôle de maîtresse dominatrice  ( à suivre ).

 

 

  

 

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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Samedi 28 janvier 6 28 /01 /Jan 11:02

 

 

Martine, de son vrai nom Linda. C’est une prostituée qui reçoit chez elle. Voici le récit de notre première rencontre. J’ai pris ensuite l’habitude d’y aller régulièrement. Elle est petite, blonde, des cheveux courts, assez jeune, elle fait ce métier depuis longtemps pourtant . Elle a de petits seins (85B) et se rase entierement le sexe,

 Cela fait plusieurs fois que je l’appelle au téléphone, en me caressant, en jouant plusieurs personnages pour la faire parler et voir ce qu’elle propose, mais je n’ai jamais encore pris le décision d’aller chez elle. Je ne sais ce qui me décide ce jour là. Je viens d’acheter une chemise en soie noire au centre commercial , chez C&A. Je suis allé la passer dans les toilettes du centre, ce qui me mets dans un état d’excitation considérable. Je porte un  pantalon marron en Tergal très doux, une veste en laine bleue, chemise en soie noire avec petit gilet en satin brillant écossais vert, très serré lui aussi, cravate en soie jaune . La chemise m’est un peu trop grande mai très agréable à porter.

C’est à ce moment là que je me décide.

 Je lui téléphone pour prendre rendez vous. C’est OK, elle m’indique à nouveau son adresse et me demande mon petit nom pour qu’elle puisse me reconnaître lorsque je sonnerai. Je vais dans un chemin de vigne pour finir de me préparer en enfilant mon caleçon en soie noir, taille 2, qui me serre bien les couilles. Je bande comme un cheval.

 Je me gare assez loin. Je m’arrête dans un bistrot pour boire un Vichy menthe car j’ai le gorge sèche , je ne sais pas pourquoi mais j’ai le le trac. J’ai du mal a trouver l’adresse  qu’elle m’a indiqué. Je suis obligé de demander le bâtiment . J’ai les mains qui tremblent un peu lorsque je sonne à sa porte et la voix nouée lorsque je lui donne mon nom.

 Elle m’ouvre la porte rapidement, comme si elle avait peur que quelqu’un nous surprenne. Je suis étonné de la voir aussi jeune , je m’attendais à la voir plus vieille par rapport à sa voix au téléphone. Elle porte une robe en latex noire très collante.  Elle me fait entrer dans sa chambre et je me déshabille entièrement pendant qu'elle retire sa robe, elle ne porte que ca met ses porte - jarretelles et ses bas, car je lui ai demandé d’en porter. Je n'ose pas lui dire que j'aimerais qu'elle me caresse habillé. J'ai très chaud. Je n'arrive pas à bander bien qu'elle me suce et me caresse avec application. Elle me propose de se branler avec un godemiché devant moi, mais je ne veux pas (je le regrette immédiatement car je pense que cela m'aurait excité, elle le fera d’ailleurs plusieurs fois par la suite et j’apprécie beaucoup). Elle propose de m'enculer avec ses doigts ou avec le godemiché. J'accepte qu’elle me fasse un doigt. Elle met un préservatif à son index, un peu de lubrifiant et me l'enfonce d’un coup  dans le trou du cul. J'ai un peu mal car elle va profond mais c’est très agréable quand même et même si je ne bande toujours pas , je sens le plaisir qui vient et mes couilles qui se remplissent.

 

 

 Elle parle sans arrêt de tout un tas de choses qui n’ont rien de très sexy, de s avie, de ses voisins, de sa mère et ça me déconcerte. J’ai plus du tout la tête à ça, et  j‘ai envie de m’en aller. Je lui demande d’arrêter un peu de parler et de se concentrer sur moi .Elle se remet à me branler énergiquement, je lui caresse les seins et le plaisir vient très vite. Je finis par décharger dans sa bouche bien que je sois encore un peu  mou. De ça, elle a l’air de s’en foutre bien que je sens que ça l’embête car elle comprend que si je ne bande pas je ne reviendrais pas. Alors elle se remet à me parler, me poser des questions. Elle voit que j’ai très chaud, que je suis mal et me propose un verre d’eau. Je vais dans la salle de bain pour me nettoyer ; elle me suis tout en continuant de me parler et comme j’ai du mal à enlever la capote, c’est elle qui le fait . Je me rhabille rapidement car j’ai honte.

 Je suis en sueur, mais je remet quand même mon petit gilet en satin et  ma cravate pour me donner une consistance. Elle apprécie mon habillement , me trouve très élégant et passe un peignoir en soie pour me raccompagner à la porte.  Elle me demande  si ça m’a plu et quand est ce que je compte revenir. Je sais que lui dire. Elle me fais une petite bise coquine dans l’ouverture de la porte etje m’en vais très rapidement, comme si je m’enfuyais.

 Dehors je me dis que je n’aurai jamais du venir et que je ne reviendrais pas...

 

 Pourtant quelque temps après, je la rappelle et nous discutons. Je lui raconte l’histoire impossible dans laquelle je me trouve où je suis harcelé par mon patron qui me fait des avances, qui veut à tout prix que je le suce. Elle me dit que je ne doit pas me laisser faire. Je la rappelle après pour lui dire que j’ai suivi ses conseils. Elle m’avoue que c’est bien la première fois qu’elle sert à quelque chose.

 Un autre jour , je la rappelle pour lui dire que ça empire, qu’il m’a refait des avances et que l’on s’est battu. On est roulé par terre, qu’il me serait très fort et que je sentais sa grosse bite bandé contre moi et que j’en étais troublé. On s’est ensuite redressé, il m’a filé des baffes et il m’a déchiré un très joli gilet en soie que je venais d’acheter chez Cacharel.. Elle rigole, elle me dit que je n’ai qu’a en faire un string de mon gilet. Je lui dit que je n’ai pas envie de plaisanter, qu’il m’a donné des coups et que ça m’a fait mal. Elle me demande si je suis pas un peu maso. Je lui demande pourquoi elle dit ça. Elle me dit que c’est parce que je ne sais pas trop ce que je veux. Je lui dit que peut-être elle a raison et que je vais lui céder. C’est ce que je ferais par la suite d’ailleurs mais c’est une autre histoire. Toujours quand je lui téléphone, je fait en sorte d’être bien seul, je déboutonne ma braguette et je me caresse en ayant bien pris soin de mettre un caleçon ou un slip en soie.

  Une longue histoire commence avec elle, je retournerais la voir plusieurs fois , elle deviendra ma maîtresse dominatrice  ( à suivre ).

 

  

 

 

 

 



 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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Samedi 28 janvier 6 28 /01 /Jan 08:42

 

Nous sommes à Marseille quartier Opéra, vers 15h.

J'ai fini mon rendez vous de travail et j'ai une furieuse envie de tirer un coup avec une prostituée. Le quartier s'y prête, je vais pouvoir faire le tour des rues chaudes. Je suis habillé en costume cravate bleu marine Cacharel assez stric, pour le boulot. Je passe à la voiture poser mon cartable et mettre un petit gilet en soie que je n'ose pas porter chez certains clients car ça fait trop "endimmanché". Il me serre bien les reins et le ventre et ça me mets dans de bonnes dispositions érotiques. C'est pour moi une sorte de rituel, il est rare que j'aille voir une pute sans être bien habillé.En marchant ma bite est caressée par la soie de mon caleçon que je porte très large pour favoriser la bandaison. J'en rajoute discretement avec la main dans la poche de mon pantalon.

Je fais deux ou trois rues spécialisées. Il y en a pas mal mais ce n'est pas du premier choix à cette heure là. peu importe je prend mon temps, c'est un des moments des plus exitant, quand on fait le choix. Les files racolent et on se laisse faire et  puis on passe à la suivante. Moi j'aime bien tourner les observer, repasser plusieurs fois, me rincer l'oeil quand  elles ont des tenues sexu ou meme très provocantes. Il y en a qui ont carrement les seins à l'air ou qui remoente leur jupe assez haut pour voitoleur string. Moi ca m'amuse et continue à me faire bander. Pour aller avec une pute, il faut que quelque chose accroche avec elle, qu'elle soit provocante mais pas agressive, qu'elle ne soit pas complétement blasée ou indiférrente, qu'il y ait un peu de jeu ou de chaleur, d'érotisme actif...

Ca fait un momment que je tourne dans le quartier et j'ai du mal à me décider. J'en ai abordé plusieurs mais il n'y en  aucune qui me plaise, trop moche ou trop vieille. Celle la je l'aperçois de loin, au milieu d'une rue, elle est assez petite et boulotte, elle porte une minijupe et même de là on voit qu'elle a de gros seins. Je n'ose pas aller droit vers elle pour l'aborder, aussi, je fais le tour du pâté de maisons pour prendre la rue dans l'autre sens. Je me mets sur le trottoir sur lequel elle se trouve afin d'être obligé de passer près d'elle. En bonne professionnelle, elle m'a repéré et me laisse venir. Dès que je suis à sa hauteur, elle se met au milieu du trottoir pour m'empêcher de passer et elle m'aborde:

"Tu viens? C'est 200 francs  et on prend son temps". Elle m'aguiche du regard et je sens quelle prends le dessus sur moi. Je lui dit:

 -" Je porte un caleçon en soie, tu voudras bien me caresser et me faire une pipe ?"

 -"Bien sur mon chou, tu verras, je te mangerais, tu vas te régaler".

Comme j'hésite encore un peu, elle me prend par le bras:

- "Alors, C'est OK ? Tu montes ?"

De près, on voit qu'elle n'est pas toute jeune, mais elle à l'air gentille  et on sent qu'elle aime ce qu'elle fait. Ses seins sortent presque entièrement de son body, cest très indécent, j'adore ca. Je bande très fort et lui dis " OK " et la suit dans le couloir de l'immeuble derrière elle.

 

 

L'escalier est sombre et il pue, mais je suis très excité. En montant, je regarde ses jambes  et sa culotte sous sa jupe, j'ai envie de passer la main, mais je n'ose pas. La chambre est minable, chauffée par un butagaz. C'est pauvre et quelconque.

-"Tu vois, il fait bon, tu peux te déshabiller". Je pose ma veste sur le dos d'un fauteuil, j'ai peur de la salir.  "Tu me donnes mon petit cadeau ?".Je lui tends un billet de 200 F qu'elle range de suite dans un petit porte monnaie tiré de son sac à main. Pendant ce temps, je commence à lui caresser les seins et à essayer de la déshabiller. "Attends un peu, tu es bien pressé!" Elle accepte tout de même que je la  déshabille mais elle porte des habits si compliqués qu'elle est obligée de m'aider. Il ne lui reste plus qu'une espèce de body noir qui lui dégage les seins et les fesses. Je lui demande de me déshabiller à son tour, mais comme elle a du mal à défaire ma ceinture, c’est moi qui la défait, et dégrafe mon pantalon qui me tombe sur les chevilles car nous sommes toujours debout. Je lui demande de me caresser la bite à travers le caleçon, ce qu'elle fait pendant que je lui caresse les fesses et les seins. Comme on est debout, ses gros seins tombent mais ils sont agréables à caresser. Elle porte un string noir qui lui dégage complètement les fesses qui sont douces. Elle est amusante car elle n'arrête pas de pousser de petits cris  et des "oui...oui..." quand je lui embrasse les seins .

Je bande fort . Elle me caresse à travers la soie du caleçon de manière très experte, et comme je commence à mouiller, d'un coup, elle sort ma bite par une jambe du caleçon pour me mettre le préservatif et se penche pour me sucer. De ce fait, ses seins ballottent encore plus, j'en ai plein les mains. Elle me pousse sur le lit et m'allonge pour me finir. Je jouis presque instantanément. Elle me garde un moment dans sa bouche avant de se relever. Avec ses habits à moitiés défaits et ses gros seins qui pendouillent , elle a vraiment l'air vulgaire.

 

Je me relève rapidement et remonte à demi mon pantalon. Elle me montre la salle de bain dans laquelle je vais me nettoyer seul pendant qu'elle essaye de se rhabiller. Elle a un rouleau de Sopalin blanc avec de petites fleurs rouges. Cela fait un drôle d'effet, on dirait des taches de sang.

 Elle me parle de la chambre ; "J'espère que ça t'a plus, j'aime bien que les clients soient contents" Je sors de la salle de bain très mal à l'aise, j'enfile ma veste rapidement et part sans la regarder ni lui dire au revoir, laissant la porte ouverte derrière moi.

 

Dans la rue son odeur me poursuit. Je vais dans un café prendre une bière. J'ai l'impression que tout le monde me regarde et sait d'où je viens. Je ne comprens pas pourquoi cela c'est si mal passé.

 

Avec le recul, je trouve qu'elle n'était pas si mal, et je regrette de ne pas avoir été à la hauteur.  Du coup la semaine suivante, j'ai décidé de retourner avec . Je comptais lui proposer qu'elle se mette à quatre pattes sur le lit pour que je puisse l'enculer et me régaler de lui malaxer ses gros nichons pendants. Alors j'ai fait le même scénario, mais cette fois elle parlait avec une autre, portait des chaussettes en laine montantes à mi- cuisses et  elle ne m'a pas racolé de la même façon, je suis passé sans m'arrêter et sans oser lui parler.

J'y suis finalement retourné, mais c'est une autre histoire (voyez la suite)

 

 

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes visites chez les prostituées
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Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 22:41

 

 

C'était une petite tapette qui était dans le service depuis pas mal de temps. Il était connu pour ses allures efféminées et ses tenues excentriques ou provocantes et sa propension à toujours draguer les hommes. Il était, pour tout le monde, un sujet de plaisanteries salaces. Les filles l'aimaient bien, il était jeune et mignon, toujours prévenant, elles s'en moquaient gentiment car il n’était pas dangereux ! Avec lui, elles pouvaient parler chiffons, régimes et maquillage ou vanter les mérites de tel ou tel acteur de cinéma. Les garçons s'en méfiaient car il était toujours très entreprenant et avait les mains lestes. De nombreuses histoires circulaient comme quoi il aurait fait des propositions scabreuses à tel ou tel, aurait mis la main au cul d’un autre ou défait la braguette d’un troisième dans l’ascenseur  et aurait proposé de le sucer. Je n'avais pratiquement jamais eu à faire à lui jusqu'à ce fameux pot d'un mercredi soir.

 

J'étais plutôt éméché,  j’avais bu trop de champagne. Toute la soirée il m'avait tourné autour, une fois en  me frôlant les fesses de la main, une autre fois en mettant sa main sur mon épaule ou dans le dos. Au  début je n'y avais pas prêté attention  mais au bout d'un moment, me rendant compte que c'était volontaire, je m'étais prêté au jeu car cela m'excitait un peu. Il était, ce soir là, vêtu d’un pantalon de cuir noir, très moulant et d’une  chemise en soie noire également, trop déboutonnée sur sa poitrine bronzée. Moi, comme c’était une soirée assez officielle, où il y avait beaucoup de monde, j’étais en costume croisé gris clair, chemise bleue clair et cravate en soie dans les tons rouges, très strict, ma seule fantaisie était un petit gilet en satin bleu marine à double boutonnage qui me serrait merveilleusement le ventre et les reins. Pendant le reste de la soirée, voyant que je ne m’offusquais pas de ses avances, il multiplia les caresses furtives mais de plus en plus précises, tout en restant discret par rapport aux autres convives.

 

 

Après le pot, je me rendis dans mon bureau, ranger quelques papiers pour le lendemain. Il me suivit sans que je m'en rende compte et comme je me baissais pour mettre des dossiers dans mon cartable, j’ai senti une main me caresser les fesses puis passer dans l’entrejambe et me caresser les couilles et la bite. Je compris de suite que c’était lui. J’eus un brusque mouvement de recul mais j’étais cependant assez excité pour ne pas le repousser complètement. Je sentais ma queue se durcir et le rouge me monter à la figure. Je me redressai et me retournai. Il me regardait en souriant.

 

 « Tu veux bien te laisser faire ? » Me dit-il en se rapprochant de moi.

 

 Comme j’avais trop bu, j’avais chaud. Je posai la veste.

 

« Oh ! Comme tu es mignon avec ton petit gilet en satin ! C’est très excitant, je peux toucher ? »

 

Il mit sa main à plat sur ma poitrine et la fit glisser de bas en haut sur le satin  du gilet, en connaisseur, joua un instant avec les petits boutons de nacre puis passa une main autour de ma taille et de l’autre il me saisit la bite à travers le pantalon.  J’étais comme paralysé.

 

Il se colla contre moi et murmura à mon oreille  « Laisse toi faire, je ne te ferais pas de mal ».

 

Il sentait bon, un parfum de femme que je n’identifiais pas, je me sentais bien près de lui, en confiance, je le serrais dans mes bras. D’une main je lui caressais les fesses, bien dures dans le cuir du pantalon et son dos à travers la soie de sa chemise. A ma grande surprise je me rendis comte qu’il était musclé et malgré ses airs efféminés il devait être  sportif. Pendant ce temps, il déboutonnait habilement la braguette de mon pantalon pour y introduire sa main :

 «Tu portes un caleçon en soie, petit coquin, j’aime beaucoup ça moi aussi » et il commenca doucement à me branler. J’avais la gorge noué et du mal à faire quoique se soit. Il s’en rendit compte et  pris ma main pour la mettre sur son sexe bandé.

 

« Tu peux toucher toi aussi » me glissa –t –il à l’oreille avant de coller sa bouche contre la mienne pour m’embrasser,  mais je détournais. Autant sentir sa bite dans main et la caresser me plaisait, autant  sa langue et ses lèvres  me dégouttaient un peu. Ca ne le découragea pas le moins du monde :

 

« Tu n’aimes pas embrasser ? C’est pas grave, je vais te montrer quelque chose de mieux » en un tour de main il avait sorti la bite du caleçon, s'était accroupi  devant moi et se miettait à  me sucer consciencieusement tout en continuant à me branler et me caresser les couilles.

 

Je sentais sa bite gonfler sous ma main et j’étais très troublé de la caresser ainsi. Il y avait des années, depuis que j’étais adolescent et un peu à l’armée ou bien dans des partouses, que je n’avais pas touché la bite d’un mec et je me rendais compte maintenant combien c'était agréable et qu'en fait j’avais toujours aimé ça. De plus la sensation du cuir chaud, très doux au toucher, comme de la soie, qui gainait ses couilles et ses cuisses, décuplait mon excitation. J’étais un peu surpris et affolé, la situation m’échappait,  j’avais peur que quelqu’un entre à l’improviste et nous surprenne, mais il faisait ça si bien  que je me laissais faire. J’en étais même à deux doigts de jouir.

 

Il s’en rendis compte, s’arrêta de sucer et me dit :

 

«Tu aimes ça non ? Tu veux que j’aille jusqu’au bout ? »

 

Je lui fis signe oui de la tête malgré la situation plus qu’inhabituelle dans la quelle je me trouvais. Il sortit un préservatif de sa poche, me l’enfila habilement, preuve qu’il en avait l’habitude et se mit à me pomper avec entrain. Je dégrafais  mon pantalon qui me tomba sur les chevilles, pour qu’il puisse mieux me caresser les couilles et les fesses. C’est ce qu’il fit de manière si experte que je jouis rapidement.

 

 Il continua à me pomper pendant que je déchargeais mon foutre dans sa bouche, Il serrait fortement la base de ma queue d’une main et il enfonçait profondément le majeur de son autre main dans le trou de mon cul. Ce fut un orgasme très violent. En jouissant, je pressais sa tête fortement contre moi pour faire pénétrer sa pine le plus profondément possible dans sa bouche. J’avais rarement jouis aussi fort pour une pipe.

 

Il n’arrêtait plus de me sucer, aussi je le repoussai gentiment pour qu’il arrête et m’appuyai contre mon bureau pour souffler un peu. J’avais les jambes flagellantes et j’étais vidé, comme dans un état second tellement la secousse avait été forte. D’autre part, je me sentais un peu  ridicule avec mon pantalon baissé sur les chevilles, dans mon bureau, avec ce préservatif pendouillant au bout de ma bite. C’est encore lui qui prit l’initiative.

Avec un mouchoir en papier il enleva le préservatif et le mis dans la poubelle. Je m’assis dans mon fauteuil sans réaction, en regardant mon pantalon baissé, je n’osais pas le regarder.

 

« Ca t’a plu, n’est ce pas ? » me dit-il en se rapprochant de moi.

 

«Tu veux bien me faire pareil».

 

 Il avait baissé la fermeture éclair de son pantalon et sorti son sexe qu’il me mettait dans la figure. Je le trouvais énorme et j’étais surpris lorsqu’il le fit pénétrer dans ma bouche. C’était trop. Je le repoussais lentement: «Non pas maintenant. Va-t-en, s’il te plaît ».

 

Par bonheur, il n’insista pas trop et après un baiser léger sur mes lèvres que je n’osai lui refuser, il remit difficilement sa bite dans son slip, sans arrêter de se caresser. Il tenta vainement de reboutonner  son  pantalon et sortit précipitamment. Par bonheur il ne tomba sur personne dans cette tenue.

 

Je restais un moment comme groggy, puis, je me rhabillais lentement partagé entre l’écœurement et l’excitation il y avait longtemps que je n’avais pas eu une relation sexuelle aussi poussé avec un homme, depuis mon troisième mariage en fait, et tout portait à penser que le plaisir que j’y avais trouvé me ferai t dépasser la gène que j’avais pu  ressentir. La suite des événements prouva que ce sentiment était le bon.

 

 

 

En effet j’eus une nuit très agitée et le matin  je n’eu de cesse de le rencontrer et je lui fixai rendez-vous à midi pour déjeuner.

 

 La matinée passa très vite et à midi pétante je quittais mon bureau pour récupérer ma voiture dans le sous-sol. Comme convenu, il m’y attendait. En montant il me demanda :  «  Où va-t-on ? » 

Comme je n’en savais rien je lui répondit : 

 

« C’est une surprise ».

 

En fait de surprise j’avais surtout envie de lui bouffer la queue mais n’osai pas lui en parler. A peine assis, il posa sa main sur ma cuisse qu’il se mit à caresser doucement et comme il vit que je bandais, il me sourit et accentua ses caresses.

 

Entre deux changements de vitesse, je fis de même avec ma main droite. Il portait un jean très moulant évidemment, en coton un peu satiné, très doux au toucher, ce qui m’excitait d'autant que sa pine était déjà bien bandée. Je la frottais énergiquement comme si j’avais voulu le faire jouir immédiatement. Ca repartait très fort. Il commençait déjà à me déboutonner la braguette. Je l’arrêtai  en le repoussant affectueusement :

 

 «Ne va pas si vite, je t’ai dis que j’avais une surprise ».

 

Il eut un petit rire entendu : « O.K., j’attends ».

 

A peine sortis de la ville, je pris un petit chemin de terre et m’arrêtais sous un arbre à l’abri des regards et du soleil.  Je me tournai vers lui et lui offrit un long baiser. Ses lèvres étaient douces et j’enfoncai ma langue le plus profondément possible, comme si je voulai l’étouffer. Il me rendit le baiser avec fougue et science, sa langue dure et rapide fouillant toute ma bouche J’en avais le souffle coupé. Je me dégageai et lui dis :

 

 « Allonge un peu ton siège, c’est à moi de te sucer aujourd’hui».

 

 J’eus un peu de mal à dégrafer sa ceinture, il dut me donner un coup de main, mais je ne voulais pas qu’il m’aide pour le pantalon. Je déboutonnai doucement sa braguette, en prenant mon temps, chaque bouton était une fête et quand je les ai eu tous défaits, je fis descendre entièrement son pantalon. Il ne portait dessous qu’un string ficelle blanc qui ressortait bien sur son bronzage mais qui avait du mal à contenir sa bite bandée. Je lui caressais le bout à travers le fin tissu satiné avant de la libérer. Elle n’était pas très longue mais trapue, un peu comme la mienne, avec un joli gland, Elle était bien bronzée et jaillissait avec grâce des  poils blonds de son pubis. Nous ne parlions plus. J’étais un peu anxieux et maladroit. J’avais peur et je n’osai pas, mais aujourd’hui, elle ne me dégoûtait pas comme hier soirr, javais retriuvé mes sensations homo. Lui ne faisait aucun mouvement, il m’attendait, mais voyant que j’hésitais et plutôt que de me forcer la main, il m’ouvrit la braguette, me pris la bite à pleine main et la serra très fort. La force de la caresse me fis me plier un peu plus, du coup mes lèvres vinrent toucher le bout de son gland. Je le léchais un peu avec ma langue et puis n’y tenant plus je me décidais et l’enfournait entièrement dans la bouche et me mis à la sucer. 

 

Il me repoussa : « Attends deux secondes, il faut mettre une capote ! »

 

J’avais complètement oublié ! C’est lui qui s’en chargeât, heureusement car je crois que j’en aurais bien été incapable.

 

« Vas – y maintenant »  Et je me remis à pomper avec application.

 

 Le goût de la capote me gênait un peu mais c'était superficiel à côté du plaisri éprouvé. Cela dura cinq bonnes minutes frénitiques ou je ne relachais pas mes efforts.  Il gémissait doucement, a priori satisfait de mon travial... et je sentis le plaisr monter en lui, tout son corps se tendait, je sentzis sonsperme  qui commençait à s’égoutter. J’en vais plein la bouche de cette bite, c’était délicieux. Je l'aspirai aussi fort que possible pour lui faire monter le jus, de ma main droite je le branlais violemment et de la gauche je lui caressais les couilles et lui taquinais le trou du cul comme il me l’avait si bien fait. Il gigotait et poussait de petits cris : mes caresses avaient l’air de lui plaire. De sa main droite, glissée dans la braguette de mon pantalon que je n’avais pas enlevé, il me branlait la bite à travers la soie du caleçon, et avec sa main gauche, il m’appuyait la tête fortement contre lui pour faire rentrer sa pine le plus profondément possible dans ma bouche comme j’avais moi-même fait la veille au soir.

 

J’étouffais mais continuai mes caresses avec frénésie. Il poussait des cris de plus en plus fort et se mit à me donner des coups de reins comme s’il faisait l’amour, comme s’il voulait me défoncer la tête. Je ne pouvais plus me retenir. S’il continuait, il allait me faire mal, aussi je me mis à lui serrer fortement la bite et les couilles, ça le fit décharger et l’impact de son sperme à travers la capote dans le fond de ma gorge me fis décharger aussi. Il éjacula longtemps et je le sucais pendant tout ce temps. Puis il finit par relâcher son étreinte et je pus enfin relever la tête pour respirer.

 

 Je me remis sur mon siège et m’allongeai à moitié, pour reprendre mes esprits. J’étais dans un piteux état : trempe de sueur, de la salive plein la barbe, du sperme plein le caleçon et le pantalon. Dans la bagarre, trois boutons de mon gilet s’étaient dégrafés et il baillait lamentablement. Lui, il était complètement allongé sur le siège ; les yeux fermés, dans un ravissement total. Nous sommes restés un moment allongé côte à côte sans rien nous dire. C’est lui qui a bougé le premier. Il se nettoya rapidement avec un Sopalin trouve dans la boite à gants et tenta de remonter son pantalon. Comme il n’y arrivait pas, il se tourna vers moi et voyant mon état me dit  avec sa petite voix de tapette :

 

 « Mon dieu, dans quel état tu t’es mis  mon chou ! Mais c'était bien tu sais, surtout pour un soit disant débutant. »

 

Et il m’embrassa tendrement. I" Tu ne me feras pas croire que tu n'avaais jamais fait ac ?l  Je ne nias pas , c'est vrai que ve n'était ppas la première fois. Cela me rappelelait plein de souvenir set je m'étonnais de ne plu  m'être preté à ce jeu depuis tant d'années. Il essaya vainement de me nettoyer mais c’était impossible. Je dus sortir de la voiture pour me rhabiller, ce que je fis rapidement de peur d’être aperçu par quelque passant. Malgré tous mes efforts, je n’étais pas très présentable, car si j’avais pu reboutonner correctement mon gilet, j’avais une énorme tache de sperme autour de ma braguette qui me rendait complètement ridicule.

 

« On dirait que tu t’es pissé dessus ma choute ! » me dit-il en riant lorsqu’il sortit à son tour de la voiture. Je ris. Nous prîmes la décision d’aller chez lui pour prendre une douche et il me promit de me prêter un pantalon. Nous repartîmes sur un petit nuage.

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes expériences homesexuelles
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Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 21:12

 Je me suis marié trois fois. Les trois fois ont été un échec mais pas mal de plaisir quand même. Ca a toujours bien commencé et toujours mal fini, souvent de  ma faute, je crois. Je pense trop à moi je ne suis pas assez généreux. J’ai toujours été infidèle je ne résiste pas à  l’appel du sexe comme on dit !

J’étais jeune je connaissait ma femme depuis un an quand on a décidé de se marier on avait 19 ans tous les deux elle était blonde, une fausse blonde, petite, avec de larges épaules car elle faisait beaucoup de natation. Elle avait de très gros seins bien fermes qui se faisaient remarquer et dont j’étais très fier bien qu’un peu gêné parfois tant ils faisaient de l’effet sur les garçons, surtout sur la plage où elle ne mettait jamais le haut de son maillot, ce qui était moins commun que maintenant,.

 

De  soutien gorge elle n’en portait d’ailleurs que rarement sauf quand je le lui demandais. En fait elle était un peu garçonne, malgré sa grosse poitrine, et s’habillait toujours en jean et t-shirt. A vrai dire elle ne savait pas s’habiller du tout, et s'en foutait complétement, au grand dam de sa mère qui lui achetait des tas d’habits qu’elle ne mettait jamais. Mais comme nous étions follement amoureux l’un de l’autre et qu’elle n’avait pas d’a-priori, finalement elle acceptait de porter tout ce que je lui demandais et que je faisais acheter par sa mère bien sur car, étudiants, nous n’avions pas d’argent. On allait dans les magasins et elle essayait tout ce qu’on lui demandait d’essayer sans porter de jugement et c’est nous qui choisissions. La relation avec sa mère était assez ambiguë, heureusement que la différence d’age interdisait tout rapprochement, mais nous avions les mêmes goût vestimentaires et souvent elle se retrouvait habillée comme un pute très sexy, avec ses gros seins, rôle qu’elle n’assumait pas du tout  et ce qui évidemment  qui rendait la chose encore plus sexy. Des chemisiers très sérrés et un peu transparents, des jupes assez courtes et moulantes, de petites robes légères en tissus soyeux, des panatalons moulants en satin. Ou alors on l'habillait en petite bourgeoise avec des tailleurs BC-BG, des chemisiers en satin avec jabot et des bottes. Autant de tenue qu'elle avait du mal à porter, mais elle était docile et acceptait avec candeur et naiveté. Il y avait de ma part une part de sadisme, je crois, que l’on retrouvera tout au long de notre relation et sa mère s’amusait à jouer à la poupée avec sa petite fille sans penser à mal. Je lui faisais porter tous mes fantasmes,  je l’obligeais  à porter des bas et des porte jarretelles lorsqu'elle portait une robe ou une jupe mais même sous un jean, des soutiens gorges à balconnet qui rendaient sa poitrine encore plus provocante, je lui achetais tous un tas de petites culottes en soie avec des froufrou et des slips ouverts devant et derriereque je lui empêchais de retirer quand nous baisions. Elle portait tout ça avec beaucoup de naïveté, comme une ingénue au début, je crois qu’elle ne s’en rendait pas compte. Elle a réalisé plus tard et c’est pour ça que je l’ai perdu.


 En fait c’était un peu comme une poupée pour nous simplement je pouvais la baiser et pas qu’un peu :tous les matins et tous les soirs et parfois dans la journée elle était un peu indifférente à la pénétration, complètement frigide du vagin par contre elle réagissais bien aux caresse du clitoris et sur les seins je ne m’en privais pas ce qui m’a foutu en l’air c’est quand elle en a fait profiter un peu tout le monde, mais n’allons pas trop vite, au début y a que moi qui y touchais. Elle acceptait avec soumission tous les jeux sexuels que je lui proposait. Elle ne proposait  pas grand-chose le sexe semblant être un mal nécessaire. Les choses ont changées peu à peu, elle y a pris goût , elle a compris le pouvoir que son corps lui conférait sur les autres et en a profité, sans malice. Le problème c’est qu’elle s’est mis à boire régulièrement et là ça a été la fin. Saoule elle ne savait pas refuser , elle se faisait baiser pat tous ce qui passaient par là. Un pipe pour un verre de whisky , le coup était connu par tous, moi je n’ai pas résisté je suis parti. Mais nous n'en sommes pas encore là.

 

 

 

 

 

 

 Quand je l'ai connue, elle était vierge et avait des choses du sexe une vision très lointaine. Moi, depuis l'adolescence je ne pensais qu'à ça et nous faisions a priori un couple bien différent ! Mais l'amour c'est comme ça et pour la mériter j'ai changé de conduite. Plus de filles, plus de putes tant que je ne l'avais pas. je me gardais la masturbation quand même, tous les matins comme d'hab et souvent le soir en ces temps d'abstinence.  Les filles se moquaient de moi mais elles taient un peu jalouse de mon bonheur.

J'y suis quand même arrivé au bour de quelques semaines. Ca c'est fait dans sa chambre, on s'embrassait en écoutant de la musique, en se caressant. Elle ne portait qu'une tunique indienne en soie froissée et une jolie culotte en nylon blanc, très sage. Il faisait chaud, j'était torse nu, et j'avais dégraffé mon jean et ouvert la braguette pour qu'elle puisse me caresser, ce qu'elle commencait à faire sans rechinier. Evidemment je bandais comme un phoque et je voyais que ca la troublait. J'ai tout enlevé et suis venu m'allonger sur elle, j'ai doucement baissé sa culotte et l'ai longuement caressé pour qu'elle soit bien humide. Elle coulait et j'ai sentis qu'elle s'abandonnait. Je l'ai  pénétré très doucement pour qu'elle n'aie pas mal. Elle n'a même pas poussé de petit cri  elle s'est abandonnée rapidement sans violence c'était très doux et elle s'est mise à pleurer.  J'ai  très peu bougé pour ne pas l'effrayer et je me suis forcé à jouir rapidement , J'ai compris son étonnement quand elle a senti mon orgasme et le sperme qui coulait. Elle n'a rien dit et a fermmé les yeus Nous sommes restés collés un à l'autre comme ca pendant une vingtaine de minutes puis je me suis retiré avec délicatesse . Nous nous sommes embrassés longuement , toujours s'en rien dire . Elle s'est levée la première pour aller dans la salle de bain. Elle ne pleurait plus, je la sentais heureuse et moi j'étais fou de joie. Elles est revenu avec de grands verres et du jus d'orange. On a trinqué, bu avidemment le jus glacé, on s'est vite habillés et on est sortis, la main dans la main, courrir commes des enfants dans le jardin public d'a coté. Le monde n'existait plus pour nous.

Par Jean-Alain Roy - Publié dans : Mes divers mariages
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